Discussion : Yin Yang : les récits de vos visites

[Batou92]

Ce 28/06 j'arrive pour l'happy hour accompagné de mon camarade ayant gagné la tombola, ha bein non pas d'happy hour comme c'est 1 événement... Petite déception.
Le club a eu droit a 1 petite décoration, très moyenne pour rester courtois. 1 mini cocktail offert, si tu es là au bon moment, et 2 strip-teases, on pouvait se porter volontaire pour servir de cobaye mais je l'ai su trop tard. La fille danse très bien et reste pro malgré les ratés du "dj".
Annuler l'happy hour pour ça bof bof, heureusement mon ami est gentil

La journée commence par 1 petit déjeuner, mon compère s'absente 5min et qui vient s'asseoir à ma table? Majesty, je n'aime pas les filles de couleur et lui avait pourtant déjà fait comprendre qu'elle ne m'intéressait pas lors de ma première visite, petit tour aux WC où j'y croise 1 compagnon rencontré lors de ma dernière visite.

Je traîne 1 peu au bar, quelque sharkeuse, je décline puis je repère 3 bimbos dont 1 qui arrivera à ses fins. Je descends au ciné avec mon ami, suivis d'une des bimbos. On se pose sur 1 divans tantrique et l'allemande de +50ans d'origine turque, toute slim fit, bbl, faux seins, lèvres botoxées, se pose sur mois et avec 1 anglais approximatif tente de me faire monter, on échangera notre salive alors que rien n'a été convenu.
Session moyenne de 30min, mets les dents quand elle suce, tente la dp, crache comme 1 salope sur ma queue, vagin très très étroit et au bout de 10min de tringlagle, m'arrête net, car dixit "elle sera morte pour le reste de la journée" du blabla.


Piscine suivi d'1 sauna et 1 petite séance bronzage ou mon amour Rosa viendra
se coucher sur moi seins nus environ 15minutes...


On tourne, on profite des installations, mais il y a trop d'hommes, certainement 150 pour 50 filles, mais les meilleures ne sont plus disponibles... je croise Vivian pour la première fois, je suis 1 peu déçu je m'attendais à 1 fille 1 peu plus "bimbo" elle me regardera à plusieurs reprises dont 1 bonjour mais j'hésiterai toute la journée pour au final ne plus rien faire.

1 peu fatigué, on se pose au cinéma, 1 fille complètement folle, vient me déranger mais je joue le jeu, au final je suis là pour m'amuser. Elle me montre sa nouvelle voiture, 1 S65 mouais, raconte 1 tas de conneries mais me fait quand même rire. Je la ploterai vite fait, autant profiter.
Puis elle tente avec 1 autre, elle crie, impossible de se reposer, d'1 manière peu "respectueuse" je la ferai fuire... Elle croisera mon ami plus tard en lui demandant qui a fait ça tout en rigolant...


On tourne en rond, rien à se mettre sous la dent excepté l'excellent buffet.
Retour au ciné couchés sur les matelas, 1 Moldave vêtue d'a robe orange fluo qui ne la met pas du tout en valeur, nous suit et s'installe sur moi. Avec 1 anglais proche du néant elle essaie de m'avoir, je soulève sa large robe car impossible de savoir si elle est ronde ou grosse, agréable surprise! On s'embrasse, je durcis dans la seconde, elle touche mon sabre à travers le caleçon et fait mine de l'enlever donc je l'enlève, elle me masturbe 5 secondes et met sa bouche a 1cm de mon gland, mais je l'en empêche je suis persuadé encore actuellement qu'elle l'aurait mis en bouche et je ne voulais pas m'engager. Elle insistera pour monter, mais non, je ne voulais pas agir sous la pulsion, au final j'aurais dû, ma queue restera sur le carreau. 1 peu avant de partir, je la regarde ainsi que vivian, la raison aura pris le déçu, direction les vestiaires.


Retour assuré car le club est magnifique mais soit il n'y a pas assez de filles ou trop d'hommes...

[Pitouille]

De retour au YinYang (au passage, merci Youppie! … bon accepté sans souci).
Par une belle journée ensoleillée, un vendredi, je retrouve ainsi les lieux (re)découverts depuis quelques mois.
Rien à redire : la nourriture y est succulente, l'endroit est resté propre et soigné, mais il me manque un peu le côté “foutraque” du club voisin (SixSens), idem pour le line up, (trop) peu fourni.


En terme de line up, j'aurai croisé une petite quarantaine de filles, la majorité de milfs. Note exotique avec quelques “vraies” latinas (de Colombie, par ex.).

A peine passé ma tête dans la salle principale, voici deux jeunes filles qui m'invitent illico à leur canapé : l'une est Serena (sessionnée quelques semaines auparavant), les deux me parlent de monts et merveilles, elles feront ceci, cela, blabla. Serena ne se souvient même pas que nous avions été en chambre (mauvaise pioche). Je décline naturellement !

Une fille brune, roumaine, est venue se présenter (se disant italienne) en me racontant qu'elle était “super horny” et que je devrais lui laisser une chance afin qu'elle puisse assouvir son degré d'excitation (sic). Plus tard, je l'ai aperçue, nue (un désastre) !

Plusieurs latinas viendront se présenter, Valentina (colombienne aux obus plutôt lourds), et une autre allemande skinny latina (j'ai oublié son pays d'origine), il semble que c'était son premier jour.



#1. Sofia (Rou)

Assez rapidement, je retrouve Sofia (j'ignorais qu'elle créchait au YY désormais), rencontrée en mars dernier au Six. A vrai dire, autant la session la session au Six était de très bonne qualité, celle au YY fut plutôt médiocre. Elle me reconnaît rapidement et après une petite pause clope qu'elle s'accorde, je l'embarque en chambre et la blonde bimbo (aux seins encore plus gros que je l'imaginais), n'a eu cesse de lancer des petits “baby” par ci, “baby” par là (limite agaçant). Elle était “si contente” de me revoir, sauf qu'elle ne s'est pas privée pour me torcher en 20 minutes !
Fellation légère, cunni furtif (sa simulation de jouissance sur le clito en 30 secondes chrono était tout bonnement ridicule), trois (courtes) positions se sont enchaînées sans réelle saveur. Elle avait beau se doigter l'intimité, on n'y croyait plus guère ! Elle m'a même proposé un extra “anal” (c'est bon à savoir, mais à voir les conditions d'exécution, si c'est comme le reste) !
Elle m'a prodigué un très court massage au dos. Après une poignée de secondes, je comprends à demi-mots qu'une chambre doit avoir une durée de minimum 20 min. (pour éviter les remontrances éventuelles), aussitôt ce temps imparti, elle a bondi hors du lit “we go... baby!!!”.
En bref, déception (à moins d'un optifick). Après réflexion, c'est sans réelle surprise, puisqu'elle traîne désormais avec la belle Serena (la messe est dite) !


Après cette chambre “dévidoir”, je me suis prélassé au resto, à l'extérieur et déambulé ci et là (pas grand chose à faire, du reste). Les jacuzzis extérieurs ne sont pas accueillants, du reste et rien ne me précipite à les tester !

Alors que j'étais assis au bar, est venue me parler Rosa (avec qui je n'ai jamais été en chambre), nous avons bavardé une petite demi-heure, nous avons ressassé les bons souvenirs du Samya en mode retrouvailles (“after all those years”) ; fille extrêmement sympathique qui mérite amplement son succès. A aucun moment, elle ne m'a parlé de chambre. J'ai d'ailleurs regretté qu'elle ne soit pas disponible plus tard (ce n'est que partie remise).

En parlant de Samya, un autre transfuge, Anastasia est venue me parler, me disant me reconnaître. Nous avons un peu bavardé, ça n'a pas été plus loin.

Au même instant, Erika (ex-Six) me croise et me salue tendrement. Elle m'attire vers elle, mais je sors de chambre. Elle me dit comprendre qu'elle arrive trop tard (hélas, oui). C'était encore une valeur sûre à réitérer une prochaine fois (par contre, elle a pris un peu de poids et je l'ai trouvée un peu boursoufflée du visage, j'ignore pourquoi).

Cleo (ex-Cataleya-Six) entre en scène, et vient me faire la bise.

Vivian (ex-Six) me salue au même moment, toujours son petit sourire en coin...

Jane (ex-LR) semble bookée toute la journée par un indien. Elle semble un peu blasée, par sûr qu'elle soit si adorable avec la gente masculine.

Stella, la milf russe aux cheveux courts, fait toujours une apparition remarquée, du moins pour ses fans. Elle ne passe pas inaperçue.

Nikita (hongroise de 40 ans, ex-AG) me retrouve et bavardera un peu avec moi. Elle en a marre des petites jeunes qui pavanent, avec un service ridiculement bas !

Sibel se présente comme étant turque, il s'agirait de son premier jour (ben voyons) et se décline comme la cousine d'Alef/Andreea.

La blackette, Majesty (Guinée-équatoriale), ne passe pas, elle non plus, inaperçue. Entre vêtements sexy et combinaison/accessoires de Mister-T (dans l'Agence tous risques), elle ne se montre pas à son meilleur jour (poitrine refaite apparente, qui laisse entrevoir ses défauts). Je me souviens encore qu'elle m'avait dit avoir 18 ans, alors qu'elle ne devrait pas être loin du double !

Plus tard encore, deux roumaines, Vanessa et Dora sont venues se coller à moi, me proposant un trio. Une fois encore, l'une d'elles (Dora) s'est identifiée comme italienne (de 37 ans). Décidément, il doit y avoir un microclimat à Roermond pour attirer autant d'italiennes !



#2. Delia (Rou) + Alef/Andreea (Rou) (trio découverte)

En début de soirée, c'est Delia (lunettes) (ex-SixSens) qui se retrouve à un canapé voisin. Elle a franchi le cap des 30 ans. C'était donc la première fois que je lui adressais quelques mots. Après une discussion sympathique, nos mains étaient entrelacées (mais je n'avais pas de réelle intention d'aller avec).
Alef/Andreea (ex-SixSens) la rejoint et se frotte à sa comparse. Malgré un style opposé, elles semblent d'entendre à merveille, au point de me proposer un trio.
A ce jour, je n'avais encore jamais parlé aux deux demoiselles, c'était donc une semi découverte.
Pour ne pas mourir idiot (et surtout pour me faire une fois dans ma vie, Alef), j'ai simplement accepté ce trio. Après une douche, nous voilà embarqués à trois en chambre, why not !
Je n'ai pas réellement vécu la “double pipe” promise, ce fut un peu comme je m'y attendais : un trio basique ! Chacune son tour. Heureusement, les deux nanas s'entendent bien. Quelques moments sympas : baiser Alef en cowgirl tout en léchant Delia, etc.
En résumé, c'est surtout Delia qui a fait le taf.
L'une et l'autre ont un service plutôt “toodoo” (de très légers kiss, tout au plus). Peu de chance de récidive.


Une dernière assiette avant de remettre les voiles.
Entretemps, en salle, une Djette a fait gonfler les décibels de sa console en retentissant quelques tubes hollandais, et quelques oursons se sont mis à danser en style farandole, avec des mouvements peu probables de “barques” sur l'eau, sur un fond de musique ultra-kitch. On s'est regardé avec quelques filles en se disant “c'est quoi, ça???” ! C'était le mouvement “gênance” de la soirée !


En résumé : belle journée, agréable sous le soleil, un line up perfectible (surtout en nombre), la nourriture peut parfois rattraper les quelques bémols.
Par ailleurs, il me semble que le service est, en moyenne (et pour le même prix, en version 30') en-deça du club voisin.
De temps de temps, et de passage, ce club montre quelque intérêt !

[v79]

Copie d'un message de José Beauvit (avril 2005) :


MA VISITE AU CLUB FKK YIN YANG, PREMIERE PARTIE

Bonjour à tous.

J’ai testé pour vous le Club Yin Yang, sis à Roermond (Pays-Bas, Limburg), Heinsbergerweg 230, téléphone 0475 53 25 96, en m’y rendant en milieu de cette semaine.

D’ores et déjà, je tiens à souligner qu’il s’agit, à mes yeux, d’une très bonne adresse et que j’y ai passé un après-midi et un début de soirée vraiment très plaisants.

Je vais donner quelques indications sur l’itinéraire que j’ai suivi pour me rendre au Yin Yang, à l’attention aussi bien des belges que des français qui nous lisent, car les indications données sur le site internet de ce club à cet effet, manquent, à mon avis, de clarté et de précision.

Venu de France par les départementales et nationales, de manière à éviter les foutus péages français, j’ai emprunté l’autoroute E 42 à Charleroi, puis, peu après la sortie vers Liège, au lieu de continuer vers Aachen, j’ai suivi l’autoroute A 2 (c’est le numéro qu’elle porte au Pays-bas, tout au moins), direction Maastricht, Eindhoven. J’ai quitté cette voie à la sortie 44, direction Roermond, et j’ai alors suivi la N 271 jusqu’à cette ville. Si le trajet depuis la France, puis entre Charleroi et Liège s’est déroulé rapidement, en revanche, une fois passé la frontière néerlandaise, j’ai été confronté à une circulation dense qui m’a fait perdre pas mal de temps de l’entrée de Maastricht – l’autoroute traverse pour ainsi dire la ville, malheureusement – jusqu’à Roermond. Il faut dire qu’il était déjà quatre heures de l’après-midi passé, heure, d’une manière générale, peu propice à ceux qui veulent éviter les encombrements.

Sur la N 271, qui mène à Roermond, le Rijksweg, vous découvrez, de part et d’autre de la route, un certain nombre de clubs ou de maisons privés, dont De Wallen : notre ami Bee parle plus haut, dans son message du 11.02.2004, posté sur ce fil, de ces établissements, étant précisé que le privé Brigitte, qu’il nous a recommandé naguère, semble avoir changé de nom et de propriétaire.

Sur la gauche de la route, à l’entrée de Roermond, vous apercevrez une pancarte verte accrochée en hauteur « Club Yin Yang », vous invitant, en néerlandais, à suivre (Volg) la direction de la petite ville de Melick, une fois dans le centre de Roermond. A partir de là, il m’est impossible de vous donner des indications pertinentes, car, mon véhicule n’étant pas équipé d’un G.P.S., j’ai personnellement tâtonné une vingtaine de minutes avant de trouver Heinsbergerweg, que, fort heureusement, un vieux néerlandais serviable, interpellé le long du chemin, m’a aidé à trouver par ses informations, fournies dans un anglais compréhensible. Ayez simplement à l’esprit, encore une fois, de toujours suivre la direction « Melick », dans Roermond.

Le club Yin Yang se trouve dans un espace boisé, dans lequel vous pénétrez par une allée discrète. Le parking est vaste. En jetant un coup d’œil aux véhicules déjà garés, je constate que la plupart d’entre eux sont de grosses berlines allemandes, le plus souvent immatriculées au Pays-Bas, quelques-unes en Allemagne, toute proche. Mon véhicule est le seul qui soit immatriculé en France.

Arrivé à bon port aux alentours de 17 heures, je sonne, une jeune femme brune m’accueille avec gentillesse et m’explique avec clarté et précision le fonctionnement du club. Cette jeune femme parle néerlandais, allemand et un anglais élémentaire, mais correct. En revanche, elle ne parle absolument pas le français, de même d’ailleurs que l’ensemble des clients du Yin Yang et des filles qui viennent y travailler. Je reviendrai sur ce point un peu plus loin.

D’une manière générale, le personnel de l’établissement, serveuses, cuisinière, femmes de chambre, est gentil et agréable. Tout semble conçu pour que le client se sente à l’aise dans le club.

Le prix de l’entrée et de l’accès aux installations du club est de 50 €. Une fois acquitté ce droit d’entrée, vous disposez d’un accès à l’ensemble des installations dudit club et pouvez rester autant que vous le souhaitez, jusqu’à la fermeture. Chaque session d’une demi-heure avec une fille coûte 50 €, la session d’une heure revient à la somme tout à fait raisonnable de 75 €. Le minutage commence à partir du moment où vous vous trouvez avec la fille soit dans une chambre, soit dans le jacuzzi, soit encore, je suppose, ailleurs dans le club, dès lors que vous avez commencé des choses vraiment sérieuses, allant au-delà d’un simple flirt. Mais, afin de prévenir tout malentendu, le mieux est de discuter avec la fille avant, pour savoir à partir de quand exactement débute la prestation « facturée ». Ce qui est certain, c’est qu’une discussion agréable au bar ou dans une salle, entrecoupée de quelques petits gestes « affectueux » n’est pas facturée. A noter également que l’usage du jacuzzi ne donne lieu, en soi, à la facturation d’aucun supplément, ce qui est particulièrement appréciable.

Une fois achevées ses explications et après que vous avez payé vos 50 €, la jeune femme de l’accueil vous attache au poignet droit un bracelet en tissu qui vous permet, si vous êtes amené à sortir du club, de pouvoir y entrer à nouveau sans avoir à payer une seconde fois l’entrée. Elle vous remet une clef portant un numéro de casier, relié à un bracelet destiné à être attaché au poignet gauche, ainsi qu’un peignoir et des tongues. Ensuite, elle vous guide jusqu’aux vestiaires, en vous laissant le soin de découvrir par vous-même le reste du club. Je me suis personnellement contenté d’explorer seul les lieux, mais si vous souhaitez de l’aide, une des filles présentes dans le club s’offrira volontiers à vous les faire visiter, ce qui peut être encore plus sympathique. Il faut reconnaître qu’il n’est pas très facile de se repérer dans un premier temps, car vastes et agréables, les locaux se composent de différentes salles, recoins, chambres qui donnent, au premier abord, une impression de labyrinthe.

Le client de déshabille donc dans le vestiaire, où il peut parfois déjà croiser des filles qui sont en train de s’apprêter pour rejoindre les salles. Il revêt son peignoir, ses tongues et enferme à clef ses affaires dans le casier.

Jouxtant le vestiaire, sur le chemin menant aux deux grandes salles du rez-de-chaussée, se trouvent des douches, que je me suis empressé d’utiliser. Des serviettes propres sont empilés, librement accessibles. Une fois achevé votre séjour dans les lieux, vous mettez votre peignoir, vos tongues, votre serviette, si vous en avez encore une entre les mains, dans de grands paniers. Il y en a un peu partout dans les dépendances, et notamment dans le vestiaire. D’une façon générale, l’hygiène des lieux m’a paru assez irréprochable, si ce n’est que certaines chambres mériteraient d’être plus souvent aérées ; mais je précise qu’elles sentent le renfermé, plutôt que des odeurs douteuses, aussi suffit-il d’ouvrir une fenêtre si on le souhaite une fois qu’on se trouve avec une fille, ou plusieurs, dans la chambre en question. Il y a des douches dans pas mal de chambres, et toujours des poubelles et des boîtes de kleenex. Des toilettes, propres, sont également accessibles à divers endroits.

Une fois douché, donc, vêtu de votre seul peignoir, vous pénétrez dans une première salle, vaste et à l’éclairage tamisé, garnie de canapés et banquettes à divers endroits. Sur la gauche se trouve l’accès à un sauna, à droite une porte donne accès au sous-sol, où une salle de cinéma est aménagée, éclairée de manière diffuse, elle aussi. Sur un écran de dimension moyenne, un film pornographique y est diffusé en permanence. Dans la salle du cinéma sont également installés des canapés, où vous pouvez vous livrer à des ébats avec une ou plusieurs pensionnaire, si vous le souhaitez. Pour en revenir à la première grande salle du rez-de-chaussée, elle comporte des chambres ouvertes, sans porte, comme l’a souligné Laurent dans son message ci-dessous du 10.04.2005, ainsi que deux bassins de taille respectable ou jaccuzi, je ne sais plus exactement, dans un de ses coins. Les clients peuvent donc s’y livrer à des ébats au vu et au su de tous, mais je n’ai pas noté, pour ma part, de voyeurisme insistant. Il faut néanmoins préciser que le jour de ma venue, le club était calme, le nombre de clients raisonnable pour ne pas dire réduit – ce qui n’était pas pour me déplaire, car j’ai horreur de la cohue.

Sur la gauche à l’entrée de la grande salle, se trouve une porte qui permet d’accéder à une seconde grande salle, où se trouve, au centre, un bar, sur le côté droit des accès à des chambres, autour du bar, des sièges, un peu partout dans la salle des canapés et des fauteuils. On diffuse dans cette salle de la musique, fort heureusement pas trop assourdissante.

Le club comporte, au premier étage, une salle où vous pouvez vous servir gratuitement un repas froid ou chaud, à toute heure de la journée. La qualité des mets servis est honorable et le choix suffisamment étendu : par exemple, le jour où je m’y suis rendu, une sorte de goulasch, du riz, des viandes à griller, des légumes appropriés pour composer une salade. L’eau minérale est à discrétion, le café aussi – c’est du café doux à l’allemande, à mes yeux fort bon, mais les français habitués à consommer un café à l’amertume extraordinaire seront peut-être décontenancés. Seules les boissons alcoolisées sont payantes, mais les prix sont tout à fait raisonnables : 2 € pour une demie pinte de bière à la pression. Le champagne, bien sûr, à la coupe ou en bouteille, est proposé à des prix sensiblement plus conséquents.


Le routard de la lime