Discussion : Avez vous déjà eu une fuck-friend ?

[Jack Rock]

Jamais eu de fuckfriend. Des copines «classiques», oui.
J’essaierai peut-être, faut voir.

[dirty_alan]

Les Fuck Friends c'est pas ce qui manque. J'ai tendance à penser que c'est même carrément la norme aujourd'hui.

Bon pour les mecs en couple, les Sexfriends c'est juste un passage obligé pour sortir de la routine. Mais sinon même pour les célibataires, j'ai l'impression que c'est la norme, ça refuse de s'engager, ça ne veut pas de prise de tête, juste les avantages de la vie de couple sans les inconvénients.

[routard]

C’est la copine dont j’avais toujours rêvée. Je l’avais connue parnl’intermédiaire de ma petite amie de l’époque puisqu’elles étudiaient ensemble. Elle m’avait dragué ouvertement dès notre première rencontre, mais je ne pouvais pas riposter puisqu’elle était la copine à a petite amie. Très vite elle a été de toutes nos sorties avec une troisième copine puis un peu de temps après nous avons aménagé tous les quatre ensemble en colocation. Autant dire que j’ai appris à la connaître par cœur puisque nous vivions ensemble en permanence.

Comme moi, elle adorait sortir, faire la fête et rencontrer du monde. Comme moi, elle avait l’instinct de chasse, la passion de la découverte, le besoin de nouvelles expériences et était farouchement attachée à sa liberté. Même si elle me voyait bridé par ma relation avec sa copine, elle savait que nous étions de la même race et me provoquait régulièrement pour la rejoindre dans ses aventures. Les études terminées, elles sont toutes rentrées chez elles en même temps.

A la fin de ma mission en Amérique du Sud, j’avais un mois de vacances , j’avais décidé d’en profiter pour faire un tour complet de la Colombie : Bogota, Neiva, Cali, Medellin, Manizales, Pereira, Armenia, Ibague, Cartagena, Baranquilla, Santa Marta. Je pensais le faire seul au début, puis j’ai eu cette idée géniale de l’appeler à l’aéroport juste avant d’embarquer pour démarrer mon périple. Comme par hasard, elle venait tout juste de perdre son boulot et n’avait plus aucune attache. Elle n’a pas hésité une seconde et m’attendait déjà à mon arrivée à Bogota avec son sac à dos prêt à me suivre dans mes aventures.

Ce fut un mois de rumba permanent tous les soirs, en passant de ville en ville, d’hôtels en hôtels en contactant à chaque fois sur Facebook tous ceux que l’on connaissait dans chaque ville pour faire la fête. J’avais non seulement trouvé ma partenaire de rumba, mais j’avais surtout trouvé ma wing-woman en séduction. A deux, on formait une équipe redoutable.

En effet, accompagné d’elle, je pouvais aborder et inviter toutes les filles de la manière la plus naturelle qui soit à se joindre à nous, tout comme elle pouvait aborder n’importe quel type en toute sécurité puisqu’elle était avec moi. Si elle me voyait hésiter, c ‘était de toutes façons elle qui allait aborder les filles seules pour les inviter à se joindre à nous. En échange, elle me demandait par contre d’aborder les gringos pour lesquels elle avait un faible, car c’était plus facile pour moi que pour elle d’aborder mes compatriotes en pays étranger. On se prenait tellement au jeu que l’on commençait à aider également notre entourage à rencontrer, en essayant à chaque fois de nouvelles stratégies.

Un soir par contre dans une petite ville Paisa, on avait trouvé tous les lieux de sortie déserts car on était en pleine semaine. On est donc rentré tous les deux bredouille et on est allé se coucher en riant de notre mésaventure. Nous avions l’habitude de dormir ensemble, de partager notre intimité et d’avoir une forme de tendresse l’un envers l’autre. Je pensais donc m’endormir comme d’habitude, nos deux corps enlacés, lorsque soudain je sens sa main entrer dans mon caleçon.

Sur le coup, je pensais qu’elle l’avait entré par mégarde, mais elle m’avait déclenché une érection instantanée tant elle m’avait excité par l’effet de surprise. Je m’attendais à ce qu’elle allait retirer sa main comme si elle s’était trompée, mais elle me tenait au contraire fermement le membre, tel un trophée. Je ne pouvais m’empêcher de l’imaginer allongée derrière moi, un sourire victorieux illuminant son visage de séductrice.

Depuis le premier jour de notre rencontre, nous avions toujours su qu’un jour ou l’autre on en arriverait là. Ce soir là était arrivé et j’allais découvrir une facette que je ne connaissais pas d’elle. Derrière son image de fofolle, elle était d’une douceur extrême en faisant l’amour. Mais le plus surprenant furent ses orgasmes qu’elles déclenchaient tel une mitraillette. « Je suis multi-orgasmique » me soufflait t’elle à ‘oreille. Je n’avais pas le temps de monter en température qu’elle m’en déclenchait à nouveau un. Au bout d’une demi-douzaine d’orgasmes, elle commençait enfin à s’inquiéter du mien, et pour se faire préférait me faire terminer dans sa bouche. Avec la satisfaction du devoir accompli, elle s’est endormi ensuite dans mes bras comme d’habitude.
Je connaissais son désir d’indépendance, mais je craignais néanmoins sa réaction le lendemain. Nous nous sommes réveillé le lendemain comme d’habitude et après le petit déjeuner elle m’a proposé de sortir dehors pour l’accompagner dans un salon de beauté. Bonne idée, je n’avais jamais visité un tel endroit.

A l’intérieur, je me suis tout de suite senti bien : l’endroit était bondé, il n’y avait que des filles à l’intérieur, les clientes comme les employées, j’étais le seul mâle. La couleur dominante était le rose, les parfums sentaient bons. Je me laisse faire, je suis complètement pris en charge par deux filles, l’une s’occupant de mes pieds, l’autre de mes mains. Ma copine est assise à côté de moi et discute avec elles. A un moment de la conversation, elle corrige les employées qui nous pensaient ensemble en leur expliquant en rigolant que nous ne sommes qu’amis et que je suis donc libre et à la recherche d’une fiancée. La fille qui était à mes pieds en laisse échapper son outil alors que l’autre lance une exclamation pour exprimer son intérêt soudain. Satisfaite de son méfait, ma copine me laisse ensuite à la merci des deux petites Colombiennes pour son épilation dans une autre pièce.

Je crois que ce fut à ce moment là le meilleur moment de mon voyage. J’étais dans cet environnement saturé en oestrogènes et progestérones avec deux filles qui prenaient soin de moi et surtout ma meilleure copine qui m’avait fait passer le plus beau des messages : nous sommes amis même après avoir fait l’amour ensemble….

Effectivement, notre amitié a continué comme avant sans que ni l’un ni l’autre essayait de s’octroyer le droit de confisquer la liberté de l’autre sous prétexte que de temps en temps l’un avait besoin de l’autre pour assouvir un besoin sexuel.