Je ne l'ai pas cherchée, mais elle m'a trouvé. Dans un couloir étroit, où la place est comptée, un arrêt soudain nous laisse face à face. Elle n'a rien de mes rêves humides. Physique, sinon ingrat (double!), du moins inusité...
Mais elle prend les choses en mains, sans ambages (ayant manifestement oublié sa provision d'ambages à la maison). Mais les choses évoluent, contre toute attente. Mais, la situation devenant tendue, nous nous retrouvons dans (devinez!...) une chambre (si!).
Blonde et un peu replète, elle ne correspond pas, forcément, à mon idéal féminin. Elle ne fait rien de spécial... Mais elle est confortable, simple et reposante. Idéale dans l'instant, et une levrette ultime aura raison de mes ultimes résistances...
Oserais-je la - grasse - plaisanterie?. J'ose! Tant pis!. Elle est comme les Flamandes et les 2 cv Citroën: « On n'est pas fiers avec, mais on est bien d ‘dans! ».
Pardonne moi, Vanessa la blonde, Vanessa la Russe, tu vaux plus que mes, méchantes, plaisanteries...
3h45. Cularo décide d'aller se coucher. Je me réveille et je le suis. On dirait qu'il vient de se lever: Il est frais comme un gardon!...
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