Parce qu'on ne change pas une équipe qui gagne.
Ma dernière rencontre avec Kyomi remontait au contexte de gueule de bois post-attentats du 13 novembre. Du sexe pour oublier la haine et la mort, rien que ça. Mon "excuse" d'aujourd'hui a sensiblement moins de gueule : l'escort venue du froid (elle est Sibérienne) a pris ses quartiers à un jet de foutre de mon bureau parisien et la bouffe de la cantine est dégueulasse : me voici donc parti baiser sur ma pause déjeuner.
La belle s'étant levée tard et me fait savoir je serai donc le premier client de la journée. La magnifique journée ensoleillée d'hier a laissé la place à un crachin dégueulasse, soufflé dans un vent glacial. Je ne patiente que 5 minutes au pied de l'immeuble où Kyomi reçoit, mais je suis déjà frigorifié. Code, étage, porte envoyé par SMS, me voici parti pour le 7è ciel.
Kyomi m'accueille avec la panoplie de la lycéenne salope : couettes, mini-jupe plissée, soquettes blanches et lunettes designées pour la faciale. Notez que je n'ai rien demandé pour le dress code, puisque j'ai tendance à m'en foutre complètement, et que c'était à son entière initiative.
Je la trouve plus conforme à ses photos cette fois-ci, et donc moins jolie que la dernière fois, mais elle n'est absolument pas repoussante non plus, entendons-nous bien. Je lui tends les 300 roses - j'ai demandé l'option CIM - elle me galoche joyeusement en me réchauffant les mains, puis je demande à passer à la douche. Etant le premier punter de la journée, je prends la première serviette blanche et propre de la pile et j'en déduis que la Russe au sang chaud attend entre dix et quinze visites aujourd'hui.
C'est simplement vêtu de ma serviette que je la rejoins dans la chambre attenante. Re-galoches, elle est chaude comme une baraque à frites et j'ai le barreau.
Elle dit se souvenir de ma bite (NDLR : et je la crois, cette fille a une mémoire d'éléphant), s'accroupit pour me prodiguer une fellation de haute volée, baveuse à souhait et en ne lésinant pas sur les deepthroats.
On passe sur le lit, on déroule classiquement le 69 que je fais durer parce qu'elle suce quand même divinement bien et puis c'est l'enchaînement tout aussi classique avec le combo cowgirl-levrette-missionnaire. Je dois me retenir plusieurs fois de jouir car elle est carrément convaincante mais je veux mon CIM.
Je suis assez long à venir, comme souvent, et la pauvre galère un peu, elle peine à trouver le bon rythme, fatigue et relâche la pression alors qu'elle n'est plus très loin de m'envoyer au plafond. Je lui fais gentiment comprendre que si elle s'aide de sa main, elle va parvenir à ses fins et ça ne loupe pas, je jouis dans sa bouche : le Comte est bon
Tous les petits héritiers du Comte finisse dans le lavabo et je repasse à la douche me savonner le colosse avant de papoter avec Kyomi en me rhabillant. On se quitte avec une accolade chaleureuse et sincère. "Take care, see you next time".
Me revoici sous la pluie fine de ce premier jour de mars. Sur le trottoir, le client suivant fait tout pour paraître invisble