Ah mes amis, encore une trouvailles au GDT , et aucun regret d’avoir choisi Vienne pour un étape d’un soir compte-tenu du moment exceptionnel passé au fond d’un con merveilleux.
Arrivé vers 21:30 le club affiche 50 femelles au compteur et cela semble exact . Dés la sortie des vestiaires à l’odeur caractéristique de Javel à deux balles, on sent l’agitation des weekends bien qu’étant en milieu de semaine . Déjà un bon point . Je me suis déshabillé en vitesse au vestiaire , me réservant la douche à mon premier passage devant le cheptel qui m’alpague dés mon passage, et part vers le lieu saint , les divans où les putains narguent les clients . Je redoute que le « sharkage » ne soit de mise ce soir du fait du fait du ratio oursons/ oursons de ce soir . Je ferai come d’habitude j’éconduirai les importunes d’un simple regard indifférent ou d’un geste clair . Jeune suis pas d’humeur à perdre mon temps avec de jeunes sans intérêt.
Dés mon premier passage , avant même la douche d’usage , la douche située en plein club, au milieu des divans , au milieu du troupeau, je l’aperçois , discrète , magnifique, élégante, bronzée, bref sublime… une vraie femme de 30 ans environ , avec un beau regard profond qui me dévisage au passage , je ne m’arrête pas , fidèle à mon habitude de maintenir la distance qui me permet de choisir les plus exigeantes ! Car , pour ma part, je souhaite mettre ce soir une jolie femme, exigeante et non la pute du coin prête à se faire enfiler par n’importe quel petit con en goguette.. Non je souhaite mettre une splendeur, un canon, ce soir je veux de l’exceptionnel . Et je veux une femme qui souhaite la même chose. En observant les , on peut en toute objectivité dire que peu de thons sont présents, beaucoup de quelconque, quelques jolies filles bien foutues tout à fait possible de démonter en cas de nécessité, et au bout du compte (2/3 heures de présence et d’observation) 3 canons, 3 filles avec qui on pourrait passer le reste de sa vie et devenir un moine tibétains si tant est qu’un moine tibétain puisse emmener 3 filles avec lui dans sa cellule , au risque de se les faire piquer par le Yéti !
Je file donc vers la douche en l’ayant déjà remarquée et met au point en me savonnant une stratégie particulièrement sophistiquée, hautement précise et qui se révèlera gagnante comme vous le verrez : l’observer, l’étudier par tous les angles, vérifier que son corps (elle était assise et je me suis concentré sur sa jolie petite gueule et ses magnifiques boobies bronzés ) ne présente pas le défaut habituelle la femme qui n’est plus une jeune fille à savoir la cellulite ravageuse, la dévisager, la surprendre, la provoquer, l’énerver, la titiller et surtout maintenir la distance pour l’intriguer et l’obliger ainsi à se découvrir et si possible la faire venir à toi par curiosité ou par attraction .
Commence donc mon manège . Je pars au bar prendre un Diet coke (jamais d’alcool avant l’action) , puis repasse près d’elle en la fixant d’un regard dur, d’un regard de tueur , impassible, un laser pour la tester : elle soutient mon regard manifestement étonnée que je ne lui adresse pas la parole et encore moins un sourire. Je reste froid , impassible, je cherche à la vexer ! Puis je vais m’avachir sur un divan à quelques mètres d’elle pour l’observer. Pour me voir, elle est obligée de se retourner , c’est le but. Je l’observe en permanence, de temps en temps elle se retourne mais j’écarte mon regard avant qu’elle ne puisse le voir, elle m’observe, et je te la chope du regard, en plein flagrant délit elle se fait piéger ainsi plusieurs fois. Ce jeu ne trompe pas , elle est dans mes filets ! je tiens à étudier sa sociabilité , qui fréquente-t-elle , qui est-elle ? Elle socialise peu gardant ses distances avec les jeunes nsignifiantes. C’est un bon point . Elle éconduit les clients faciles . Elle aussi veut se faire mettre par un homme qui saura rendre hommage à sa beauté , il est clair qu’elle choisit et je veux être choisi . Car , croyez-moi elle est vraiment belle, racée, avec sa large bouche de poisson qui semble naturelle, ses beaux cheveux long , sa bronzure parfaite.
Elle se lève , je n’en manque pas une ! Elle est parfaite sur ses haut talons, un beau dos joliment tatoué , un beau dos à la Man Ray, avec une taille fine et des hanches larges. Pas le moindre gras, ses seins sont énormes, sembles siliconnés mais je n’en suis pas sûr , à vérifier, néanmoins sublimes . Elle revient s’assoir en me jetant un regard mi-étonné, mi -inquiet , comme si elle ne comprenait pas que l’on ne soit pas déjà dans une alcôve à se lécher mutuellement. A son retour elle m’observe, et je suis convaincu qu’elle ne s’est levé que dans ce but : me voir directement, naturellement sans avoir besoin de tourner son regard une fois assise: je le sais car dés qu’une jeune vient m’importuner je sens du coin de l’oeil qu’elle m’observe. C’est merveilleux . dés la jeune éconduite elle se remet à faire semblant que je n’existe pas : c’est merveilleux . Le temps passe ma TS s’élève lentement. Il va falloir agir .
Elle se relève une nouvelle fois et cette fois ci je me rapproche de sa couche de telle sorte à qu’elle se retrouve à 2 mètres de moi à son retour . Sur le chemin de traverse elle se fait alpaguer, je fais semblant de rien, puis relève le visage dés qu’elle se dirige vers sa couche donc vers moi . Elle est obligé de m’adresser la parole , c’était le but recherché . A un mètre de moi je vois une des plus belle créatures que Dieu ait crée sur cette terre . « how are you darling ? » dit-elle derechef . Ce à quoi je réponds « observing you ! » … elle rigole et sa bouche s’éclaire sur une denture parfaite. Ses larges lèvres refaites s’ouvrent . Elle est vraiment sublime , un top-model digne de Playboy. Je le lui dis « What are you doing here , in such a place ! it is not a place for you Beauty » … Elle est touchée.
Elle s’assoit à mes côtés . On se serre la main comme au conseil d’administration de la SNCF entre collègues dont on craint l’avancement et qui pourrait devenir votre supérieur ! On fait connaissance, elle s’appelle Irena et est hongroise, j’avais bien vu qu’il ne s’agissait pas de la roumaine de base , la 2cv des FKK. Elle est maquilleuse dans la vie et vient se prostituer régulièrement ici. Je ne tiens pas à la vue de ses deux énormes obus bronzés, mais je me retiens , reste glacial, froid, je veux continuer de la surprendre, de l’attirer . J’observe le matos sans gène aucune ce qui l’amuse, tel un boucher observant la vache partant à l’abbatoire. Ma froideur impassible l’agace, c’est clair mais n’est pas pour lui déplaire . « Why are you so sad ? » s’avance-t-elle . Je lui répond « Je ne suis pas triste, je suis fatigué ,fatigué du monde, de la futilité du monde »… Elle n’en revient pas , elle a à faire un ourson philosophe. « Je t’ai vue, tu es sublime , on va aller copuler car tu me veux et moi je te veux , et après…. ? la banale tristesse de la vie reprendra »…. Elle n’en croit pas ses oreilles…On discute le bout de gras (qu’elle n’a pas) . Elle me demande « on attend quoi ? » (c’était le but recherché) , je lui rétorque « dis-moi tes conditions » . Bref elle m’annonce un 200 roses que je refuse en rigolant deux roses pour copuler « jamais » . Je vous passe les négociations qui seront finalement amusantes et on tombe d’accord pour un 150 roses sans se presser avec tout compris , la pompe bio ncluse et les préliminaires au Kino où l’on se retrouve quelques instants plus tard après avoir traversé fièrement le lobby devant les petites putains vexées d’avoir été éconduites et écartées au profit de la sublime hongroise qui ne doit pas se faire que des amies.
Sur l’écran une queue sodomise une femelle qui gémit en silence puisque le son est coupé. Irena me lavouille la bite avec ses lingettes de supermarché, et me caresse enfin en me regardant droit dans les yeux . Le délice commence. Le Kino se remplit. J’aurais fait de même. On nous a vus y filer, on veut nous voir copuler. Irena me masturbe lentement, je lui baise les tétons puis file en bas entamer une pipe délicieuse qui fait cambrer sa croupe et me révéler sa vulve qui ne demande pas mieux que de se faire caresser, Irena glousse . Son cul est ouvert à l’allée centrale. A 4 mètre de ceix qui observent en silence, jaloux, cela doit être beau à voir. Je profite de cet instant divin. Irena me suce en me regardant. Je lui parle en français à la Woodman notre maître à tous sachant qu’elle ne pige que goutte: « Vas-y ma salope , bouffe-moi bien, oui c’est ça , bien les couilles, oh oui tu sais sucer toi , hein ma salope… mon dieu quelle suceuse ! hein ma chiennasse ! »Je mouille mes doigts et lui pénètre la chatte , elle ne dit rien … de mon autre main je la fais cambrer un peu plus pour dégager son anus offert aux spectateurs silencieux du Kino , et je lui pénètre le rectum lentement, Irena est impassible et continue son travail de sape sur mon phallus . Je lui fait lécher son doigt à peine sorti de son anus, elle est ravie. Puis je sens que ça monte.
On arrête les préliminaires d’un commun accord et on traverse le lobby , ma queue pointant volontairement en dehors du peignoir. Les petites s’esclaffent mi-amusées mi-jalouses, allez donc savoir , on s’en tape , on est heureux , on est seuls au monde ! seul compte notre plaisir et on va pas se gêner. Toutes les chambres du fonds derrière de buffet sont occupées. Qu’à cela ne tienne, on retraverse le lobby devant les mêmes petites et on s’engouffre dans la petite alcôve adjacente au Kino . Le rideau tiré on s’est que les petites salopes pourront tout entendre, elles sont à 5 m maximum .
Enfin isolés pendant que la hongroise étale le drap d’usage, je retire mon peignoir et lui caresse les fesses . Elle est vraiment magnifique. Je la retourne, et lui enfile sans lui demander son compte ma bouche dans la sienne en DFK. Je risquais au minimum une baffe une remarque cinglante, au pire un scandale de FKK , j’obtiens un très long gémissement sensuel, c’est le bonheur., on n’avait pas négocié le DFK, elle a compris qui domine et c’était le but ! Elle aime ma technique innée de français , il est vrai qu’on a le DKF coule dans nos gènes et puis tout dépend de qui vous le prodique , George Clooney ou Pierre Ménès ! Je l’appuis contre le mur , elle est toujours juchée sur ses échasses de bordel , j’écarte ses jambes , j’enfile la tranche de ma main dans son con qui mouille, puis la gratifie de petite claque habituelle sur le cul « You need to be punished darling ! Why ? Because you are a provocation for the men ! », elle rigole, je lui indique le bord du ring, la fait s’agenouiller à quatre pattes, et la gratifie d’un léchage d’huître arrière qui la fait glapir comme une belette ! Elle mouille comme une dingue. Je décalotte de ma langue son clitoris qui ne demande qu’à faire sa sortie du dimanche bien qu’étant jeudi . Il est gros, gonflé, bien durci…j’alterne les grands coups de langue à la Médor sur tout la largeur de l’huître et les assauts précis du bout de la langue pour lui décalotter encore plus son bouton d’amour… Irena me gratifie d’un « stop darling »… Je le lui concède.
Je m’avachis comme un porc fatigué sur le lit en observant sa moule et son anus offert au miroir qui manque de se fissurer de plaisir. Irena se remet à la pompe, je lui demande de me prodiguer une pipe lente sur ma queue veinée , une longue pipe sensuelle, élégante... Puis je l’attire en 69. Et là je découvre la merveille de plus près encore… Son anus si particulier, lui-même formés de petites lèvres comme un mini-millefeuille . Nous passons de longue minutes à nous lécher. Je caresse son dos, je la cambre de mes mes mains pour mieux l’ouvrir à mes assauts, je palpe ses melons, je joue avec ses tétons…Irena suce divinement , lentement , profondément, manifestement elle ne souhaite pas que la purée ne monte trop rapidement. Puis elle vient.Après un durcissement subit du clitoris , je sens sa tulipe s’épanouir, et le liquide qui ne trompe pas couler dans ma bouche . C’est le bonheur.
Elle croît le temps du 69 achevé, il n’en est rien , c’est le moment bien au contraire de l’attaquer de plus belle en la maintenant fortement aux hanches, en la forçant à garder sa vulve à porter de langue ,et à lui travailler latéralement le clitoris. Irena essaye de se dégager, elle n’ose hurler de peur d’attirer celles assises juste derrière le rideau qui sans aucun doute auront entendu la belle couiner et glapir sous mes coups de langues. A quoi bon se révolter dorénavant et pour quel motif ? Je te la travaille de la langue, son clitoris est gonflé à mort, il s’est rempli à nouveau de sang bouillant; Irena retient sa respiration , elle a depuis belle lurette abandonné ma queue pour se concentrer sur sa propre jouissance - on se demande qui est le client - et je lui demande en m’interrompant une fraction de seconde « you like it » et elle réponds simplement « yes » et je lui dit en hongrois « Iguen? » et elle répond plus fort « iguen ! » c’est à dire « oui « dans sa langue natale. Puis elle retient son souffle , très longtemps, se préparant à la décharge finale et fulgurante, et Irena vient, se cambre en arrière comme foudroyée par l’orgasme, Irena beugle comme une truie ! Elle vient une seconde fois , et une seconde fois je reçois une giclée entre mes dents. Elle est vaincue ! A ma merci !Je me remémore mes longues minutes d’approche au lobby , qui auront tant payé ! Irena marmonne quelque chose en hongrois, et en rigolant s’affaisse sur la couche hélas pas nuptiale !
Le reste sera plus classique mais néanmoins délicieux : après enfilage du plastique et baise en différente position , cow-girl mémorable en voyant ses deux ballons bronzés dans mes mains, en voyant nos corps dans le miroir, après une superbe levrette appuyés sur ce même miroir, je la repasse en missionnaire pour enfin jouir. Je veux son beau regard tendre pendant l’assaut final. Ses yeux sont immenses, d’un bleu-vert profond, ses lèvres maquillées Bleu à la Enki Bilal, énormes, sensuelles mais pas difformes… elle est sublime de beauté et sa beauté et magnifiée par lemoement unique que nous vivons. Je lui saisis les cuisses, me penche en arrière la bourre comme un lapin une dernière fois, le jus monte, je me rabaisse sur elle, l’embrasse sur le front, les yeux et en fain sus sa superbe bouche, puis me relève et je me libère dans le plastique en beuglant comme un porc , yeux dans les yeux.