9 avril 2024. Patricia, "Maison de l'amour", Offenburg.
Il fait beau, quelques rayons de soleil font scintiller le Rhin. Il doit faire quelque chose comme 20 degrés. J'ai franchi la frontière vers dix-huit heures trente, non sans avoir entrepris de quitter Strasbourg à toute vitesse. Je me suis garé sur le parking de la Maison de l'amour, une vingtaine de minutes plus tard.
Il régnait un silence assourdissant. Seules quelques voitures (trois, quatre. Cinq à tout casser) étaient stationnées. Sûr de moi, je me suis dirigé vers l'entrée et ai entrepris de monter les escaliers après que Patricia m'ait ouvert la porte. Celle-ci, lingerie fine et sourire ultra-bright, m'attendait au premier étage. Après les présentations formelles, je lui ai tendu son dû pour un "quickie" (50€) et ai commencé à me déshabiller après qu'elle m'ait invitée à la faire. Patricia est une quadragénaire polonaise à la poitrine opulente. C'est d'ailleurs ce qui m'a sauté aux yeux lorsqu'elle a pris mes mains pour les poser sur ses seins. Je l'ai dévoré du regard en virevoltant mes doigts sur son corps. À plusieurs reprises, et avant de nous retrouver sur le lit, elle m'a embrassé dans le cou ; ce que j'ai pris plaisir à faire une fois au-dessus d'elle.
Sa fellation, énergique et agréable, bien exécutée, je lui ai proposé un missionnaire qu'elle a, volontiers, accepté. Affable et gentille, Patricia maîtrise son sujet. Le rapport tout à fait agréable sera bientôt renouvelé.