Qui qui veut d’un p’tit article de l’obs bien caricatural.
https://www.nouvelobs.com/rue89/nos-...se-trahir.html
Y a des tas de trucs plutôt intelligents qui sont dits, mais on voit bien que ces 3 personnes se prennent bien au sérieux quand même.
Du coup je trouve que ça tue un peu la force du propos. Normalement on parle d’un truc ^^, pas d’un truc prise de tête.
Après Ovidie est fidèle à elle-même et à la thèse qu’elle tient depuis quelques temps déjà et qu’elle a exprimé dans son documentaire contre les « tube ».
Ce qui est plutôt sympa c’est la répartie de ses 2 camarades d’interview qui somme toute se prennent moins la tronche.
Bien que cinéphile, mais assez peu consommateur et encore moins spécialiste de genre de films, je dois dire que ses allusions aux films moins « mainstream » selon sa propre expression, me laisse un peu pantois. T’as quand même l’impression qu’elle ne promeut pas des films pornos féministes, mais des trucs un peu perchés et bien spécialisés. J’imagine d’ici le résumé de son dernier film
Film respectueux de l’autre, garanti sans gluten, tournés avec des préservatifs bio-dégradables, et garanti avec des acteurs 100% de gauche et tous vegan, le nouveau film d’Ovidie se caractérise par une approche 100% féministe, la preuve, les acteurs se regardent dans les yeux en forniquant afin d’exprimer le respect qu’ils.elles ont de leur partenaire (*)…. Vous apprécierez l’absence d’éjaculation filmée et la scène finale ou l’ensemble des actrices nous gratifient de pénétrations vaginales pendant leur période de menstruation. Tourné dans une AMAP, les acteurs tiennent à préciser qu’ils ont eu à cœur de respecter l’environnement et qu’ils ont fait une soupe communautaire (partagée avec les jeunes du quartier) avec l’ensemble des fruits et légumes (locaux et de saison) utilisés dans la scène phare « tuttil-frutti, tutti-legumi-y-compris les pannais et le kale »,
(*) là honnêtement je trouve que son argumentaire là-dessus est space. Ce n’est pas parceque tu regardes qqu’un dans les yeux que tu le respecte, mais bon je pinaille