Il m'est arrivé par le passé de donner des pourboires. C'est apprécié sur le moment, mais ça ne change en rien les prestations les fois suivantes. De toute façon, ce n'était pas fait dans ce but-là.
J'ai arrêté cette pratique. Mes partenaires préfèrent largement me demander si je veux plus de temps ou me demandent, parce qu'elles le souhaiteraient, d'avoir plus de temps avec moi, temps bien sûr facturé dans le tarif normal de la demi-heure ou de l'heure selon le cas de figure, et selon ce que j'ai prévu comme argent.
Que signifier par ce pourboire ? Une session avec un engagement meilleur que les autres fois ? Mais alors les autres fois n'ont pas été bonnes ?
Pratiquer systématiquement le pourboire ? Mais alors le prix n'est pas assez élevé, la partenaire ne sait pas "s'évaluer" ?
Pratiquer le pourboire alors que les autres clients ne le font pas ? C'est faire "l'américain" comme certains l'ont dit, celui qui montre que le pognon n'a pas d'importance. Je ne suis pas certain que "l'étalage de sa fortune" amène plus de considération. Et ce n'est pas respectueux des autres clients autochtones, qui eux ne peuvent pas forcément allonger plus. La comparaison, si comparaison il doit y avoir (ce qui n'est jamais le cas avec mes partenaires habituelles, qui ne parlent jamais des autres clients), ne doit se faire que sur la manière de vivre la relation avec sa partenaire.
Bref, la question du pourboire est ainsi résolue. Je paie le prix de la durée demandée, sans négociation. La relation est interactive selon ce que l'on décide ensemble en la cama. Je leur indique juste que je fais des kilomètres parce que je les apprécie elles pour ce qu'elles sont, pour leur beauté et pour ce qu'elles font. Et cela va très bien pour tout le monde.