Discussion : Belleville : LILI (la trentaine, 45kg, queue de cheval)

[Le lillois]

Hello.
Je ne comprends pas ce que tu veux.
Tu l'as rencontré 3 fois et maintenant tu demandes si elle est épilée, c'est ça ?

[hoconor]

Ok merci
Je sais pas la qu'elles est a jour!

[esope]

Descriptif :

Expression en français : bon
Age : 30/40ans
Taille :1m65
Cheveux : long, noirs, queue de cheval
Silhouette : normale
Visage : rond
Poitrine : moyenne
Tatouages - Piercings : non
Embrasse : non
Cunni : ?
Fellation : sans
Signes distinctifs : aucun
Comportement : docile, souriante

C’est pas quatre sous qu’elle me demanda Lili, c’est cinquante euros… Je me suis décidé à sa mine souriante, belle non… mais souriante…voire rigole franchement, pas trop courant ici…J’ai apprécié, parce que si en plus d’être moche, y faut se farcir une greluche qui fait une tronche de gréviste de la faim, c’est la fin des haricots, comme disait ma mémé… et j’en suis pas encore là… Ceci dit, pas repoussante elle est, Lili… elle fait pas partie de celle qu’on collerait sans hésiter dans son jardin pour effrayer le moineau, non !... assez fine de corps et pas trop viocquarde, je dirais dans les 35 balais… On a conclu à quarante, chez elle… elle a une piaule dans la rue de Belleville pour faire ses galipettes rémunérées… nous vla partis… son antre, c’est une chambre avec cuisine au dernier étage d’un bâtiment en fond de cour… on monte l’escalier… des carreaux pétés, des saloperies qui s’entassent sur les paliers au fur et à mesure que l’on s’élèvent… ça respire la misère et le marchand de sommeil… on entre… une salle de bains, une cuisine sur la droite et une pièce obturée par un rideau rouge sur la gauche, qui sert vraisemblablement de dortoir pour une colonie de réfugiées… Du monde qui dort à c’t’heure là… en silence faut s’ébattre… et dans la cuisine encore !… c’est là que ça se passe !… une passe parterre… pas tout à fait… un matelas qui en vu d’autres est là pour ça, juste la place… entre l’évier et la poubelle, il tient…pas de fioritures !... Je prendrai pas pension, c’est sûr !

J’allonge mes billets que ma chinoise scrutent avec réprobation… trop peu à son gré… me ferai bien les poches pour compléter, pour sûr ! et l’on se met en tenue réglementaire pour nos effusions nocturnes… C’est plutôt une bonne surprise, à poil, Lili… Un corps assez rose, une viande ferme, des loches de bonne taille, un cul pas trop plat et une chatte poilue sans excès… de quoi faire bander un homme sans trop d’efforts un soir de solitude et de pluie… Pas d’exploit dans la cuisine ce soir là cedi dit !, j’ai pas fait hurler ma sirène, trembler le matelas ou réveiller les sans papiers d’à côté, que non !… Elle délivre le minimum syndical Lili… rien que du rodé, de l’éprouvé, du classique, pour quarante pions… pas plus… une turlutte rapide avec gratouillis des couilles en sus et deux positions, le missionnaire est imposé en première figure, la seconde laissé à l’initiative de l’invité… Je lui aurais bien collé la tête dans l’évier pour l’astiquer debout mais je me suis contenté d’une levrette toute simple qu’à quand même failli se finir avec la tronche de ma chinoise dans le placard sous l’évier, au vu de l’exiguïté des lieux et de la poussée assez conséquente que j’exerçais sur son fion… heureusement pour elle, je m’en suis rendu compte à temps et contenais mon ardeur… pour le bouquet final… qu’a pas traîné.

Sopalin pour monsieur et bidet pour madame et l’on se resapent de concert sans faire de bruit dans l’entrée, rien ne bouge derrière le rideau rouge… J’aurais bien jeté un œil… par curiosité… pas osé… Nous sortons sur le palier au moment ou une collègue de Lili s’amènait avec son micheton… on se regarde à peine… et nous descendons.

Je la ramène sur son trottoir de travail pour qu’elle essaye d’arrondir son magot de la nuit… il est plus de 2h du mat, un dernier qu’elle me dit, je réponds pas… Combien elle peut s’en faire de clilles en un soir… 5 ou 6 ?… ça fait quoi… de 200 à 300 euros au mieux… Elle claque la portière de ma voiture et s’en va d’un pas décidé… moi aussi je suis décidé… à pas y revenir, je vais essayer…