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Discussion : TINA (bulgare, châtain frisée - n° 78)

  1. #


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    avril 2009
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    A l'ouest
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    113

    Un breton en déplacement : bonne prestation de Tina

    Bonjour,

    Devant l'offre très rare à l'ouest d'un arc Caen - Le Mans - Nantes, (2 BMC à Rennes, aucune fille sur le trottoir), je décide d'agrémenter une semaine chargée en déplacements professionnels par des visites à quelques "stars" de ce site.

    1) BRUXELLES, rue d'Aerschot, 78, TINA
    RDV pro à Bruxelles en milieu d'après midi, j'arrive vers 12h30 et je me gare rue d'Aerschot. Là, le choc : à ma droite une gare avec des gens qui vont ou viennent de prendre le train pour leur travail, à ma gauche, des vitrines avec des dizaines de filles en bikini toutes plus belles les unes que les autres.
    Je vais dans le quartier black mais Delphine (c'était elle que je voulais le plus voir), Diana, Beauty, Charlotte sont absentes, je retourne rue d'Aerschot, je sors mes notes, je vais au 136 demander Martina, on me dit qu'elle n'est pas là, j'ai un peu de mal à m'y retrouver, l'offre est plétorique, le temps passe, je rentre au 78 et je demande Tina, on va la chercher, wow, elle est superbe, on passe derrière le rideau et on se met d'accord pour 50.
    C'est surprenant d'être derrière le rideau, d'entendre les autres filles qui papotent, mais bon, Tina est très jolie, corps superbe, seins bien refaits, un gros tatouage sur l'épaule et le bras, des yeus verts, cheveux crépus, lèvres pulpeuses, elle m'explique en anglais que les yeux c'est sa mère bulgare, les lèvres et les cheveux, son père colombien, beau mélange.La prestation est bien, caresses réciproques, elle a de très belles mains, pose du chapeau, fellation plus musclée que douce, 69, sa chatte est une merveille avec des petites lèvres très développées, ensuite elle m'a chevauché à l'envers puis à l'endroit, elle a été attentionnée à mon plaisir et m'a caressé doucement après. Il manquait un peu de GFE sur la fin.


    - Bilan de la semaine :
    Je suis "éssoré", j'ai dépensé 200 € soit le prix d'une escorte en tour, j'ai rencontré 5 filles qui m'ont toutes donné du plaisir et en plus de la prestation, j'ai eu un échange sympa avec chacune.

    - 3 Confirmations :
    Je n'aime plus la tarte aux poils,
    Il n'y a rien de mieux qu'une pipe nature avec cim,
    Je suis accroc aux blacks.

  2. #


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    mai 2008
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    Au fond de la gorge (mais pas du tarn)
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    1 484

    Bombe atomique

    Salut à tous.
    Cette tina est une vraie bombe atomique.
    corps de rêve, grande fine et bien bronzé.
    Seins siliconé, minou bien rasé avec de magnifiques lèvres vaginale.
    tarif 50€
    Pipe bien profonde (taille pénis 4 voir 5) mais pas deepthroat.
    Baise vraiment hard, un vrai régal pour ceux qui aiment comme moi les femmes qui font l\'amour de manière musclè.
    elle m\'a même laissé brouter son magnifique minou pendant qu\'elle m\'engloutissais mon gros calibre.
    puis on est passé à la pose du missionnaire, idem mais avec les jambes relevées sur mes épaules. Ensuite levrette avec malaxage de ces seins et petite incursion dans son deuxième orifice.
    pour finir en elle sur moi de toutes les façons et une apothéose de toute beauté, elle vous attrappe les boules et le reste comme personne.
    Voilà à vous messieurs, mais moi j\'y retourne certainement.

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  1. #


    Inscription
    août 2008
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    88

    Par défaut TINA (bulgare, châtain frisée - n° 78)

    Jeudi 1er janvier, la belle Tina, une Bulgare aux yeux bleus et à la crinière bouclée, se tenait dans la vitrine contiguë, celle du n°80, quand j’abordai enfin la rue d’A après un périple ferroviaire quelque peu pénible. Pour 50 unités de notre chère monnaie unique, cette demoiselle de 34 ans aux seins lourds comme un soleil d’été m’invita dans sa couche. Le traitement qu’elle me fit subir fut ni plus ni moins que le meilleur de ma vie d’amoureux vénal. Pour la première fois, une fille de rue m’embrassa sur la bouche et prit un temps infini pour se justifier. Elle avait lu la gentillesse dans mes yeux ! m’avoua-t-elle. Heureux moi ! En l’absence de la « madame » qui tient habituellement le rôle jadis dévolu au dieu Chronos dans ce genre d’établissement où le temps est de l’argent, Tina me raconta sa vie alors que le mien – de vit – avait rendu les armes mais pas déserté le lieu de la bataille. Au moment où je quittai cette alcôve de fortune en repoussant le simple rideau qui lui assurait une fragile intimité, Tina vint vers moi et me plaqua littéralement contre le mur pour me donner un ultime baiser du bout de ses lèvres chaudes. Plus tard, alors que j’envisageai de continuer ce périple bruxellois entre ses cuisses accueillantes et expertes, elle avait tiré le rideau. A la place où elle se tenait lors de mon précédent passage, seul un voile blanc, léger et translucide rappelait sa délicate présence.


    Le récit complet de ma virée rue d'Aerschot se trouve ici.

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