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Discussion : Belleville : HU-A

  1. #


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    juillet 2008
    Messages
    35

    Par défaut Et bien ... Hua 3

    A noté que pour Hua je suis quand même bien prêt à lâcher 50, je crois que c'est la seule de Belleville qui me fait réellement grimper aux arbres. Je le trouve plus que potable, toujours des petits cris, plusieurs positions, elle suce pas trop mal et n'est pas trop chrono (faut pas abuser, 20 à 25 minutes de sport c'est très bien pour moi )
    Et très sympa malgré son français approximatif.

  2. #


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    janvier 2008
    Messages
    60

    Par défaut Hua 2

    Il est minuit passé hier quand je me décide à rouler vers Belleville. Un passage me rassure : le froid n'a pas eu raison de nos courageuses marcheuses. Mais les rangs sont clairsemés et elles sont à peine 6 ou 7 maximum. Je crains le pire. Il ne doit rester que la vieille garde, celle qui se meut mais ne se prend pas, les plus vieilles et les plus moches sans client. Mais n'écoutant que mon courage et probablement mes mâles hormones je me gare un peu plus loin. Eh oui, les héros n'ont pas froid aux oreilles ! Mais aprés quelques mètres sans être mordant un froid vif presque revigorant accentué par une petite bise glaciale me fait admettre que - comme le chantait Daniel - je ne suis pas un héros.
    En remontant vers le squelette métallique du marché je remarque à ma surpise une petite chinoise, blouson gris pantalon noire, isolée qui déambule sur l'allée centrale assez loin du spot habitel. Visiblement elle cherche le chaland. Elle paraît assez jeune , moins de 30 ans j'estime. Presque un record, voir une anomalie pour le coin ! Je l'aborde mais tout ce que j'en tire c'est un "pas maison". Bien que pas vilain son visage ne m'attire pas vraiment et quand elle parle elle refoule une senteur peu engageante. Et comme je ne peux pas ramener d'invitée chez moi ce soir, je continue mon chemin.
    Sur le spot habituel aprés un premier passage la seule qui me convienne est une chinoise assez jeune plutot mignonne qui navigue toujours de conserve avec son matelot un petit gabarit bien en chair au visage souriant, 40-50 ans. J'avais déjà tenté le coup avec la jeune mais elle n'avait pas voulu démordre des 50 euros et j'avais finalement conclu avec son matelot (je ne m'explique toujours pas pourquoi !) qui m'avait habilement harponné on me proposant 40. Bonne technique. L'une attire et l'autre pêche. J'ai du me dire que c'est dans les vieilles marmites ... Mais c'était un mauvais coup, trop pro et chrono. J'avais finalement refusé qu'elle me finisse à la main et j'étais parti sur ma faim. Bref à éviter.
    N'ayant pas envie de raquer 50 euros pour la jeunette que j'imagine du même acabit que son accompagnatrice (qui se ressemble ...) je me rabats sur une nettement moins jolie et moins jeune mais qui m'inspire quand même : de 70 euros dans son meublé on tombe à 40 mais chez moi. A croire qu'elle se sont donné le mot ce soir pour dormir chez moi ! J'abandonne. Je me résouds à regagner mon sweet home quand je tilte sur une marcheuse qui me tournait le dos jusque là, emmitouflouée des pieds à la tête. Seul un petit visage plutot mignon au sourire mutin émerge de la capuche noire. Ca me plait ! J'engage la négociation.
    Elle demande 70. Je ris, non 40 (erreur, tjs proposer moins que ce que l'on souhaite). Impossible de la faire descendre en dessous de 50 euros : "40 petit" (sic). Je m'éloigne. Pas de rappel. Et puis finalement aprés 10 mètres de gamberge je reviens et j'accepte aprés avoir obtenu "Oui. Bien, bien" et lui avoir fait comprendre "Longtemps. Pas vite". Un appel rapide avec son tel. portable et elle me conduit juste à coté dans la rue du célèbre régiment (celui qui marchait au cri de liberté). On entre dans un RdC, toujours le même type de boui-boui avec les 2 lits superposés comme dans les 2 autres que j'ai "visités" (c'est ma 3eme chinoise sur Paris, ttes à Belleville) . On pourrait presque créer un nouveau style Arts Décos.
    Nous sommes seuls, elle s'appelle Hua. Aprés avoir lu l'EV d'Esope je pense qu'il s'agit de la même. Un corps plutôt flasque sans être moche avec un visage plaisant et souriant.et un caractère agréable
    On se déshabille. Elle s'assoie d'abord sur le lit en gardant le haut puis enlève tout sans problème à ma demande (eh, 50 euros quand même !). Elle commence par une fellation mais elle n'est pas doué pour ça. Ce soir je ne suis pas en forme aussi je la laisse faire un long moment en la caressant. Pour le reste je me frotte contre elle debout, allongé, je lui caresse longuement les seins, les fesses, puis le clitoris. Elle accepte tout et devient même réceptive. J'entame un cuni qu'elle apprécie puis je la pénètre en missionnaire tout en continuant de caresser son clitoris. Surprise au bout d'un moment elle jouit ! J'arrête parfois mon va et vient pour ne pas venir tout en continuant sur le clito. Elle me serre contre elle, m'embrasse (mais pas sur la bouche), me retient avec ses jambes, elle me gémit je ne sais pas trop quoi en chinois. Du clito je passe parfois aux cuisses, aux seins ou même aux fesses à pleines mains . Un régal pour moi ! Visiblement elle ne simule pas, elle jouit vraiment et mouillle. Je lui caresse l'anus sans protestation puis je tente de la retourner pour la prendre en levrette mais " Nooonnn, gros. Noonnn, gros" qu'elle gémit. Peut être qu'elle a cru que je voulais utiliser la porte de derrière ? Pas de chrono avec elle, à aucun instant elle ne me presse de terminer. Elle commence quand même à redescendre et je décide d'en finir. J'accélère pour enfin jouir. Pendant un repos mérité on se caresse encore un peu et on se bisouille sur les lèvres. Puis on se lève pour se rhabiller . Etonnée Hua me montre l'heure sur son portable (c'est sûr du temps a passé, quand on aime on compte pas). Moi je me marre car je ne retrouve plus mon slip. En fait c'est Hua qui me l'avait enlevé. Elle me le rend en disant "tard copines venir". Je hausse les épaules en souriant. Elle répète " tard copines venir. copains venir". Comme si j'allais me rhabiller plus vite pour ça ! Elle me reconduit à la porte, m'embrasse gentiment sur la bouche et je prend congé. j'ai eu mon plaisir, elle a eu son argent et son plaisir. Une histoire qui finit bien !
    Pour 40 euros cela aurait été parfait. Pour 50 euros je dirai trés correct.
    Désolé quand même d'avoir peut être contribué à la flambée des tarifs sur Belleville mais considérons qu'il s'agissait des étrennes de ces dames pour la nouvelle année. Je ne recommencerai plus. 40 maxi sinon rien craché-juré.

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  1. #


    esope Guest

    Par défaut Belleville : HU-A

    Descriptif :

    Expression en français : un peu
    Age : 30/40 ans
    Taille :1m65
    Cheveux : mi-long, noirs, tirés en arrière
    Silhouette : Corpulence moyenne
    Visage : régulier, assez joli
    Poitrine : naturel, bonnet B-C
    Tatouages - Piercings : non
    Embrasse : non
    Cunni : ?
    Fellation : sans, mécanique
    Signes distinctifs : aucun
    Comportement : docile, souriante

    Hu-a reçoit dans une piaule pas loin du Boulevard. Un peu le bordel et une odeur de renfermé et de bouffe, mais j’ai connu pire ! Plutôt sympathique ma chinoise, riante et détendue… la trentaine… un peu molle de partout avec de gros nibards, des fesses… plates et le barbu en broussaille…

    A peine j’avais tombé le calbut qu’elle s’efforçât, agenouillée devant l’ouvrage, à l’aide d’une main et de sa bouche, de me procurer des sensations plaisantes… La voyant manœuvrer la barre, je me dis que c’était sûrement pas la première bite d’un inconnu qu’elle astiquait… et pourtant je l’avais jamais rencontré sur le bitume Bellevillois auparavant… me demande si les dames de SDD n’opèrent pas une OPA sur Belleville… peut-être bien…

    Son habitude de branler le manche des quidams de passage n’en faisait pas une experte, aussi, je lui demandais de pas s’acharner sur le chipolata pour aller exciter la caverne de la dame… la porte était grande ouverte et les parois glissantes… c’est sans effort que j’allais et venais… une promenade tranquille que je m’offrais, accompagnée par des glapissements étouffés et des mouvements de têtes et de fion… J’accordais une attention toute relative à ces démonstrations de joies et, mon exploration terminée, transférait du liquide de mes burnes vers la capote… J’allais me désengager lentement de l’abricot de Hu-a quand elle mit alors ses mains sur mes fesses et se trémoussa avec l’intention nette de me retenir chez elle encore un moment… c’est qu’elle était en train de prendre son panard, la donzelle !... voulait pas que je sorte avant l’orgasme !... voulait que je maintienne le feu allumé dans ses tripes !... mais j’avais fini, moi !… et puis j’étais pas là pour sa pamoison… fallait le dire avant qu’elle voulait larguer les amarres… ma sauce était partie !… j’allais pas continuer à usiner le fond plein !... un coup à en foutre partout du… foutre !... à exploser le bidule !... non merci…une autre fois peut-être, mais là… désolé… elle se finira toute seule quand je serai parti, si ça lui chante… C’était bien la première fois qu’une chinoise s’indignait du fait que je lui libérais prématurément les fesses !...

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