Discussion : RAMONA (roumaine - cheveux noirs)

[xega]

Erreur de personne. Je connais Jasmine, je l'avais testée car physiquement craquante (sans faire d'EV par la suite sur Youppie, honte à moi). Elle a disparu du Lancelot depuis quelques temps, plus de nouvelles. Ramona (nous parlons bien de la Roumaine qui n'est d'ailleurs plus là depuis un bail, pas de l'actuelle Allemande rencontrée par Jal82 et Swan) et Jasmine sont deux filles bien différentes et qui n'ont jamais travaillé ensemble au château.

[jal82]

En début de mois, j'ai testé et beaucoup apprécié cette miss. Ce soir-là, elle se faisait appelé Jasmine !

Peut-être a-t-elle changé de prénom suite à l'arrivée de Ramona.de ?

[xega]

Nationalité / langues parlées : Roumaine / Roumain - Anglais
Âge : 22 ans
Visage : des traits fins et un regard de biche
Cheveux : noirs et longs
Taille : 1m70
Poitrine : bonnet B
Silhouette / corps : longue, mais longue, si longue...
Tatouages - Piercings : non
Fellation : sans
Cunni : pas demandé
Embrasse (oui- non) : petits bisous tendres
Autres caractéristiques : de loin, avec la lumière tamisée et le maquillage, est facilement confondue avec une asiatique

J'avoue que ce soir, je n'étais pas d'une humeur très sexuelle. Je me sentais plutôt comme en vacances, à dormir sur un transat, à causer de tout et de rien avec des Alsaciens, à manger, à boire et à fumer, à écouter la musique, à péter avec les bulles du jacuzzi, à suer dans le sauna, à profiter des douces températures malgré une météo qui se dégradait en début de soirée. J'aurais même pu repartir sans succomber aux tentations de la chair si une grande demoiselle aux allures de baby doll du Mékong ne m'avait été vivement recommandée par un ami de passage.

Ramona, longue tige de bambou qui s'élance dans les mêmes hautes sphères que Monica, était assise avec d'autres concubines dans ce harem qui me coûte tant. Je suis allé l'aborder et, après quelques minutes de conversation en anglais, l'affaire était conclue. Inutile de reproduire ici ce court interlude dans la langue de nos vils ennemis. Mon anglais, trente ans après le lycée, ça donne un truc pathétique du genre : Hello, what's your name ? My friend said me you're a very kind girl and that's what I'm looking for... Bref, ce n'est ni Shakespeare ni Byron. C'est juste gênant.

On va en chambre, on ôte le superflu et on s'allonge, histoire d'être plus à l'aise. On papote quelques minutes, on se raconte des choses sans grand intérêt, on fait connaissance. Je lui dis mon étonnement sur sa ressemblance avec les petites sœurs de Mao et elle me répond qu'en effet, je ne suis pas le premier à lui faire une telle remarque. Face à face, les yeux dans les yeux, il est évident qu'elle n'est pas asiatique. Mais en salle, l'illusion surprend et produit son petit effet.

On se fait de petits bisous, on se caresse gentiment comme des ados qui se découvrent, puis elle me prie de me mettre sur le dos. Et là, fièrement, elle annonce : I am the boss ! Je me laisse faire, j'adore les filles qui connaissent leur job. Surtout le blow job. Oh oui ma grande, tu suces bien et j'en redemande. Passé un bon quart d'heure à me faire polir le bâton de maréchal, j'accepte qu'elle me déroule une capote. On alterne les positions agréables, le missionnaire, le cow girl, la levrette. Comme d'habitude, je finis en sueur. La belle me conseille une douche bien froide après nos ébats. J'en aurais bien besoin, mais je n'aime pas l'eau froide. Je préfère les eaux tièdes du bassin de Ramona. On s'y sent bien vraiment bien, si bien que l'heure se termine et que je n'ai pas encore tiré mon coup de fusil.

J'explique à la jeunette que, si elle n'est pas trop fatiguée, je suis partant pour une demi-heure supplémentaire à me faire exclusivement sucer. Elle est habile de sa langue et de ses doigts. Je sens que ça monte et que ça vient. Encore quelques instants. Ah voilà ! Je crache la sauce sur ses doigts. Je lui demande de ne pas s'arrêter, de ne surtout pas s'arrêter, même après l'orgasme ! Elle en a plein la main, mais ça l'amuse. C'est mon petit caprice, mon plaisir secret, mon solde de tout compte. J'adore salir leurs petites mains blanches et douces. Vilain garçon ! Gniark gniark !