Bonsoir à tous,
Je n'avais pas posté de nouveau billet depuis quelques temps, j'étais un peu pris avec la belle pour de jolies parties de jambes en l'air. Baiser 3 fois en 2H, ça fâtigue, mais surtout il n'y avait finalement que du sexe un peu plus "banal", je veux dire par là pas de situation réellement excitante comme ça avait pu l'être lors de nos premiers rendez-vous. D'ailleurs j'aime bien l'idée de me laisser surprendre par les rencontres, qu'elle ne se résument pas qu'à du cul, et ne finissent par forcément toutes par des jambes en l'air et un vagin humide à souhait... bref
Voici donc le récit de notre dernière rencontre, qui vous rappelera peut être certaines similitudes:
Nous discutons comme à notre habitude discrètement sur une application de messagerie, et je sens bien qu'elle ressent tout comme moi cette sensation de ne pas avoir envie de tomber dans un train-train assez classique de "On se voit, on baise, et on se quitte", je lui propose donc de nous retrouver au restaurant un midi, le même restaurant que lors de notre première rencontre. A sa réponse je sens tout de suite son enchantement, nous convenons donc de nous retrouver là bas le temps d'un repas.
J'arrive le jours J dans le restaurant, et constate en m'installant, non sans ressentir un certain plaisir, que le restaurant est complètement vide. J'ai donc le libre choix au niveau des tables, j'en choisis une un peu en retrait, un peu plus à l'abris des regards, et m'installe en l'attendant.
Elle arrive quelques minutes plus tard, dans une superbe tenue bleue et des talons hauts qui mettent parfaitement en valeur ses courbes de femme, mais aussi son regard bleu azur qui plairait à tout homme. Je ne peux m'empêcher de la complimenter, elle est tout à fait désirable, ce qui la fait sourire. Nous discutons de notre journée de travail, de sujets divers et variés, mais pour ma part je ne pense qu'à une chose: la faire mouiller. J'ai une guaule d'enfer à l'imaginer sans culotte, ne sachant pas si aujourd'hui elle l'a enlevée comme lors de notre première rencontre. Il n'y a vraiment personne dans le restaurant, autant dire que l'imagination est au top de sa forme Le repas se passe très bien, nous rigolons, je la coupe de temps en temps pour lui lancer une petite remarque coquine, décroiser ses bras afin de pouvoir mieux voir son oppulente poitrine. Elle rougit, trahissant ainsi son excitation à elle aussi, et son plaisir à se faire allumer plus ou moins directement par moi.
Je me retiens une bonne partie du repas de ne pas me mettre à côté d'elle, et reste comme un con en face, à imaginer ses jambes écartées sous la nappe, et tout un tas d'autres trucs qui ne font que grimper ma température interne. Finalement, lors du dessert, la conversation tourne autour d'un voyage, et elle décide de me montrer ses photos sur son smartphone. Ni une ni deux je saute sur cette occasion en or, et me rapproche d'elle. La position de la table est telle qu'elle se retrouve du fait sans échappatoire, coincée entre la table, l'angle du mur, et donc moi. Je me dis à juste titre que si elle décide de quitter les lieux, il lui faudra me passer sur le corps, ce qui ne serait pas si déplaisant
Elle commence à me montrer une photo, puis une seconde, les fait doucement défiler les unes après les autres, tandis que ma main commence à la caresser sur la jambe. Cette dernière remonte avec délicatesse vers son entrejambe, elle me regarde avec ce regard qui veut dire "Oui, mais non, mais oui, tu es fou, j'aime ça" Elle ne peut refreiner elle aussi son excitation, et après avoir tentée veinnement de serrer ses jambes, finit par les écarter un peu. Elle commence à me rouler une pelle, pendant que mes doigts passent sur sa culotte (oui, elle en avait finalement une ). Je peux entendre de petits gémissements dans le creux de mon oreille, ce qui m'incite à remonter un peu plus sa jupe, écarter doucement sa culotte, pour pouvoir caresser délicatement son clitoris. Elle mouille déjà abondament, mes mains se perdent dans son intimité, chaude et bienveillante, ce qui m'encourage et la pénétrer d'un doigt. Je peux voir son visage rougir de plaisir, cette coquinerie est, il est vrai terriblement bandante, ce qu'elle ne tarde pas à vérifier en me caressant par dessus mon jean.
Nous passons quelques minutes ainsi, j'aurais presque envie sortir ma queue pour qu'elle me suce, mais nous tenons à garder cet endroit accessible pour de futures entrevues, aussi nous redescendons difficilement sur terre et finissons par quitter le restaurant, un peu débraillés.
Il fait un temps magnifique aujourd'hui, la température est tout à fait agréable, et n'étant pas pressés, nous marchons doucement vers le parking où se situe sa voiture, le même que la première fois Ma queue doit être visible de toute personne qui me croise, tellement est elle gorgée de sang et dure de plaisir. Nous nous glissons dans l'ascenceur, sa main vient dans mon jean pour prendre ma queue en main, elle me branle doucement, puis remet tout en place pour nous rendre à sa voiture. Elle s'est garée un peu plus à l'écart cette fois ci, et une fois arrivée à la voiture, toute l'excitation accumulée jusque là décide d'un coup de ressortir. Elle me roule une pelle bien baveuse, ma branle discrètement, le parking est presque désert, mes mains attrapent son cul avec fougue, puis se dirigent vers sa chatte. Un doigt, puis deux, qui vont et viennent, pendant que mon pouce joue avec son clitoris. Elle mouille superbement bien, je sors délicatement mes doigts pour mieux les mettre dans ma bouche et goûter son jus. Dans l'excitation du moment, je ne peux m'empêcher de lui dire que j'ai envie de la prendre ici, tout de suite, ce à quoi elle répond un "vas-y baise moi B." qui ne fait qu'un tour dans ma tête. Un pauvre papie passe de l'autre côté de sa voiture au moment ou elle se retourne, nous calmons le jeu quelques secondes, avant qu'elle ne relève sa jupe. Je baisse sa culotte jusqu'au genoux, sort bien ma queue, cambree un peu la belle pour la mettre en position adéquate, puis vais chercher l'entrée de sa chatte avec mon sexe. Sa chatte est réellement chaude, elle mouille super bien, toujours plus, j'ai l'impression qu'il ne manquerait pas grand chose pour que de petits jets de cyprine commencent à couler le long de ses jambes et sur ses collants. Mes va et vient commencent, elle gémit encore un peu plus fort, mais je dois me rendre à l'évidence, passer 1H30 à désirer une chatte, à l'imaginer ouverte et prenable dans toutes les positions et dans des situations incongrues m'ont rendus "fébrile", je ne pourrais me retenir très longtemps. Je baisse un peu le rythme, mais la coquine colle son cul contre mon sexe, qui se retrouve donc bien profond dans sa chatte. Je lui explique que je ne pourrais pas resister bien longtemps à tout ça, elle me regarde avec toute l'excitation qui transpire de ses yeux, et me dit d'éjaculer sur son cul. Je reprends mes mouvements, tente de faire diversion en palpant ses seins et en pensant à autre chose, mais ma semence grimpe à une vitesse folle le long de mon chibre, j'accélère une dernière fois mes coups de queue, et finit par la sortir, enlève la capote, et jutte sur son cul comme elle le désirait. Le jet est à la mesure de ce qui vient de se passer, intense, il s'en faut de peu pour que mon sperme se retrouve sur sa jupe et la tache.
Je lui essuie le cul avec des mouchoirs situés dans son vide poche de portière, comme s'ils avaient été là juste pour cette occasion, elle se retourne et se baisse pour prendre ma queue en bouche, et goûter les dernières traces de sperme présentent sur mon gland.
Nous nous rhabillons comme si de rien était, nous sourions comme des gosses, et nous disons que nous sommes vraiment des ados, mais que c'était quand même trop bon. La partie de baise n'a finalement durée que quelques minutes, même pas 5 je dirais, mais l'intensité était telle que nous avons pris notre pied tous les deux. Nous savons que nous ne pourrons nous revoir avant quelques temps, la Dame part en vacances en famille en fin de semaine. Derniers regards coquins, derniers sourires de pleinitude, nous nous disons au revoir, et repartons chacun dans nos directions respectives. Je retrouve l'air libre, le soleil vient éclairer mon visage, j'ai juste le temps de me recoiffer, j'allume une clope, un large sourire aux lèvres. Je me dis que je suis vraiment fou, que cette folie est quand même terriblement bonne, et qu'il faudra vraiment que lors de nos prochaines rencontres que j'assure un peu plus longtemps si je la baise à nouveau dans un lieu public, et que je devrais acheter des masques pour pouvoir filmer tout ça... Faudra quand même que je lui pose la question avant, cela pourrait lui plaire... ou pas N'allons pas brusquer madame, et laissons là aller à son rythme, bien des choses peuvent encore arriver dans le futur...
To be continued