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Discussion : Sitges : club Kelly

  1. #


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    décembre 2011
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    Citation Posté par Hotchkies Voir le message
    Pour une fois, ce n’était pas une adresse bidon, fermée depuis longtemps, comme souvent quand j’en dégotte dans les tréfonds d’internet. Sinon qu’en fait de club, il s’agit plutôt d’un bar qui se limite à un tout petit comptoir (avec un minuscule salon avec banquettes, dans le fond, en contrebas de quelques marches). Deux filles seulement quand j’y entre vers minuit, dont une dont je n’ai d’abord (vu son look « je pars faire mes courses un dimanche matin ») pas eu l’impression qu’elle était là pour ce qui nous intéresse ici. D’ailleurs, j’ai d'abord pensé que c’était la barmaid puisqu’elle est passée derrière le comptoir pour me servir ma première bière. Sa copine, en revanche, grande (et fausse) blonde avec une bouche très marquée d’un rouge à lèvres très rouge et dont les formes débordaient de partout d’une robe fourreau noire avait tout d’une pute à l’ancienne (vous m’excuserez pour l’expression).

    J’étais tellement content en ressortant que je suis allé remercier Antonia dans son « club ». « Club » où il y a, m’a t’elle dit, une fille ou deux en plus l’été (jamais plus de 5 ; y’aurait pas la place) dont une Russe. Pour les horaires, c’est 20h-3h du mat, en principe. Voilà…
    merci, cela faisait longtemps que je cherchais une adresse comme cela à Sitges

  2. #


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    avril 2010
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    Citation Posté par zycke Voir le message
    Aahhhh, les ravages de l'alcoolisme 
    Y en a qui s'embellissent à partir d'un certain niveau !
    En même temps si au final ça t'as permis de tirer un super coup, c'est tout benef...

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  1. #


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    avril 2010
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    Par défaut Sitges : club Kelly

    Sitges est déjà clairement –et, pratiquement, toute l’année-, une destination gay. Et je m’y suis, qui plus est, retrouvé en pleine Gay Pride ! Autant dire qu’il y avait un sacré paquet (sans mauvais jeu de mots !) de mecs au mètre carré. Et, j’sais pas, peut-être était-ce ce taux exceptionnellement élevé de testostérone mais j’ai, un soir, poussé sans hésitation la porte du club Kelly, discrètement posé au centre-ville, au tout début (entre les n°1 et 3) de la carrer d’Espalter.
    Pour une fois, ce n’était pas une adresse bidon, fermée depuis longtemps, comme souvent quand j’en dégotte dans les tréfonds d’internet. Sinon qu’en fait de club, il s’agit plutôt d’un bar qui se limite à un tout petit comptoir (avec un minuscule salon avec banquettes, dans le fond, en contrebas de quelques marches). Deux filles seulement quand j’y entre vers minuit, dont une dont je n’ai d’abord (vu son look « je pars faire mes courses un dimanche matin ») pas eu l’impression qu’elle était là pour ce qui nous intéresse ici. D’ailleurs, j’ai d'abord pensé que c’était la barmaid puisqu’elle est passée derrière le comptoir pour me servir ma première bière. Sa copine, en revanche, grande (et fausse) blonde avec une bouche très marquée d’un rouge à lèvres très rouge et dont les formes débordaient de partout d’une robe fourreau noire avait tout d’une pute à l’ancienne (vous m’excuserez pour l’expression).
    Pour ne pas vous raconter de conneries, ces deux filles ne m’emballaient pas plus que ça et les deux-trois premières gorgées de ma bière, je me demandais un peu ce que je foutais là. Jusqu’à ce que la patronne, Antonia, débarque derrière le bar. Une petite bonne femme, à l’accueil chaleureux et au franc-parler (« ouais, je te tutoies ! De toutes façons, t’es venu ici pour baiser, non ? Donc… », ce genre !), qui a longtemps vécu en France avant de reprendre ce business. Comme les bières n’étaient pas chères pour ce genre d’endroit (dans les 7 €, si je m’en souviens bien), j’en ai fait défiler quelques unes en refaisant le monde (loyers, impôts, flics … : la conversation de bistrot de quartier, typique) avec Antonia.
    Autour de la quatrième (ou peut-être était-ce la cinquième ?) bière, j’ai commencé à trouver la grande blonde plutôt bandante, à me souvenir de l’Anglaise (pareillement pulpeuse) de la table d’à coté sur laquelle j’avais fantasmé le temps d’un diner, deux-trois soirs plus tôt. Et quand deux secondes après que je l’aie invitée à s’installer sur le tabouret de bar à côté du mien, Paola (ah ouais, la grande blonde s’appelait Paola et arrivait de Colombie) m’a enfoncé sa langue jusqu’au fond de la gorge, je bandais. Vraiment. J’ai quand même pris le temps de lui offrir un verre (pas trop cher non plus, je me rappelle plus vraiment…), qu’elle a fait durer, en me faisant largement profiter de ses formes. Difficile de lui donner un âge à cette Colombienne -dans la trentaine, je dirais-, mais entre mes mains, ses fesses étaient beaucoup plus fermes que ce à quoi je m’attendais. Un cul invraisemblable d’ailleurs, terriblement cambré, des hanches bien larges et des seins bien lourds comme je les aime. J’ai donc sorti illico ma carte bancaire sans tiquer sur les 80 € demandés pour une demie-heure. Je n'ai pas tiqué non plus quand Paola m’a pris la main pour me faire sortir du club : les chambres sont dans un appartement à l’étage d’une petite maison de la rue d’à côté (je te l’accorde, on a connu plus discret..). Mais sympa cet appartement, familial presque…
    Je ne vais pas vous énumérer tout ce que m’a fait Paola pendant cette demie-heure qui a duré le double. Juste vous dire que si cette fille n’est pas une des ces bombes qu’on croise parfois en club ou en FKK, je n’ai quasiment jamais pris autant de plaisir avec une pro. Paola s’est montrée à la fois tendre et salope (G.F.E. et P.S.E. pour reprendre le jargon de Youppie), elle aime sincérement le sexe, s’est procurée un orgasme en frottant longuement ma bite contre son clitoris…
    J’étais tellement content en ressortant que je suis allé remercier Antonia dans son « club ». « Club » où il y a, m’a t’elle dit, une fille ou deux en plus l’été (jamais plus de 5 ; y’aurait pas la place) dont une Russe. Pour les horaires, c’est 20h-3h du mat, en principe. Voilà…

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