marylebone par tout les orifices serieux
pour combien en tarif moi j ai jamais vu a paris
je me demande comment vous faites pour les reconnaitre
elle doivent etre bien dissimules dans la foule
marylebone par tout les orifices serieux
pour combien en tarif moi j ai jamais vu a paris
je me demande comment vous faites pour les reconnaitre
elle doivent etre bien dissimules dans la foule
Me voici de nouveau à Belleville
Excité je m'avance d'un pas fébrile
Un groupe de Chinoises attend là pres du métro
habillées de jupes courtes et de talons hauts
elles me lancent des sourires coquins
Je m'approche d'elles et en prends une par la main
Elle me fait bander cette petite cochonne
j'imagine qu'au lit elle doit être bonne
Nous nous rendons donc à un hotel de passe
la chambre est dégueulasse
et le matelas plein de crasse
Du coup je suis beaucoup moins excité
mais ce soir j'ai envie de me vider les couilles
il va falloir qu'on se débrouille!
Je demande donc à la Chinoise de se déshabiller
ce qui fût fait et voilà ma libido remontée
Je la prends par toutes les orifices
ma petite Chinoise se montre très complice
ah quel bonheur, quel délice!
Après cette petite étreinte nous nous rhabillons
je regarde l'heure: temps de rentrer à la maison
Fin, hihi
Bonjopur
Kando et farid ayant eu la gentillesse de me dire qu'ils aimaient bien ma prose, j'ai décidé de concocter cette EV en vers et même en alexandrins.
C'est plus dur mais j'espère qu'ils apprécieront cette aventure qui s'est produite il y a une quinzaine de jour et qu'il pardonneront certaines "facilités".
Ceci est également un clin d'oeil à PaulVerlaine qui a tant fréquenté ces lieux.
Donc à mes amis Kando et Farid !
En ce beau jour de mai, tenaillé par l'envie
je décidais ma foi de promener mon vit
dans ces lieux ou jadis on trouvait du bonheur
auprès de ces femelles, ces vénéneuses fleurs,
que notre Nicolas poursuit matin et soir,
hurlant "cachez ce sein que je ne saurais voir".
Dans les rues de Paris me voilà en vadrouille
dans l'espoir insensé de me vider les couilles.
Après plusieurs essais mais tout autant d'échecs
dans ces endroits où l'on n'accepte pas les chèques,
je me retrouve à l'ombre du colonel fabien
point de départ de tant d'affaires menées à bien.
Vous l'aurez deviné c'est en ce lieu de fête
que l'on nomme parfois boul'vard de la Villette
que je vais randonner et partir à la pèche
pour, dans mon grand filet, attraper la pimbêche.
A pas lents mais l'oeil vif, je zieute les bell'villoises
dans l'espoir de croiser les yeux d'une chinoise.
Après quelques minutes je vois ma récompense :
une seulette m'accroche de son regard intense.
L'esplanade centrale où moi même je me tiens
sera donc le théâtre d'un petit entretien.
D'un clin d'oeil appuyé je lui fait bien comprendre
que je serai son homme si son corps est à vendre.
La finaude est rusée et me propose soixante.
Je connais la chanson et lui propose quarante.
Après méditation elle me dit que ça va
et nous filons chez elle pour danser la java.
Nous montons quatr'étages et la porte est ouverte
sur une pièce crasseuse, pénible découverte.
Je comprends en voyant ce matelas par terre
que c'est sur lui que tant de cuisses s'écartèrent.
La lumière est faible mais je peux voir la crasse,
les draps, les fringues et tout ce que ces filles entassent.
C'est bien sur ce grabat qu'elle compte officier.
Je lui donne mon argent et m'approche du pussier.
Elle compte et ainsi, l'instant dé-poétise.
Tous deux nous commençons dans l'ombre notre strip-tease.
Les chinoises sont maigres mais celle-ci est ronde
et pour ce que j'en vois, elle n'est pas pudibonde.
Dans sa main un latex qu'elle porte à sa bouche.
Elle se met à genou et me gobe comme une mouche.
La succion est douce, la petite est experte,
et nous voilà partis pour une fell couverte.
Je caresse sa tête, je caresse ses seins,
sa bouche est toute chaude et rythme mon bassin.
Un bruit de porte qui s'ouvre nous fait bien sursauter.
Une chinoise et son client viennent d'entrer.
Ma petite est fâchée. Je tombe sur mes genoux,
Elle prend ma tête contre ses seins comme une nounou.
Ils passent sans un regard sur notre nudité
vont dans la pièce voisine avec rapidité.
Notre fell reprend, mon érection aussi.
De n'avoir pas pesté, Nina me remercie.
Elle se met sur le dos et écartent ses cuisses,
ouvre ses lèvres d'un doigt, laisse passer mon pénis.
Oh que l'instant est fort, mais pas tant que l'odeur
Du delta du Mékong, de mon temps baroudeur,
me rappelle un instant les marchés au poisson.
Je poursuis néanmoins dans ce jeu polisson.
Je m'allonge sur elle, m'éloignant de la source
des parfums d'orient et me vide les bourses.
Après un temps normal de récupération
mon sexe donne des signes de perte d'érection.
Les doutes sur son hygiène me commande de sortir
de cet antre mouillé servant à divertir.
Nous nous levons tout deux et pour seule toilette
elle me donne une feuille de papier de toilette.
Quelques instants plus tard me voilà rhabillé.
Elle restera sur place pour se remaquiller.
Je pars la laissant là, et descends l'escalier.
La crasse est bien partout à chaque palier.
Je me retrouve seul sur l'esplanade centrale
qui me mène tout droit au comité central.
Ainsi s'achève l'histoire d'un coup tiré vite fait
qui ne m'a pourtant pas laissé insatisfait.
a+