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Discussion : Paradise Saarbrücken : les récits de vos visites

  1. #


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    août 2019
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    Par défaut Un ourson blanc, ça trempe énormément

    Samedi 25 mai. Visite n°4 au Paradise.

    J'ai garé ma voiture sur le parking du Paradise vers quinze heures, quinze heures trente. C'est la première fois que je m'aventure à Saarbrücken, seul. Mon compagnon de virée a annulé notre sortie et me voilà, ici, à fermer ma portière avant parce que je veux être un homme qui respecte ses promesses. La promesse faite à Sarita, de passer fin mai, afin de lui souhaiter son anniversaire.

    Je descend vers l'entrée du club en essayant de ne pas me faire poursuivre par les rayons d'un soleil qui tape fort. Le parking du bas est plein et quelques effluves salées émanent du jardin. Aujourd'hui est synonyme d'ouverture de l'espace extérieur. Je rentre et ne peux m'empêcher de sourire en voyant que - comme lors de la fête de Noël - une roue trône à côté de l'accueil. Je salue l'hôtesse (une agréable quinquagénaire s'exprimant en français mais dont, malheureusement, je ne connais pas le prénom) et m'empresse de gagner un bon pour un "Massage" avant de récupérer mes affaires d'ourson blanc (bleu en l’occurrence). Petit à petit, j'ai le sentiment de trouver mes habitudes. C'est ma quatrième visite depuis le 14 juillet dernier et j'arrive, maintenant, à me situer dans le club : je sais trouver le chemin du restaurant, du bar, de la télévision qui, ce soir, diffusera la finale de la coupe d'Allemagne opposant le Bayer Leverkusen au FC Kaiserslautern.

    Je me change en essayant de ranger - au mieux - mes affaires dans le casier n°50. Je prends deux douches de manière successive avant de me diriger vers le barbecue. J'ai faim et la vue de toutes ces jeunes femmes en maillot de bain m'a donné l'appétit. Je me sers quelques cuillerées de tomate-mozzarella (quatre ou cinq si ma mémoire est bonne) et commande un cheeseburger au chef cuisinier. Ce dernier, affable et plutôt sympathique, me demande mon assiette environ cinq minutes après. Je m’assoies à côté d'un type qui, deux-trois minutes avant, parlait français avec son collègue. Je lança la conversation et nous discutâmes pendant de longues minutes. Je lui expliqua, un peu, le fonctionnement du club, le rapport que nous - hommes - pouvons avoir les femmes, le rapport que elles - femmes - peuvent avoir avec nous, hommes. Les longues minutes en auront duré 45. Après un petit tour par le vestiaire, je me dirige au bar. Katharina - la fille de la patronne - est toujours aussi sublime. Je me perds dans son regard avant de lui demander deux choses :

    - Pourrais-je avoir un verre d'eau s'il vous plaît ?
    - Est-ce que Sarita est là ?

    (en allemand, bien sûr)

    Katharina, avec un sourire des plus délicieux, me répond par l'affirmative. Sarita, maillot de bain noir et rouge à lèvres vermeil, vient vers moi en me prenant dans les bras. Elle m'invite à m'installer à une table, je la suis. Nous discutons un peu. Oh, de pas grand-chose, mais c'est suffisant pour entretenir ma pratique de la langue de Ernst Jünger. Ainsi, je lui souhaite son anniversaire (en lui chuchotant que j'ai un présent pour elle), prends de ses nouvelles, caresse ses mains en l'embrassant - de temps à autre - dans la nuque. Ravi de me revoir (c'est l'impression que je m'en fais en tout cas), nous filons dans une des nombreuses chambres inoccupées du premier étage.

    Je l'aide à faire le lit (en réalité, mettre un linge blanc sur un lit King Size) et prends un plaisir fou à la regarder se déshabiller. Je la dévore du regard avant de la dévorer, tout court, une fois - tous les deux - sur le drap blanchâtre. Il fait chaud et la tendresse de nos retrouvailles me donne envie d'elle. Je la caresse partout, je l'embrasse partout, je la désire partout. Nos ébats sont des plus romantiques. Le missionnaire est maîtrisé, les quelques autres positions qui suivent, également. Las, je dois me finir pendant une bonne quinzaine de minutes à la main pour lui donner mon orgasme. Le coït arrivé, je me sens tout penaud, tout frêle. J'ai honte de ne pas avoir réussi à l'honorer plus tôt et d'avoir dû batailler contre moi-même pendant de si longs instants. Elle ne m'en tiendra pas rigueur.

    La session terminée, je décide de reprendre de nombreuses forces à l'extérieur. En commandant mon deuxième cheeseburger de la journée, je sympathise avec deux français (un breton exilé en Alsace et un vosgien insatiable). L'un des deux (le vosgien insatiable), ne pouvant résister à l'appel de la chair, s'éclipsant assez rapidement après mon arrivée. En tête à tête avec le breton exilé en Alsace, nous discutons, mangeons et regardons la finale de coupe d'Allemagne opposant le Bayer Leverkusen au FC Kaiserslautern. L'échange - tour à tour limpide et pertinent - se prolongera autour d'une glace goût pomme.

    De retour au bar, j'observe, scrute, zieute un peu partout. Giorgiana me salue et nous parlons un peu. Exténué par la session précédente et conscient de mes facultés sportives, je décline - poliment - son invitation à la suivre ( une prochaine fois, sans doute). En fait, j'ai passé un temps fou - assis sur un canapé - à échanger avec mes compagnons du jour. Sans plus regarder les filles, je souris, bois du sans alcool (est-ce vraiment boire ?) et profite de l'instant présent. Profiter de l'instant présent, voilà ce qui devrait être la devise de ces journées en FKK.

    La nuit tombant peu à peu, le "Paradise" se transforme en discothèque. C'est à cet instant-ci que j'en profite pour suivre à nouveau Sarita pour une session d'une heure. Après avoir discuté et passé ma main dans ses cheveux, nous revoilà nus dans une chambre attenante au restaurant. Il fait chaud et ma "dulcinée" ouvre la fenêtre. Je n'ai jamais été aussi heureux qu'en l'embrassant et en l'écoutant me parler avec un accent que je ne comprends pas toujours. La chambre est relativement insonorisée et je n'entends pas les enchaînements d'un DJ aux cheveux péroxydés. À l'instant même où Sarita et moi ne faisons plus qu'un, deux jeunes strip-teaseuses s'amusent sur une barre de pole-dance. Nos ébats sont langoureux, romantiques. Plus excité encore qu'il y a quelques heures, j'alterne le rythme en me basant sur sa respiration haletante, ses quelques gémissements qui - de temps en temps - se font un peu plus fort. Je continue sur ma lancée comme si, de manière inconsciente ou non, je devais me prouver que jouir en elle serait la plus belle des preuves d'affection. Las, je sens que ça ne veut pas. Ni avec un préservatif rouge, ni avec une main droite bourrée de gel. La deuxième - et dernière session d'une heure - se concluera sans coït. Sine coïtum animal triste.

    Je bois quelques verres d'eau et discute avec le camarade Snoopy avant de partir vers 1h30 du matin. La route sera un peu longue et je sentirai passer le Sarreguemines - Strasbourg. Il est environ 3h30 lorsque je tourne la clé de chez moi. J'ai des souvenirs pleins la tête et l'envie, inlassable, d'y retourner. Si un ourson blanc ça trempe énormément, alors nous irons tous au Paradise.

  2. #


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    septembre 2017
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    Par défaut

    Le Paradise m'a paru convivial et de taille sympathique (je ne vais pas dire familial).
    Une heure pour faire le tour, manger et engager quelques conversatoons. Pris par le boulot, je n'avais donc pas préparé le terrain en lisant les evaluations.
    J'hesite à ouvrir le bal avec deux filles qui me proposent un trio. Problème: l'offre parait trop alléchante et les deux miss ne semblent pas très demandées. Je prefère donc attendre, d'autant que la route et le stress m'ont filé une belle migraine. Je dois donc attendre qu'un bon cachet fasse son effet.
    Je me fais harponner par Giorgiana et je lui explique que vu mon état, c'est elle qui devra faire tout le travail. Bilan (une demi heure): elle ne s'est vraiment pas foulée, sachant que je lui demandais juste une bonne pipe et une branlette pour me mettre en forme avant de finir en levrette. Dans ces conditions, j'ai préféré écourter sans jouir car je m'emmerdais...
    Me voilà donc reparti en chasse un peu après, avec un intermède par le kino, où un banlieusard français se montrait à la hauteur de sa reputation en emmerdant tout le monde. Il a essayé de négocier des rabais avec une espagnole bien en chair, qui a fini par l'envoyer bouler.

    Depuis mon arrivée, j'avais reperé une belle plante tatouée collée à un des jeux. En trois heures, elle n'a pa bougé et a été peu sollicitée. Mai il y a quelque chose qui m'attire chez elle, une beauté dans son visgae qui me rappelle un vieil amour.
    Il s'agit de Stephanie.

    Elle me dit qu'ubne demi heure, c'est peu pour elle, sauf si ol y a des extras. Je lui dit que je suis d'acord piur 30 de plus, et elle choisut ce qu'elle veut faire de plus.
    Et c'est parti. Pour faire simple, c'est une des plus belles prestations qui m'ait été proposées depuis dix ans. Stephanie et est une belle fille et si le courant passe bien, elle vous sort le grand jeu. J'ai donc prolongé piur une heure et j'en garde un souvenir d'enfer.
    Je veux boen croure toutefois que comme elle une longue experience, elle puisse envoyer ballader ceux qui l'embêtent. Mais si vous avez la chance de lui plaire, c'est le nirvana.
    A refaire, mais c'est quand même vachement loin de Bxl...

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  1. #


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    octobre 2008
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    Neunkirchen
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    Paradise Saarbrücken : les récits de vos visites

    Vendredi 4 juillet 2014 – 14h30.

    J'arrive en même temps que mon ami Romeo, et nous sommes confrontés à un problème de parking. En effet le parking est tout petit et il y a beaucoup de place perdue. Le grand boss Jürgen Rudloff est là. C'est un type très sympa. Il nous conseille de nous garer dans la rue, ce que nous faisons sans peine.
    Accueil très agréable, on nous explique tout, on nous fait la visite. C'est parfait.
    Nous retrouvons Jolipenix. C'est lui qui donnera tous les détails matériels (il en a un paquet).

    Au bar, une bonne surprise : Helen (H. pour les intimes) est devenue thekefrau. Je suis sous le charme, comme toujours.

    A peine le temps d'échanger un peu avec mes compagnons, et mon attention est captée par deux filles exceptionnelles, parmi les meilleures de ma longue carrière : Timéa et Gwendoline.
    Je vais m'installer avec elles. Quel bonheur de les retrouver.

    Je pars en chambre avec Timéa pour une heure bien remplie. Comme dans le bon vieux temps, c'est la perfection, le sexe exactement comme j'aime.

    Retour chez mes copains, tous deux satisfaits de leurs rencontres. Romeo me montre la fille avec qui il a été : une russe blonde, qu'est-ce qu'elle est belle, Séléna, je crois.

    Nous passons du temps dans le jardin. Ce n'est pas le point fort du Paradise, mais c'est tout de même bien agréable.

    Il y a une quarantaine de filles, d'un niveau de beauté assez élevé. Toutes les filles du 214 sont là, à l'exception de Marie. Je salue Sandra, la hongroise (message subliminal à Emerald57). Je reconnais aussi quelques filles du Prestige : Sandra, Rebecca, Paula, Fernanda … Il y a aussi Andréa, la thekefrau du Prestige, habillée en thekefrau, ne rêvez pas. Le ratio filles/ours est de 4/1.

    J'ai bien récupéré, c'est donc vers Gwendoline que je me tourne. Elle aussi, j'ai un immense plaisir de la retrouver. Encore une heure de sexe parfait.
    Et c'est l'heure du match, que je regarde avec Gwen, Romeo et Jolipenix. L'ambiance est bon enfant avec les allemands et les filles à poil. Mais, ce que je retiens, c'est ce magnifique écran de télé, hyper grand, et d'une qualité parfaite.

    Le match fini, nous allons nous restaurer. Là aussi, rien à redire, c'est bon et varié.

    Le nombre de filles est maintenant de cinquante environ, et le ratio filles/ours n'a pas varié, 4/1.

    C'est l'heure du départ. Au final, une très belle journée, dans un très bel endroit. Je sens que je vais revenir bientôt, hyper motivé que je suis depuis que j'ai appris que Carmen (la Carmen du 214) est là aussi.

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