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Discussion : LIDA (bulgare, brune - n° 100 à droite, shift de nuit)

  1. #


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    Citation Posté par espadon210 Voir le message
    j'y suis allé ce samedi soir dans ce bar avec une albanaise de 27ans chevveux chatain pas trop grande très souriante et à l'intèrieur pas déçu. Elle est venue se blottir contre moi où j'ai pu gouter ces seins ds ma bouche , elle s'est laissée lècher les bras pendant que je l'a doigtait. M'a bien sucé et 3 positions et elle y allait
    Aurais-tu les renseignements nécessaires pour ouvrir un fil?

  2. #


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    j'y suis allé ce samedi soir dans ce bar avec une albanaise de 27ans chevveux chatain pas trop grande très souriante et à l'intèrieur pas déçu. Elle est venue se blottir contre moi où j'ai pu gouter ces seins ds ma bouche , elle s'est laissée lècher les bras pendant que je l'a doigtait. M'a bien sucé et 3 positions et elle y allait

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  1. #


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    août 2010
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    LIDA (bulgare, brune - n° 100 à droite, shift de nuit)

    La rue d'aerschot, c'est comme le Mc Do, on sait que c'est de la merde, que le service est pourri et qu'on y risque l'indigestion ensuite mais c'est toujours plein de monde quand même, ça dépanne et on ne peut pas s'empêcher d'y faire un crochet de temps en temps. (copyright dores et déjà )

    Menu fast fuck 40 ou 50€ où notre frite a à peine le temps de frire et de s'enrober furtivement d'une tranche de bacon vaginal si faiblement perceptible par ce coulis gelatineux abondamment ajouté sur une saucisse déjà et trop vite enrobée d'un épais caoutchouc souvent trop étroit.

    Ce début de mois de Septembre propose de nouvelles gammes de menus ou d'autre déjà identifiés malgré un décor intérieur rénové et amélioré.

    Le plus répandu et disponible quasi sans discontinuer du 30 au 200, le Mc Diva froide sauce hautaine. Finement persillée, régulièrement labellisé AG (arnaque garantie), souvent dur et épicé malgré un ensemble tentant et raffiné, orné de deux feuilles de salade cachant les parties stratégiques dont souvent deux belles tomates, il saura calmer vos ardeurs les plus incandescentes par son mépris dégoulinant et une glaciale constitution pourtant avantageuse, il attire le chaland comme le débutant mais répulse l'habitué ou l'expert qui connait la recette par coeur. Ni épice, ni consistance, une envergure illusoire, un pain rassi à la dégustation, et souvent accompagné d'une boisson avec moult glaçons, il ne compte que sur son aspect pour se faire choisir.

    Le Mc Robot mekanik sauce expéditive, gourmand et équilibré, il n'attendra pas votre cuisson optimale pour vous demander de finir d'être dégluti à peine déballé et de demander votre sauce blanche si peu après donné votre liquide. A déguster avec précaution mais plutôt rapidement, on s'y casse les dents, peu relevé il ne donne que peu de saveur, que du contenant mais peu de contenu, une recette linéaire intégralement paramétrée, formatée et impersonnelle. Hi, poum poum, splotch, merci au revoir au suivant.

    Le Mc Chicken Arnak, spécialité roumaine et parfois albanaise, très identifiable dès l'observation du package, les effluves sentent fortement à travers même le rayon et l'accoutrement, il se donne souvent en spectacle pour montrer des atouts et régulièrement enduit d'une huile de la marque "Voleuzz'" ou se mouvant dans une bulle narcissique et parfumée par la marque "jmelapète" très répandues dans les contrées de l'est. Difficilement saisissable et approchable une fois extrait de sa boîte, il donne du fil à retordre au consommateur affamé qui ne demandait qu'à s'empaffer des artifices clairement explicités mais très vite calmé par les ingrédients indigestes et castrateurs. Large dose d'oignons qui fait souvent pleurer. Si vous n'aimez pas le poulet, la fille concernée servira en alternative un hamburger au poisson, le Filet-O-Triche plein d'oligoéléments parfaits pour faire passer ce qu'aucun client même du plus obscur des fast food ne pourrait accepter, mais c'est bien connu le client est roi... sauf rue d'A, un ptit sourire (ah enfin!) et hop on fait passer la pilule un peu mieux. En général servi avec beaucoup de mayonnaise et double couche de fromage pour cacher la mauvaise qualité du plat servi et de l'ingrédient principal. Promet souvent à l'oral un menu XL pour finalement se retrouver avec un Happy Meal.

    Le Mc fretin, qui donne encore faim une fois avalé, il donne l'impression de ne rien avoir commencé, pas la moindre fantaisie ni surprise, ce menu reste dans le carcan aerschotien et dénote d'un excès de gourmandise qui, fatalement, fait penser à postériori qu'il aurait mieux fallu attendre un retour à la maison pour un reste de raviolis ou même un bon céleri remoulade dans sa boîte, nettement plus appêtissants, et c'est bien cela l'inquiétant, qu'un faux bon ragoût bien fade et sans intérêt. A tel point que vous préférez garder votre milk shake maison qui ne mérite même pas d'être extrait d'un si brinquebalant plat préalable.

    Le Mc Flurryjamais, icerberg bulgare ou russe en version fondue est le dessert idéal pour achevé un si royal festin, ornée de smarties multicolores pour le rendre attractif mais malgré le délectueux côté acidulé et sucré c'est toujours encore plus froid dans la bouche. Vue plusieurs versions face à la gare, aussi plaisante que glaçante, une véritable banquise sur laquelle uniquement les phoques équipés d'une épaisse couche corporelle peuvent s'aventurer et sentir à moindre coût la froideur ressentie. On a peur d'y ajouter son propre nappage de caramel et même de toucher voire s'approcher sous peine d'être transformé en glaçon.

    A noter que derrière tous ces délicats menus, il y a un Big Mac.

    Evitant depuis longtemps ces menus parfaitement identifiables et n'étant que d'utilité conseil pour le koala qui me ramena là, rien ne me destinait à priori à ce stand ni même ailleurs. Sauf que, comme souvent dans ces endroits, la frontière entre ce qu'on prévoit ou pas est mince.

    Interlocutrice intermédiaire d'une favorite, jamais je ne me vis un jour dans ses griffes, bras, tentacules, rayez la mention inutile, mais par sa bouche j'appris que ma dernière raison de venir venait de s'envoler, arrêt définitif de ma préférée et pour laquelle je ne venais plus que pour.

    Je pars, repasse devant les sempiternels frigos roumano bulgares qui sentent pour beaucoup l'arnaque de très loin et ne m'inspirent rien de bon, je revins pour me faire répéter cela. Non, j'avais bien entendu. Être venu pour rien ou rentrer chez une des rare qui ne rentrent pas dans les menus précités, l'anti thèse de la bimbo froide mécanique hautaine et expéditive habituelle et typique de cette rue. Son visage ne dégage pas le moindre vice pas du genre tête de voleuse comme certaines. Je rentre!

    Lida, ou Lydia. Petite, environ 1m60/65, je remarque pourtant une très mignonne poitrine bien proportionnée par rapport à sa carrure une fois nue, on ne le croirait pas ainsi avec son haut en vitrine, ces petits tétons matchant à merveille avec le galbage de la poitrine en outre malaxable à souhait. Légers préliminaires debout puis allongés qui permettent de mettre en condition un minimum, rien de folichon ni de marquant mais mieux que rien comme la plupart du temps dans cette rue.

    Lèvres du bas prononcées et minois avenant, ça change, je compris vite que la fellation était clairement une perte de temps et sa vraie grosse lacune donc je demanda d'enchaîner car mauvaise fellation est égal à aucune sensation. Et ça peut même faire tomber popol. Alors pendant que celui-ci reste alerte, autant passer au menu principal. Cowgirl/Andromaque normal avec quelques changements de rythme, position souvent comme accroupie, bon soit, la seule chose linéaire était les petites éructations monocordes et identiques. J'aime l'application et la volonté de bien faire ce qu'elle a à faire même si ça manque d'échanges et de technique, elle au moins elle fait le boulot et n'expédie pas le client. Même à une heure très tardive et après une grosse soirée de son propre aveu, j'aime cette bonne mentalité et cette conscience professionnelle que peu ont.

    Puis levrette, où les mouvements de bassin s'accentuent à intervalle aléatoire, elle ne tombe pas dans le travers de la passivité et du changement de position trop tôt demandé, au contraire, et c'est appréciable, demande quand on veut le faire et ne l'impose pas, mine de rien ça a son importance. Ne pose pas d'interdits à outrance, on peut laisser se dérouler les choses à notre guise et prend le temps de finir sans vous stresser ou vous presser. Missionnaire normal.

    Presta globalement standardisée et "pro", trop, avec peu d'artifices mais restant correcte pour l'endroit, sans plus, mais qui a le mérite de faire les choses dans les normes sans les bâcler ce qui est déjà à souligner dans cette rue où c'est loin d'être toujours le cas. Elle est à des années lumières de Sylvia mais beaucoup plus réglo et honnête que beaucoup d'autres aussi. Plan à considérer pour les allergiques aux divas froides dont je suis. Des bons points et des manques. Rien de transcendant mais on n'est pas volés, service classique et surtout il n'y a pas d'arnaque. Social time à travailler.

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