Ce samedi, petite virée à San Sebastien. Le temps est couvert et les températures dignes d’un mois d’octobre, mais ce n’est pas là, ma contrariété majeure, car en effet, je m’aperçois que ma carte Sim est HS. Je suis donc (quasiment) sans téléphone.
Flûte !!
Je pourrais bien retourner vers Irun à la Belle Epoque, mais mon timing est serré (je dois repartir de San Seb en fin d’après-midi) et le casting ne me dit trop rien… Ma solution de repli est de trouver une « connexion wifi publique » style Mc Do ou n’importe quoi d’autre du genre.
Finalement le plus simple reste un Piso, ce sera donc « Venus Lux ». Malgré mon intuition et sa piteuse réputation (merci aux courageux éclaireurs Youppineurs). Je décide de mettre à profit mes difficultés Sim-esque pour tester l’endroit.
http://www.venuslux.net/
Je prends rendez-vous avec CAMILA de Venus Lux (merci le Wifi gratuit). J’avais noté l’adresse Calle Segundo Izpizua nº 15 / 3 izquierda / (Barrio de Gros)
Arrivé sur place au niveau de l’interphone, il y a 3A ou 3B, je me dis que la gauche ça doit être le A ??? Ok bonne pioche ! On m’ouvre.
L’encargada une latina brune 25/30 ans ?? (vaguement dans le style à la « Kardashian’s ») m’ouvre la porte. Un peu « secos » l’accueil certes mais je m’attendais à bien pire. Petit protocole Covid… Je la suis et arrive dans une petite chambre simple et (très) sombre.
Pendant ma prise de rendez-vous (par Whatsapp), j’avais demandé par 2 fois les services « offerts » et notamment la faisabilité de mon sacro-saint FNHF : « Frances Natural Hasta el Final ?? » … réponse : « Si carino , claro !! (Il y a un numéro général et un numéro pour chaque fille… mais je me doute bien que c’est la même personne qui répond.)
Elle me dit que je dois attendre « un peu » Camila (moi, je m’étais pointé à l’heure du rendez-vous comme un con …), elle me propose une boisson et revient 2 minutes plus tard avec un grand verre plein de glaçons et ma canette. J’en profite pour lui redemander les « yeux dans les yeux » (comme dirait un ancien ministre des finances), si Camila fait bien le FNHF ?? Les « yeux dans le yeux » l’encargada me confirme ce service.
J’attends donc seul une petite quinzaine de minutes dans de cette chambre sombre (éclairée uniquement par la timide lueur d’une lampe de chevet). Buvotant une gorgée de temps à autre, tout en essayant de faire entrer un peu plus de lumière en tirant sur ce fichu cordon du store de la chambre (en évitant de tout péter cependant).
Toc Toc CAMILA entre.
Les photos étaient réelles a priori. Gabarit moyen, joli visage et (très) beau sourire. Une certaine douceur générale se dégage de sa physionomie. Elle porte un body vert sexy constellé de strass. Elle me plaît .
Elle me fait penser un peu à la chanteuse Tal. Mais si, vous savez qui c’est : ("Tal, stylisé TΛL, nom de scène de Tal Benyezri, née le 12 décembre 1989 à Pardes Hanna-Karkur, en Israël, est une chanteuse, actrice et danseuse-chorégraphe franco-israélienne".)
Je lui donne les 60€ prévu pour nos 30 minutes. Elle repart ranger son petit pécule et revient très rapidement avec des nouveaux draps.
Je embrasse « gentiment » ses lèvres et lui caresse délicatement ses avant-bras et ses épaules. Je lui demande si je peux lui caresser les cheveux… Elle me dit qu’elle ne préfère pas. OK, c’est noté.
Camila me demande de me déshabiller… Je m’exécute.
Naturellement je m’attendais à ce qu’elle m’envoie à la douche. Mais… Non !! ??? (T’ain !! Et l’hygiène bordel !!?? Nom d’un gland malodorant !!??)
Elle s’agenouille directement, fait glisser mon boxer, prend une lingette et me nettoie sommairement l’outil. Et puis elle prend la bête en bouche.
Je sens grossir ma verge dans sa bouche. Chose curieuse, elle n’utilise (quasiment) jamais ses mains. Juste un mouvement régulier de sa tête, tel un Coucou Suisse, ça rentre et ça ressort (pas totalement), ça rentre et ça ressort… et ça recommence indéfiniment, ni très rapidement, ni très lentement, sans aucun changement de rythme, sans variation de pression, juste avec parfois une légère différence dans l’inclinaison de sa tête. Je ne note pas véritablement l’utilisation active de sa langue, juste la légère pression régulée des lèvres sur ma bite …
C’est pas la meilleure fellation que j’ai expérimentée dans ma vie mais ç’est une des plus curieuses je pense. Je me demande comment elle fait pour tenir une telle régularité sur la longueur sans être épuisée. (Moi j’ai déjà du mal à ouvrir la bouche en grand pour avaler une simple banane sans que ça me chauffe au niveau des maxillaires).
Camila c’est une vraie marathonienne de la fellation. J’ignore combien de temps cela dure mais un peu à contre cœur je l’arrête. Je lui dis que j’aime beaucoup ce qu’elle me fait, mais que comme le temps file, on va être obligé de passer à l’étape suivante maintenant, mais qu’après je veux finir ainsi …avec une conclusion « Frances Hasta El Final ».
Camilia me dit : « Cariño, NO HAGO EL FRANCES HASTA EL FINAL !! , Lo Siento !! » (désolé chéri, je ne fais pas de CIM). Elle ajoute devinant ma question … le « Facial » non plus.
Oh putain, Oh Putain, OH PUTAIN !!!
Je lui explique gentiment que pour moi c’est (très) important, que c’est même mon critère numéro 1, que c’est un plaisir qui relève autant du physique que du fantasme sexuel… que j’ai choisi de venir ici parce qu’on m’avait certifié qu’il y avait ce service… Bla bla bla… Bla bla bla.
Bref, je fais ma pleureuse.
Je lui dis que je comprends parfaitement que certaines filles refusent cette prestation, mais ce qui me gêne profondément dans l’histoire c’est qu’ « on » m’a dit que « Oui bien sûr ! » par message. Que c’est indiqué sur leur site et dans les annonces sur Pasion.com (En fait, après vérification, c’est faux, je me suis planté). Et que il y a pas plus tard qu’il y a un quart d’heure dans cette même pièce, l’encargada m’a confirmé que « Oui, Camila fait le FNHF ».
Elle me dit comprendre, mais que désolé… NON. Elle, elle ne fait pas de FNHF. Que j’aurais dû lui demander avant…
Je n’en veux pas personnellement à Camila, et je reste courtois et aimable avec elle malgré ma frustration...
On discute un peu histoire de changer de sujet … Elle me dit venir du Honduras, avoir 25 ans… être en Espagne depuis 2 ans… Moi je lui décris le drapeau du Honduras. Elle est surprise… (Et ouais, je suis assez doué en Géo et pour certains trucs à la con comme ça). Normalement je nomme toujours la capitale du pays, mais bon là je sèche… Après c'est le Honduras… Faut pas déconner non plus ! (Minute Culture sur Youppie : c’est « Tegucigalpa »)
Elle me parle des plages de sable blanc et de la situation là-bas… Une nouvelle minute YouppiepédiA : ("Le Honduras a déjà battu le triste record de pays le plus dangereux du monde, avec un taux de criminalité 11 fois supérieur à la moyenne, prenant ainsi la première place au Mexique...")
Bon les échanges interculturels c’est bien, mais il est temps de se reconcentrer sur le cul tout court … Je me suis fait une raison pour le FNHF... Je l’embrasse, lui caresse ses seins… Je lui demande de s’allonger confortablement et lui enlève entièrement son beau body sexy scintillant. Les seins sont naturels, de tailles normales, un peu tombants peut être, je les embrasse néanmoins avec plaisir. Je continue à la dévêtir entièrement …
Là pour le coup, ça se gâte. Même si je ne laisse rien paraître, je suis un peu déstabilisé par le ventre de mon Hondurienne. J’ignore si cela est dû à une grossesse ou à une très importante perte de poids, mais la peau de son ventre est très abimée… Extrêmement plissée et fripée, avec manifestement trop de « peau »… Bref, c’est vraiment pas jojo jojo.
Je continue néanmoins à caresser son corps et l’embrasser un peu partout (sauf au niveau de la « Sharpey-Zone » bien évidemment…). Je lui propose un oreiller pour qu’elle soit plus confortable et je m’en vais lui lécher les babines. Je reste pas mal de temps sur site…
Le temps file, ça va être chaud pour la pénétration vaginale, d’autant plus que mon petit compagnon (Mr Bibite pour les intimes) a subitement un petit coup de mou…
A nouveau et sans que je ne dise rien, Camila se remet à genoux… et à nouveau elle reprend son travail métronomique fellatoire. Même technique, même précision, même régularité impressionnante… digne des meilleurs coucous helvètes. Sans jamais utiliser ses mains…
Tic Tic Tic Tic Tic Tic…
Je lui caresse ses seins (et furtivement ses cheveux…) Elle prend délicatement dans le creux de sa mains mes testicules, tels deux petits oisillons déplumés tombés du nid, elle les cajole précautionneusement du paume de sa main…
Tic Tic Tic Tic… Je ne désir plus rien d’autre… Tic Tic Tic Tic…
Camila est en train de jouer à la Roulette Russe …avec ces allers-retours incessants.
Tic Tic Tic Tic…
Sauf qu’au lieu d’avoir le canon sur la tempe, elle l’a dans la bouche…
Le barillet tourne… tourne... Tic Tic Tic Tic… la détente est pressée à chaque fois… Tic Tic Tic Tic… Pour l’instant ça percute dans le vide… Mais … Attention nom d’une pipe, l’arme est chargée !!
Tic Tic Tic Tic..
Elle continue imperturbablement son travail d’orfèvre… Elle doit quand même bien sentir grandir ma « crispation »??… Déceler les signes avant-coureurs de « mon point de non-retour »??
Tic Tic Tic Tic
Néanmoins elle continue …
Tic Tic Tic Tic
Et puis voilà…
POUUUMMMMM !!!
Je pense que vous aviez déjà deviné la fin de cette petite histoire de Coucou Suisso-Hondurien qui joue à la Roulette Russe. (On peut difficilement faire tourner indéfiniment le barillet sans finir par tomber sur la balle).
Au final je ne sais pas trop si Camila a intentionnellement décidé d’accéder à ma demande (et a simplement voulu me « faire plaisir ») ou bien si c’est juste la victime d’un malheureux accident par arme à feu ??
Je me suis quand même excusé (par courtoisie) pour cette petite défaillance génitalo-bucco-spermique. Elle m’a dit que ce n’était rien…
Pour les 5 dernières minutes, j’ai voulu lui prodiguer un petit massage (thérapeutique 100% amateur) en guise d’au revoir.
Bon au final, on n’a pas vraiment copulé, mais cette séance atypique n’a pas été un fiasco total, car étrangement, Camila malgré ses imperfections, ses (semi)-interdits , et sa technique « originale » m’a bien plu.
Conclusion, attention chez « Venus Lux » à bien définir avec la fille elle-même ce qu’elle accepte ou non, sinon vous risquez d’être victime (les yeux dans les yeux) d’une outrageuse Cahuzacquerie.
Et pour le niveau des prestations (et installations), on n’est clairement pas à l’Atico ou à la Belle Epoque.
L’avantage principal de Venus Lux (le seul ??), c’est qu’il est juste à côté de la plage…
Il me restait un peu de temps avant mon retour, et comme le Soleil pointait (enfin) le bout de ses rayons, et que le fracas de l’Océan indiquait des joutes en perspective intéressantes (j’adore faire mumuse dans les grosses vagues), là non plus, je n’ai pas pu résister.