Findom ( pour "domination financière ou " money slavery" en anglais) est une sous branche de Femdom ( domination feminine) sans que l'on confonde les deux.
Cela relève, bien evidemment, du goût de certains ( plus que de certaines),où est la parité!) d'être traités en pigeon par des nanas qui leur feront payer très cher le mépris qu'ils espèrent d'elles... D'où l'expression humouristique de Pannick ,ci dessous,qui parle , pour certaines, d'elevage de pigeons, à savoir, de colombophilie)).
Bon, c'est vrai qu'on est nombreux à trouver ces " fantasmes" plutôt glauques et inquiétants pour ceux qui en souffrent même si on n'est pas ici pour dire aux uns et aux autres quels sont les " bons fantasmes" à avoir. Tous les goûts sont dans la nature er le money slavery ne me choque ni moins, ni plus que les " soupeurs", si ça existe encore?, c'est à dire ceux qui balançaient du pain dans les pissotières pour aller le recuperer comme un fetiche sexuel, une fois qu'il avait été suffisamment arrosé...)). Mais y a -t-il encore suffisamment de vespasiennes aujourd'hui!!? Tout fout le camp, mon bon Monsieur!!
Plus serieusement , les " money slaves" me semblent atteindre un haut degré de servitude et de masochisme qui dépasse largement la dimension sexuelle qu'il peut encore y avoir, y compris dans une relation de domination/ soumission classique.
Ce qui est surtout inquiétant, c'est la prolifėration recente, sur le net,de petites arnaqueuses opportunistes, pseudo dominas, qui flairant des pauvres types à la dėrive, en perdition, tentent de leur extorquer un maximum de blé par tous moyens.
Si la loi ne saurait protéger les imprudents ou ceux qui se vautrent volontairement dans leurs propres turpitudes, elle sanctionne, en revanche , les actes de malveillance et d'escroquerie à l'encontre de personnes qualifiées de faibles ou souffrant d'altération, même momentanée, de leurs facultés mentales.
Si un client, sous suivi psychiatrique, se faisait alors arnaquer, cela pourrait coûter très cher à ces "truandes en combinaison latex". Beaucoup l'ignorent.