Ce que quelques escorts françaises caucasiennes s'échangent entre elles doit sûrement être très intéressant, enfin, autant que ce que se partagent des femmes dans un milieu de travail ou associatif, quand les hommes sont en présence homéopathique. Ce ne doit pas être bien différent.
Je suis heureux de savoir que vous savez ce que les moldavo-roumaines balancent sur les latinas, ce que les latinas pensent des russo-ukrainiennes et ce que chacunes balancent sur les clients. Des punters ici présents risquent d'être prolixes.
Les chinoises (en Espagne, je précise), qui n'en pensent pas moins quant aux caucasiennes dans leur globalité, évitent de trop parler et encore moins de laisser des traces écrites ou de tenir des fichiers. Les murs ont des oreilles et les fichiers et connexions sont autant de "pistes" embarrassantes lors de contrôles éventuels. Quand on a de la famille dans un pays, qu'on peut qualifier d'état policier, on apprend très vite à considérer que le meilleur animal de compagnie est le singe, surtout quand ils sont trois.
L'International Hooker, on y croit !
... et du côté de l'observateur. On n'est pas forcément que client dans la vie, n'est-ce pas ?
N'ayant jamais fréquenté vénalement de françaises ou de femmes francophones de naissance (je suppose au regard de la qualité rédactionnelle de vos propos en général, que vous appartenez à l'un de ses deux groupes), il se pourrait que je fasse autant partie du monde que vous semblez décrire que de ces fichiers. Il serait intéressant, en gardant sauves bien sûr la discrétion et la sécurisation, de connaître le type de prostituées, leurs ethnies ou nationalités et les pays d'exercice de la profession. Je précise que je ne suis pas plus curieux que cela et que je ne cherche même pas à avoir l'information. C'est juste que 20, 30, 40, 50, 100 prostituées, c'est un panel. Le tout est de savoir s'il est représentatif et s'il permet d'aboutir à vos conclusions.
Que les prostituées aient plusieurs modes d'organisation et de gestion, qui en douterait ? Cependant, certaines savent, en 2016, comme vous dites, que quel que soit le support utilisé, il est hasardeux et bien imprudent de conserver certaines données. Vous savez parmi mes partenaires, les mails et SMS sont proscrits (et de toute façon ne trouveront aucune réponse) et le téléphone est à peine toléré, tout juste pour connaître l'emplacement. Pour les jours et horaires, on a une langue et on finit par connaître, très vite d'ailleurs les us et coutumes. Ces dames et demoiselles ont une capacité explicative et de persuasion assez étonnantes.
Ne travaillant qu'avec des "équipes", il est même de bon goût d'avoir une certaine flexibilité relationnelle.
Que le
Maneki-Neko vous accompagne durant cette journée.