Discussion : NINA (albanaise, blonde - n° 136 à gauche, shift de nuit)

[Aurélio]

Ses prestations sont nulles.

Et moi je dis que ce n'est pas vrai . Ce n'est pas correct de formuler les choses de cette manière tranchante et péremptoire, en en faisant une vérité universelle. Cela revient à traiter implicitement ceux qui ont apprécié ses prestations de menteurs ou d' "incompétents". Avec le temps je commence tout de même à avoir vu pas mal de filles différentes - entre 175 et 200 - et j'affirme avec détermination que les prestations de Nina n'étaient pas nulles, en tout cas pas avec moi, puisqu'il faut formuler les choses de manière relative. J'y suis retourné un grand nombre de fois et donc, à moins de considérer que j'ai des goûts de chiotte ou que je me contente de rien du tout, je pense que mon expérience n'est pas moins valable qu'une autre.

Après, que Nina ait peut-être changé de comportement avec le temps, je n'en sais rien et je ne le nie pas. A nouveau, à chacun son expérience.

[siffert]

Ses prestations sont nulles. Et surtout c'est devenu - elle aussi - une voleuse hors catégorie. A bon entendeur.

[Aurélio]

Shift de nuit

Avec son physique de pornostar un peu vulgaire, Nina, petite blonde aux jambes fines et gros seins, du moins en apparence, car il s’agit, en réalité, d’un ingénieux artifice vestimentaire, a tous les attributs de la bombe, et pourtant, je n’ai trouvé nulle part d’évaluation à son propos. Moi-même, j’ai mis du temps à franchir sa porte, depuis au moins un an que je la vois dans cette rue, car elle m’intimidait, et ce n’est qu’après l’avoir croisée, toute frémissante et gloussante au bras d’un client, tandis que je sortais de chez sa collègue, l’autre soir, qu’elle passa aussitôt, dans ma liste mentale, de la catégorie des « possibles, mais reportées à plus tard » à la catégorie des « à voir d’urgence ». Voilà qui est fait, au terme d’une folle nuit au cours de laquelle je visitai trois filles, dont une à Anvers, cette précision non pas pour me vanter, mais pour faire comprendre que j’étais plus qu’un peu sur les rotules lorsque je quittai les trottoirs compissés de la rue d’Aerschot pour la dure litière de Nina.

Plutôt simple, abordable et gentille, finalement, cette Nina (qui préfère la référence à Nina Ricci qu’à Nina Hagen !), malgré ses airs de bête de sexe sophistiquée. La prestation fut classique mais sans ennui. Fellation très correcte, puis pas longtemps en missionnaire : sans doute a-t-elle senti qu’avec elle, ce ne serait pas la meilleure position pour finir dans des délais raisonnables. En levrette, par contre, ses reins cambrés et son charmant derrière offert, je ne fus pas long, au terme de quelques savantes accélérations et décélérations, à émettre pour la dernière fois la précieuse matière dans le petit sachet mis pour ça. Ce tiercé gagnant dans un temps assez court était une première pour moi, grâce en soit rendue à Nina, qui n’avait pas, a priori, la partie la plus facile.

J’y retournerai sans doute, histoire de voir si des prestations un peu plus hard sont, avec elle, possibles, ce qui ne m’étonnerait pas.