C'est en cours et pris en charge par la sécu dans le cadre de l'ALD 30... FRANCE
Pour les questions pratiques et FAQ, plus d'infos ici :
http://www.uroblog.fr/
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Une étude canadienne vient d’être publiée dans Cancer Epidemiology pour faire la lumière sur une question qui avait, jusqu’ici, livré des résultats contradictoires: un haut degré d’activité sexuelle s’accompagne-t-il d’un risque accru de cancer de la prostate?
Les chercheurs canadiens ont soumis un questionnaire à quelque 3.200 sujets dont environ la moitié étaient atteints d’un cancer de la prostate.
Les hommes qui déclaraient ne jamais avoir eu de rapports sexuels couraient un risque deux fois plus élevé que les autres de développer un cancer de la prostate, tandis que ceux qui avaient eu plus de 20 partenaires de sexe féminin voyaient leur risque réduit de 28% en comparaison avec les sujets qui en avaient eu moins. La probabilité de développer une tumeur prostatique agressive était également abaissée de 19% dans ce groupe.
Les auteurs pensent que la différence pourrait s’expliquer par le nombre d’éjaculations – une hypothèse étayée par des recherches antérieures, qui avaient déjà observé que l’éjaculation permettait d’évacuer les substances carcinogènes présentes dans le liquide prostatique. Certaines données indiquent en outre que des éjaculations plus fréquentes préviennent les dépôts de cristaux prostatiques intraluminaux, qui sont également susceptibles d’être cancérigènes.
Cette explication est néanmoins à prendre avec une certaine prudence, puisque le nombre de partenaires différentes n’est pas nécessairement corrélé au nombre d’éjaculations.