NE PAS CONFONDRE ISABEL (bulgare) avec ISABELLA (roumaine).

Je n’ai pas l’habitude de relater des « flops ». Car je suis respectueux de toutes les filles qui, chacune pour de bonnes raisons, viennent ici plutôt pour assurer leur pain et leur bifteck que pour régaler nos bites de punters. Et donc j’évite un max de leur nuire.

Mais aujourd’hui il faut que j’agite un panneau « stop », que j’allume le feu rouge et que je déclenche les warnings. J’ai rencontré Isabel. Jeune dame de 27 ou 28 ans, je dirais, typée ROM, plutôt bien foutue, naturelle, de beaux yeux de gipsy, de jolis cheveux mi-longs qui descendent en cascades bouclées jusqu’aux épaules ….

Isabel est venue me sharker alors que j’étais au bar et s’est montrée très convaincante. Assise sur mes genoux, ses seins – qu’elle dévoile un peu - plaqués contre mon torse, et puis quelques baisers bien appuyés qui semblent démontrer qu’elle s’y entend et que les prestations en chambre seront à l’avenant. Bref je me laisse persuader comme un bleu.

A la réception où elle demande une chambre, je me rends compte qu’elle ne connaît pas grand-chose du Sixsens. Elle me dit y travailler depuis une semaine. Mon sentiment de catastrophe à venir s’amplifie lorsqu’elle cherche désespérément où se trouve la chambre dont elle tient la clé en main. Et que je finis par trouver à sa place.

Et puis en chambre, c’est le krach. Et je choisis ce mot à dessein car je trouvais Isabel très angoissée, énervée, limite agressive, et pressée d’encaisser mes 50 Euros. Elle m’emballe d’un préservatif bien trop grand pour un zizi tout mou – qu’elle n’a pas tenté de réanimer – essaie maladroitement la bouche sur le plastique qui fait "flop flop", puis la main, après avoir largué une tonne et demie de gel, et se place dans une position proche du 69, puisqu’elle s’est mise en tête que je vais lui fourrer le cul … et que l’addition va ainsi doubler. Une position qui me permet d’apprécier un popotin effectivement fort joli – pas brésilien mais pas loin – avec une rondelle avenante … mais qui fouette à 30 cm de mon nez, un mélange de foutre, d’urine et de caca …

Inutile d’essayer de redresser Popaul à l’autre bout, c’est peine perdue.

J’écarte – délicatement – Isabel et je lui dis de se rhabiller. Nous sommes en chambre depuis 3 (trois) minutes.

Excellent marketing en salle mais nulle à chier – le mot me semble bien choisi – une fois en chambre.

Bon prince je lui file malgré tout un billet de 50 roros. Elle en fait ce qu’elle veut : une poutre – puisqu’elle n’a pas eu la mienne – ou bien elle se le roule tout fin, tout fin ….

C’est la première fois que je vis une expérience aussi pitoyable. La première fois aussi que je relate une histoire du genre. Mais entre potes du forum, je pensais de mon devoir de vous informer sur ce (mauvais) coup-là.

A éviter.