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Discussion : Belleville : COCO (asiatique, cheveux mi-long, châtains)

  1. #


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    mai 2013
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    C'est bien vu et bien dit de la part de Merlin l'enchanteur, qui fait preuve d'empathie comme toujours. Mais la remarque sur les mecs qui n'enlèvent pas leurs chaussettes m'étonne un peu. Je pense qu'il vaut mieux que certains ne les enlèvent pas, que parfois on n'a pas envie de les enlever mais de les mettre dans la machine à laver en rentrant, qu'en définitive cela fait gagner du temps à nos amies et que finalement, dans le domaine des relations tarifées, il n'est pas rare que la partenaire féminine garde ses bas, se contente de relever sa jupe et ne sorte que le bout de ses tétons de son soutien-gorge - ce qui peut aussi avoir un côté excitant.

  2. #


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    janvier 2008
    Messages
    148

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    Cher Monsieur Caal1,

    On pourrait envisager trois raisons pour cet arrêt :

    — Soit elle est en arrêt maladie, pouvant faire partie de la demi-douzaine de filles qui statistiquement ont chopé une chtouille, ou alors des 30 ou 40 autres qui ont besoin de repos et d’antibiotiques à cause de bugs divers et avariés ;

    — Soit elle a perdu sa salle de jeu, elle aurait pu se faire virer par des résidents grincheux et n’appréciant pas le va-et-vient de branquignols dans leurs étages. Elle est retournée coucher sur une bannette chaude a 120 € le mois, mais n’a plus d'endroit ou accueillir la clientèle ;

    — Soit elle en a marre de son boulot. Voilà deux ans qu’elle tapine.

    Dans le bon vieux temps (je vous parle d’un temps, etc., etc.) les filles ne dépassaient guère 6 mois ou un an max de pain de fesse le temps de rembourser le passage, de se trouver un mec ou un boulot. Ca ne les empêchaient pas de recevoir ici ou la de vieux clients pour améliorer l’ordinaire, mais écarter les cuisses pour le rif-raf de la rue n’était pas vraiment leur trip.

    Maintenant, le cout du passage a augmenté, les filles ont changé, mais malgré tout je sens comme une lassitude chez celles qui entament leur deuxième saison. Elles sortent moins, attendent plus le client téléphone au chaud, sont moins money money qu’il y a encore 6 mois. Et puis le business est lassant. Même celles qui sélectionnent leurs clients, fatiguent de devoir écarter les cuisses une bonne centaine de fois dans le mois. De se farcir trois positions, le reniflage de leur chatte, le doigt dans le cul en levrette, de faire semblant de jouir pour satisfaire les libidos molles et affectueuses; à la longue elles ont vu tout ce qu’elles pouvaient voir.

    Et puis il y a le reste, je reviens d’une visite a une de mes ouailles et j’ai pu constater des rougeurs et des boutons sur son visage, à cause de tous les blaireaux qui cherchent à lui rouler une pelle pendant la violonade et qui n’y arrivant pas, car elle evite les echanges de fluide corporel et serre fermement les levres, bavent partout sur les joues, les oreilles, etc. avec pour résultat des allergies carabinées qui réclament un traitement régulier.

    Déjà il ya les mecs qui n’enlèvent pas les chaussettes, mais en plus il y a ceux a l’haleine chargée et la bave corrosive. Dur job.

    Coco a pu en avoir marre de se faire « démonter » quatre ou cinq fois par jour pour 40€, et a décidée de se ranger des voitures.

    Bonne chance Cocotte.

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  1. #


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    septembre 2012
    Messages
    89

    Par défaut Belleville : COCO (asiatique, cheveux mi-long, châtains)

    Je n'ai pas trouvé de post correspondant à mon EV. Si déjà existant merci de le signaler et au modo de le déplacer.

    Rencontre hier après midi vers 16 heures.
    La belle se trouve en haut de la rue du Buisson St Louis, côté gauche en descendant.
    Petite, visage rond, assez particulier pour une asiatique, souriante, donne une impression de douceur et de gentillesse, cheveux mi-long, châtains.
    Habillée d'une mini jupe, collants noirs, chaussures noires avec qqs dorures, veste bleue style jean, chemisier blanc avec qqs froufrous, particularité : porte une casquette plate blanche en toile.
    J'ai tout de suite été séduit. Je lui propose 40€ alors qu'elle demande 60. Réponse : "jamais". Ok je pars, puis je repasse après qqs minutes ( toujours aussi souriante) et je propose 50. Elle 60, moi 50. Finalement accepte, entre temps une de ses collègues vient pour me faire la promo de la belle. C'était du style, " tu peux y aller, elle fait très bien l'amour". Sympa!
    Elle reçoit à proximité de son post, en bas de la rue du Buisson St louis, dans un immeuble sécurisé, porte avec sas. A ma surprise une femme attend à l'entrée (ça ressemble à une mamasang) pour nous ouvrir les portes et nous faire monter dans l'ascenseur. Direction le 2 ème étage. Elle nous ouvre la porte de l'appartement mais n'entre pas.
    Une chambre avec petit cabinet de toilette. La chambre est séparée en 2 par un rideau. La partie de gauche est déjà occupée par une consœur en action, ça rigole et de temps en temps j'entends la fille gémir, elle a l'air de bien apprécier. C'est plutôt excitant comme entame.
    Ma belle s'appelle Coco, elle me dit avoir 25 ans. Elle parle un peu le français et se débrouille bien en anglais. Elle se déshabille, elle a qqs rondeurs au niveau des hanches mais reste quand même relativement mince. Belle poitrine pour une asiatique, beaux tétons, belles fesses, peau très douce, propre, sent bon. Toison fournie, très jolie. Elle a une petite cordelette tressée autour de la taille.
    Petits bisous sur la bouche, caresses mutuelles, beaucoup de tendresse dans ses gestes. En voyant mon sexe, elle me dit "big" alors que je suis dans la moyenne statistique. Bref un régal.
    Elle me fait une fellation, elle assise sur le lit, moi à genoux pendant que je m'occupe de son entre cuisse. Après qqs minutes, je me rend compte que je n'aurai pas besoin de gel pour la suite. Très endurante dans cette cession.
    Je n'ai pas demandé de cunni, ce sera pour la prochaine fois.
    Puis passage en missionnaire, elle gémit, la colloc d'à côté semble plus avancé dans l'action et j'entends son partenaire qui commence à râler. Passage en levrette, elle tourne la tête et j'en profite pour l'embrasser - baiser humide sans la langue de sa part.
    Elle ne semble par pressée par le temps et reste tendre même après l'acte.
    J'y retournerai assurément.

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