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Discussion : Belleville : Y-E

  1. #


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    mars 2009
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    SSD
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    Par défaut toujours présente à Belleville

    J'ai cru reconnaitre cette semaine YE à Belleville. Elle tapinait sur le Boulevard de la Villette trottoir de droite dans le sens Place du Colonnel Fabien vers Métro Belleville entre la rue du Buisson St Louis et la rue Civiale, sous un porche. Je l'ai déjà testé. Je n'ai aucune envie de recommencer.

  2. #


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    mars 2008
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    33

    Virée Bellevilloise

    Je refait quelques passage et, enfin, une de ces dames consent à me jeter un oeil furtif. Comme en plus elle est pas si mal, je lui rend son regard par un oeil un peu moins furtif.

    On se rapproche et la discussion s'engage : proposition à 60€, contre-proposition à 40€ et (j'en ai honte) je cède à 50 chez elle.

    Je pensais aller tout près de là, mais non : direction le métro jusqu'à Mairie des Lilas (très GFE dans le métro : me tient par la main, pose sa tête sur mon épaule) puis dans un petit immeuble années 50 pas trop mal entretenu. Nous sommes dans un petit appart assez propre, même si la salle-de-bain-toilettes-lavoir-séchoir n'est pas nickel-chrome. Le lit est de type superposé et la couche du haut n'a pas été refaite après le départ de son occupant : drap et couverture sont en vrac.

    Je lui file ses roros pendant qu'elle se déssape et là je ne les regrette pas : elle est assez petite (environ 1m50), pas trop grasse, des petits seins bien fermes avec des tétons assez développés et un minou relativement peu poilu (même si je les préfère totalement nus). Un assez beau spécimen dans l'ensemble !

    Elle m'enfile ... une capote sur l'engin et commence son business : assez bonne turlutte (même si elle s'arrête trop souvent à mon goût parce qu'elle est enrhumée et qu'elle a du mal à respirer) puis elle sur le dos et enfin en levrette. Le tout pendant une vingtaine de minutes où elle fait assez bien semblant d'aimer ce que je lui fait

    Ensuite, un brin de toilette et bye-bye, retour en métro jusqu'à Belleville où j'ai le pot de retrouver ma bagnole sans PV malgré que l'heure de parcmètre est largement dépassée.

    Je n'ai pas bien compris son nom qui est quelque chose comme ah-ih ou ah-éh ... Elle est en France depuis 5 mois et parle très peu Français.

    Dans l'ensemble, une bonne expérience, à renouveler !

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  1. #


    esope Guest

    Par défaut y-e, de Belleville

    Descriptif :
    Age : 30ans
    Taille :1m50
    Cheveux : mi-long, noirs
    Silhouette : Corpulence moyenne
    Visage : régulier, assez joli
    Poitrine : naturel, petits seins
    Tatouages - Piercings : ?
    Embrasse : non
    Cunni : ?
    Fellation : sans
    Signes distinctifs : Les cheveux ne sont pas coupés pareil du côté droit et du côté gauche, toujours habillée à la « gothique »
    Comportement : docile, souriante

    Je retapisse un petit pot d'1m60 pas trop vieux et fonds dessus à la vitesse d'un pet dans le vide intersidéral... Accostage dans les règles, sourire et bonjour avant d'entamer la question financière... çà traîne pas trop, on se met vite d'accord sur le tarif, elles essayent toujours de te faire cracher un peu plus au bassinet, c'est de bonne guerre...mais à 40 euros elles opinent toutes du bonnet, ce que fait la mienne, y-e qu'elle s'appelle, du moins ce que j'en ai compris. 2 mois qu'elle est en France, ni belle ni laide, coupe de cheveux un peu bizarroïde, carré sur le devant, ça lui donne un genre, pas trop mal foutue de corps mais mal fagotée.

    Je lui file ses euros et nous nous dépoilons de concert... un assez joli corps pas ravagé, ma foi, qui se dégage des ses dessous et surtout, une paire de loches bien ferme. Elle perd pas son temps, ni en ablution, ni en préliminaires, la capote directe et une petite sucette en copine qui dure pas de quoi lui fatiguer les amygdales. On peut pas dire que c'est une fougueuse...Pas le temps d'apprécier sa technique d'astiquage du manche qu'elle se colle sur le dos le tube de gel brandit d'une main et l'autre qui se saisit de ma bite. Elle est pas radine sur le gel, une bonne cuillère à café sur le plastic, voilà de quoi arpenter pendant des lustres la motte de ma miss sans risque de surchauffe... Elle me fait signe qu'elle attend que je lui mette mon objet parfaitement identifié au fond du trou. Je m'exécute, missionnaire bon enfant, je me permet simplement, ayant ma tronche sur ses nibards de première classe de lui lécher les tétons dressés. Le fartage préalable fait son œuvre, le conduit s'élargit progressivement sous les assauts, d'un diamètre type tuyau de gaz, on arrive vite au format chute de chiotes...faut que je resserre les parois que je me dis...sinon je suis encore là à la nuit tombée... Je l'engage alors en levrette tout en faisant étau avec mes cuisses pour que coquette reprenne contact avec les parois et je lime, je lime... Bonne fille, elle m'aide un peu à venir en se bougeant le popotin en rythme, je changerais bien de trou, moi ! y en a un au dessus de celui dans lequel je patine qui me fais de l'œil, l'a l'air proprounet de la rondelle ma gisquette ! j'y dirais bien bonjour mais j'ose pas lui coller ma chair par là, pense pas que ça lui siérait à ma petite... j'imagine sa surprise si j'y rentrais dedans sans crier gare...sûr qu'elle beuglerait, vagirait... me traiterait de tous les noms en chinois...un coup à ameuter toute le chine bellevilloise...et y a du monde !... et pis... ce serait pas gentleman, alors je renonce, continue dans le même...Wagnérien dans mes coups de bite ! Je suis récompensé de mon obstination...vroufff !! la salve est partie, je peux me retirer la tête haute...

    Elle s'occupe de tout, la laisse faire... à coups de sopalin me nettoie avec déterminisme, les résidus de notre copulation sont précautionneusement enveloppés dans une feuille de journal et le tout à la poubelle...au suivant de ces messieurs...On se ressappe illico, elle se donne même pas la peine de se laver l'entrejambe, un petit coup d'essuie tout suffit à son bonheur, me raccompagne à la rue, un petit geste de la main qu'elle m'adresse avec un petit sourire et nous reprenons nos chemins, moi celui de ma maison et elle celle du trottoir, la vie est pas juste...je sais... et elle aussi, je le crains...

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