J'avais depuis longtemps repéré Anna au Lancelot. Mais entre la déception d'un camarade il y a quelques mois et son duo avec Carla pour chasser le pigeon la semaine dernière, j'étais resté sur mes gardes. La demoiselle a de quoi effrayer les cœurs tendres, avec son physique plantureux, son caractère fort, ses manières de baroudeuse quand elle se lance sur la piste d'une proie (ou d'une poire, c'est selon l'ordre des lettres).
Autant vendredi dernier, elle m'avait complètement refroidi en m'abordant comme un taureau furieux pendant que je comptais paisiblement les bulles du jacuzzi, autant ce soir j'ai découvert une fille de bonne humeur, amusante, qui met de l'ambiance en salle. Elle a surtout consacré beaucoup d'efforts, de vrais efforts cette fois, à me convaincre de la suivre en chambre. Elle a pris du temps pour faire connaissance, pour danser et rire avec moi, autant de bons points à mettre à son actif.
Une fois en chambre, on se pose tranquillement sur le lit, on se caresse, on s'embrasse d'abord du bout des lèvres, ensuite à pleine bouche. Elle se laisse faire pendant que je goûte ses seins et son ventre. Puis elle me demande si j'ai envie de me faire sucer et s'applique à bien faire reluire mon membre. Après quelques minutes délicieuses, elle prend une capote et la déroule sur ma tige avec sa bouche, continuant à me pomper avec vigueur.
Arrive le moment où elle s'empale sur moi et joue avec son bassin généreux. Après ces premiers mouvements, elle s'enlève et s'allonge à plat ventre sur le matelas et me demande de la prendre par derrière. Je lime avec beaucoup d'entrain, Anna semble contente. Elle se redresse ensuite et veut une vraie levrette, me montre où poser mes mains pour bien la saisir. On se lâche complètement. Je bourrine comme un fou, j'ai de très bonnes sensations avec une fille qui en redemande. Je donne tout ce que j'ai et je crève de chaud.
Passé cet instant sportif, on continue en missionnaire sur un mode un peu moins fort, mais en tapant quand même bien mon pubis contre le sien. Ça cogne et ça s'entrechoque, c'est physique et c'est bon. Après une demi-heure à pleine vitesse, j'ai besoin de souffler, même si je n'ai pas encore envoyé la sauce. Anna comprend que j'ai besoin de repos et reprend l'initiative, s'applique à me faire venir avec la main et la bouche. Elle s'épuise à son tour, car là encore je ne suis pas prêt à tirer mon coup de canon. Elle s'allonge alors à côté de moi et je la serre très fort pendant que j'arrive à me finir à la main. C'est le déluge, ça coule à flot et j'en ai plein la queue, la main et les poils. Franchement, c'est dégueulasse de s'en mettre partout comme ça, mais je m'en fous. Je continue de serrer très fort Anna et je ferme les yeux pour aller au bout du bout. Putain, enfin... (avec le râle de plaisir qui va bien et le gros oh merde qui termine le concert).
Après m'être essuyé avec un tas de serviettes en papier - le Sopalin aurait été plus approprié-, je m'allonge à nouveau près d'Anna et je lui caresse doucement le dos pendant les dix minutes restantes sur l'heure complète que j'ai prise. Ma partenaire ferme ses yeux, chuchote qu'elle apprécie ce moment de quiétude et qu'elle pourrait maintenant s'endormir tant elle est fatiguée. Et moi donc. Pas besoin de salle de sport ni de somnifère après des séances comme ça.
En chambre, Anna envoie du lourd. À réserver aux adultes avertis qui ne se laissent pas décontenancer par une vraie chasseuse, mais qui s'avère être également une bonne professionnelle du sexe. En dépit des tares habituelles (garde un œil sur la montre, vérifie souvent la capote) constatées chez beaucoup d’hôtesses, la croqueuse de bourse m'aura permis de rentrer vidé et bien fatigué. Comme j'aime.