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Discussion : ANDA (roumaine, brune gros TP - n° 194, shift de nuit)

  1. #


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    février 2017
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    Très belle EV ci-dessous, je vois maintenant vu la descriptio qui est Anda. En effet une vraie poupée barbie qui a essayé de m'attirer de nombreuses fois dans la chambre...

    Mais une fois passée le test des questions réponses à l'entrée j'ai vite fait demi-tour car elle est déjà très distante au niveau de son comportement. J'avais même une fois posé la question à savoir si je pouvais téter ses seins, elle m'avait dit qu'il fallait allongé 20 € en plus. Définitivement pas pour moi car les femmes robots j'ai assez donné (ex : Irina,eliza...).

  2. #


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    avril 2014
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    109

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    Je suis passé rue d'Aarschot. Ce n'était pas par tourisme sexuel, mais pour revenir d'une soirée que je passais chez une connaissance. Je n'avais pas l'intention de m'attarder, tout au plus de me rincer l'œil, ce qui ne peut jamais nuire avant le sommeil, mais, au 154, mon regard a été attiré, par un laser d'une part, vert, lancé dans mes yeux (pourtant c'est dangereux pour la vision ces trucs-là, leur usage est un très bon plan pour capter le chaland mais c'est assez désagréable), et, d'autre part, par des tchoutches gigantesques qui demeureront toujours ma dominante dans le fantasme féminin.


    Elle est "vêtue" (si l'on peut dire) d'une simple bande de tissu bleu pâle qui, passée en écharpe autour de son cou, couvre ses seins (enfin, plutôt ses aréoles : ses seins sont tellement gros qu'il est difficile d'en cacher grand-chose, et même ses tétons s'échappent assez souvent) des deux côtés avant de se réunir au pubis et de se clore à la taille depuis les fesses en manière de ceinture.


    C'est quarante balles, pour dix minutes. Les tarifs changent, on dirait. Le temps d'aller en chambre et avant qu'elle reparte, nous devisons un peu pour prendre quelques assurances réciproques. Je suis assez surpris quand elle me demande si je suis timide. Non, Mademoiselle, plus maintenant ; je l'eusse été plus tôt mais cette époque est finie, et nous finissons par comprendre que ce qu'elle a caractérisé comme de la timidité n'est qu'une douceur de ton qui contrastait par trop avec le comportement discourtois des différentes bandes de fêtards ou de queutards ethniques (impossible de les louper) qui faisaient, dans la rue, un boucan d'enfer, crachant partout, lançant sans arrêt des obscénités depuis l'extérieur et adoptant lors de leurs pseudo-négociations avec les filles (car ils n'entrent jamais, ils ne sont là en groupe que pour faire les malins) une attitude très agressive.


    La chambre est petite, mais le lit est surélevé, à un bon mètre, trônant sur un grand saillant d'angle mural. Pour être un peu plus clair, le bloc sur lequel le lit repose fait partie de l'architecture de la pièce, ce n'est pas un meuble ou une estrade postiche.


    Partie ranger l'argent, elle revient dans la chambre. Dehors, il faisait froid. Il faut un peu de temps avant que le corps se dégourdisse. Sa fellation est professionnelle. Et, par là, j'entends mécanique et appliquée. Pas désagréable, mais rien de comparable avec ce qui se fait ailleurs, et qui me permet de disposer désormais de meilleurs éléments de comparaison. J'aurais pu, plus novice, chanter des dithyrambes. De l'eau a coulé sous les ponts. Pour le sexe, à Youppie, même aux âmes bien nées, la valeur attendra le nombre des EV.


    Missionnaire, ensuite. Lors du changement de position, elle se dérobe aux caresses. Elle n'embrasse pas, ni ne se laisse bécoter dans le cou ou sur la poitrine, et ne tolère même pas qu'on lui manie les tétons des doigts. Placer la main sur ses seins doit convenir. C'est elle qui choisit, il n'appartient pas aux clients d'exiger davantage, toutefois les amateurs pourront peser ces détails avant que d'y aller. Elle ne vous regarde pas non plus dans les yeux. En-dehors de ça, c'est tout-à-fait dans les clous, elle gémit de manière satisfaisante, ne bouge guère mais juste assez, et remue les mains un minimum. Le réveil sonne. Dix minutes, c'est court. Bon, elle fait quand même semblant de rien jusqu'à ce que je me décide à finir (j'ai dû me concentrer pour forcer la crise, comme quoi on se découvre sans cesse de nouvelles facultés).


    Pour ce qui est du petit ST avant et après la session, elle est étrangement beaucoup plus avenante que durant l'acte même (au reste ça se comprend). Quelques remarques sur la faune extérieure, sur les moyens d'attirer l'attention en vitrine, tous petits détails de la profession auxquels on ne songe guère et qui, moi, m'intéressent toujours. Je lui parle de Youppie, pour recueillir son consentement avant de parler d'elle. Elle n'en a jamais entendu parler, ce qui me fait quand même penser qu'elle est nouvelle dans la carrière, mais elle est d'accord.


    Refaisons donc une présentation. Le Youppinaute sera déçu, je ne suis pas encore un queutard accompli, je n'ai pas fait le relevé intégral de la demoiselle pour en dresser le pedigree complet.


    Nationalité / langues parlées : Roumaine. Elle parle fort bien français.
    Âge : Je ne sais pas non plus. Vingtaine précoce, certainement.
    Visage : Un peu allongé, yeux très clairs, lèvres refaites mais pas bouffies, au tracé cependant peu naturel.
    Cheveux : Blonds platine teints, racines brunes.
    Taille : Grande, un bon mètre quatre-vingts au moins.
    Poitrine : Énorme et siliconée, débordante sur les côtés.
    Silhouette / corps : Impeccable, poupée Barbie.
    Tatouages - Piercings : Un tatouage, il me semble, à la cuisse ou la hanche gauche, mais j'y ai très peu prêté attention et je peux me tromper.
    Fellation : Standard.
    Cunni : Pas que je sache, sans doute pas.
    Embrasse (oui- non) : Non.
    Hygiène : Parfaite, aseptisée, comme tout le monde dans cette rue.
    Autres caractéristiques : Je ne vois pas.


    J'en conclus avec la suite de mes déambulations. J'ai profité de l'occasion, bien sûr de n'avoir plus un sou et de ne plus céder à rien, pour aller visiter ce fameux bar "5th Avenue". J'ai remonté, pour ce faire, depuis Rogier, la rue des Commerçants. J'ai croisé, sur le chemin, un certain nombre de créatures de la nuit, dont certaines étaient si visiblement des travestis ou des transsexuels que ça m'a assez mis mal à l'aise (ma tolérance a ses limites). Le bar allait fermer, plus une fille n'était présente, et la musique n'y jouait pas, contrairement aux descriptions que l'on m'en avait faites. Mais l'endroit est cossu, pas mal grand, et pourrait fort bien être un établissement de grand passage, ce qu'il semble d'ailleurs avoir été.


    De ce petit périple naissent trois questions :


    - La prostitution de rue, ou sa consommation, n'a-t-elle pas été récemment interdite dans cette zone de la ville ? Comment des femmes y exercent-elles donc encore ?


    - La rue d'Aarschot aligne des femmes d'Europe de l'Est. Un carré de rue avant Rogier héberge les Africaines. La flore des Commerçants m'a semblé plus latine. Mais il n'y a pas, semble-t-il, et j'en suis surpris, de Maghrébines. Ce n'est pourtant pas que la population fasse défaut. Est-ce une tendance chez elles à la vertu ? un manque de clientèle ? un emplacement géographique précis ?



    Bonsoir à vous.

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  1. #


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    mars 2010
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    181

    ANDA (roumaine, brune gros TP - n° 194, shift de nuit)

    Petite virée vers 19h dans la rue avec la ferme intention de visiter soit Diana au 128 soit Nadia au 170.
    Diana ça faisait longtemps que je ne l'avais pas vue. ET damner, le 128 full de demoiselles mais ni Diana ni Laurie. Cap sur Nadia avec qui, sauf exception, ça s'est toujours bien passé. Je me voyais déjà lui rouler des pelles avec ses gros nichons dans la main pendant qu'elle me branle document. Et rien. Vitrine vide.
    J'arpente un peu la rue pour voir.
    3 filles m'attirent bien.
    Une brune au 72 (?, le bar avant celui qui fait l'angle en venant de la gare)) à gauche dans la vitrine. Petit ensemble body porte jaretelles blanc. Bandante à souhait.
    Et au 138, mon coeur balance entre une petite blonde à lunettes et une belle paire de seins (au milieu).
    Et une grande et jeune brune à gauche. un sourire craquant, des seins hallucinants. Allons y...

    Entré dans le bar. Elle est vraiment canon. On passe dans la chambre, elle me répète pour la 3ème fois "40 la pipe l'amour, 50 changer position"' en attendant le bras croisés. Hum j'aime pas...
    Elle revient, social time minimum: comment t'appelles, tu viens d'où. Moi aussi, réponse Anda, Roumanie.
    Elle se déshabille et s'assoit sur le lit en attendant.
    Quels corps. Grande fine, des bas résilles qui lui font des jambes, mamma mia. Et ses seins. Du beau, du lourd, du ferme, 100% naturel. Oh putain!!!
    Et c'est à partir de là que ça s'est gâté...
    Elle se met à côté de moi à 90° et m'encapuchonne. Commence une fellation CALAMITEUSE. Plus mécanique je ne pense pas que ce soit possible. Je suis encore au repos mais je sens ses dents. J'ai eu peur de bander au risque de passer à la rape
    Je veux lui tripoter un peu ces superbes seins. A peine pris en main (doucement je précise) elle crie à moitié "eh non c'est mal là". Je me dis que je vais lui caresser plus bas. Pas le temps d'approcher qu'elle a de nouveau crié "ah non pas là".

    Elle continue sa pipe d'un ennui sans nom et du coup je ne décolle pas.
    Elle me dit alors de venir sur elle que ça va "venir gros". J'essaie de rentrer dans sa chatte qui est entre temps devenue une piscine à gel. Elle regarde le plafond en simulant mal, je ne sais quoi puisque malgré son physique de top, impossible de bander.
    Une poupée gonflable aurait sans doute plu d'expressivité.
    J'ai donc décidé de mettre un terme à l'affaire par un "c'est bon ça suffit c'est nul." Pas plus de réaction, se rhabille et se casse.
    Petite précision, j'étais dans une forme normale, tout à fait disposer à honorer une de ces dames. Pas les symptômes d'un jour sans, qui peut arriver.


    Nul de chez nul. Mon pire coup dans la rue, et pourtant tous n'ont pas été exceptionnels...
    Je passerai dorénavant mon chemin ou irai tester sa coloc blonde si je trouve un bonne éval.

    En bref:
    Physique: 9,5/10 Seins hallucinants. Un petit tatoo sur l'épaule.
    Social time: 3/10
    Pipe: 1/10 Impossible de la toucher. Embrasse on n'en parle même pas.
    Rapport: 1/10

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