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Discussion : Altheim-Münster : FKK ROM (ex Atlantis ex FKK Elite)

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    octobre 2014
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    Première visite du FKK Rom le vendredi 8 juillet en continuation de ma découverte des FKKs de la Hesse (cf. mes récits sur le Mainhattan).

    Darmstadt Nord

    Commencer par une digression fait un peu bizarre mais pourquoi pas : étant logé sur Darmstadt, pour aller au Rom j'ai pris un train régional à partir de la gare Darmstadt Nord. J'y suis déjà passé plusieurs fois de nuit mais jamais de jour, et c'est réellement une vision d'horreur : ce vieux bâtiment défoncé, sans aucun personnel, divers matériels de construction laissés à l'évidence à l'abandon depuis des mois voire des années, avec ces murs de briques recouverts de tags dégueulasses, je me suis cru dans une station de métro new-yorkaise des années 70 et je m'attendais à tout moment à voir débouler un gang sorti de The Warriors !

    Installations

    Le club est l'assemblage de deux bâtiments à l'origine distinct : un cube qui devait être anciennement un hôtel et une vieille maison bourgeoise. Pour ce qui est de l'hôtel, à la droite de l'accueil vous avez les vestiaires avec un ensemble de douches, directement à la gauche les casiers pour les objets de valeur, et en allant tout droit un escalier permettant de monter aux chambres réparties sur deux étages (toutes les chambres sont sur le même plan, grandes, avec une salle d'eau, que je n'ai pas utilisée ayant fait juste une session basique de 30 minutes, mais pour une ou deux heures cela peut être pratique), plus un couloir permettant d'accéder au bar.

    Dans celui-ci vous avez la zone principale de canapés pour les filles, ainsi que le buffet. Choix limité pour la nourriture mais dans l'ensemble j'ai trouvé cela de bonne qualité. Le bar/lounge est étonnement grand, plus grand que le Samya pour vous donner une idée à partir d'un club assez connu. En passant le bar on arrive dans la zone tampon avec la maison, ici vous avez le sauna (un peu trop petit pour mon goût, quand la clientèle est réellement arrivée vers 18h il était souvent plein), le jacuzzi (comme au Mainhattan l'eau n'y était pas assez chaude pour moi) et deux grands lits-canapés.

    En continuant on entre dans la maison dont seul le rez-de-chaussée est accessible et est composé de petites salles contenant des canapés et fauteuils pour la relaxation au calme, avec dans la toute dernière la table de massage. La zone de bien-être et les salons de la maison donne sur la zone extérieure de belle taille et un grand nombre de transats (tous doubles) et la piscine, qui est d'une couleur absolument immonde. Il semble que l'eau soit propre mais le fond vert/marron ne donne vraiment pas envie d'y entrer.

    Dans l'ensemble j'ai bien apprécié les installations, dans mon esprit, à cause du prix de l'entrée j'avais rapproché ce club de l'Acapulco Gold et je dois dire que le Rom lui est supérieur à tous les niveaux. Sauf …

    Les filles

    M'attendant à un line-up limité je suis venu un vendredi en optimisant les chances de le voir complet. À mon arrivée, à l'ouverture du club à midi, il y a une seule fille au bar, et pendant les trois heures suivantes cela a péniblement monté à 5 filles. Le plus gros contingent est arrivé sur les coups de 16h et je pense avoir vu l'ensemble vers 18h, pour un total de 15 filles.

    Ce qui semble pas mal à première vue pour un petit club, sauf que pratiquement l'intégralité des filles est en clair surpoids, et au moins 5/6 sont simplement obèses. La clientèle étant très rare dans le début de l'après-midi, les filles présentes m'ont sharkés de façon un peu lourde, en comparaison les filles du Mainhattan se restreignent bien plus (faisant partie des meubles au Sharks cela fait longtemps que plus personne ne me sharkent, qui est un des petits avantages d'une fréquentation assidue d'un club).

    Je m'attendais aussi à ce que les filles arrivent tard, mais quant à chaque arrivée je voyais le même type de corps à peu de chose près, j'ai commencé vers 16h à penser que j'allais faire chou blanc quand j'aperçois enfin une fille à la limite de mes goûts, mais du mauvais côté de la limite. Bon je décide d'y aller quand même faute de mieux et me voilà avec Andra, roumaine, 1m70, longs cheveux noirs, approchant la trentaine, surpoids bien visible au niveau des fesses et du ventre, joli visage, des gros seins siliconés plutôt bien fait, un tatouage de rose sur l'avant-bras droit et un autre dans le dos dont j'ai eu du mal à deviner le motif car il donne un aspect étrangement délavé, peut-être une Aphrodite sortant de l'eau. Me dit travailler dans ce club depuis deux ans et avoir été précédemment à l'Oase. En chambre très bonne fellation, sexe basique mais bien, un poil trop dirigiste mais écoute quand même les préférences. Social time sympathique avec une fille parlant un bon anglais (meilleur que son allemand me dit-elle). Ne pensant pas revenir dans ce club, redite improbable, en plus de ça même si au Rom je l'ai remarquée immédiatement, dans un club comme le Mainhattan ou le Magnum et a fortiori au Sharks elle serait invisible pour moi, ce qui est la raison que régulièrement quand un ami me demande si telle ou telle est présente ces jours-ci, il faut que je me fasse expliquer qui c'est car si elle n'est pas dans mon type je peux la croiser dix ou cent fois par jour, mon cerveau ne l'enregistre pas.

    Le prix d'entrée

    Ce club a la particularité d'avoir deux prix d'entrée. Pour 40 euros vous avez l'expérience habituelle d'un FKK, serviette, robe de bain, boissons non alcoolisées et buffet à volonté. Pour 30 vous avez une version avec seulement une serviette et tout le reste est payant, même l'eau ou le remplacement de la serviette ! Même si en théorie ce second tarif vous donne accès au club pour toute la journée en fait il est l'équivalent des tarifs 2 heures de certains clubs. Vous entrez, vous avez le temps de découvrir le line-up, vous montez en chambre pour 30 minutes où 1 heure et fini. Tout autre utilisation de ce tarif n'a aucun sens économiquement.

    Je pourrais imaginer revenir dans ce club que j'ai quand même apprécié si j'entends dire que le line-up a connu un coup de jeune, mais quand je vois le récit il y a un an de JasonSho décrivant un club parfaitement identique, je me dis que cela ne sera sûrement pas pour demain. Il ne faut jamais dire jamais.

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  1. #


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    octobre 2006
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    Altheim-Münster : FKK ROM (ex Atlantis ex FKK Elite)

    Après de multiples visites à Francfort à arpenter professionnellement la « Messe », sachant que la ville, la région voir même le pays accueillait une prostitution (semble-t-il) de qualité, contrôlée et réglementée, puis débarrassé d’une partie de mon éducation judéo-chrétienne, de mon image auréolée de mari et de père ainsi que d’une vie provinciale plutôt pépère et traditionnelle, je m’étais décidé, cette année, de mettre toutes les chances de mon côté afin de pouvoir vivre mon « Fantasme » à moi » d’homo-erectus du 21ème siècle : « aller au bordel ».
    Ainsi, je m’étais installé « au vert », à une quinzaine de kilomètres au sud-est de Francfort, équipé d’une petite voiture de location et de mon ordinateur portable avec lequel j’avais préparé mon plan de bataille minutieusement. Tous les jours donc, à chaque retour du salon, comme un loup autour de sa proie, je passais et repassais devant quelques endroits choisis à proximité de mon hôtel.
    Le compteur de mon véhicule (à 2 chiffres quand je l’ai pris) totalisait bientôt quelques 250 kilomètres et témoignait de mon hésitation. J’attendais tantôt la pénombre, puis la nuit, puis l’absence de voiture derrière, puis devant, puis devant et derrière moi, pour revenir bredouille dans mes pénates.
    Puis ce jeudi soir, je décidais de vaincre la peur du vide après avoir atteint le bout de la terre, et de m’aventurer un peu plus loin, à Münster, où se trouvait le FKK « Elite », découvert auparavant sur le net : www.fkk-elite.de
    Le bordel se trouvait au bout d’une impasse, dans une petite agglomération. Le parking est vaste et muré, il est environ 22 heures il y a peu de véhicules et le bâtiment, assez grand, demeure discret malgré une enseigne lumineuse explicite. L’ensemble est largement plus avenant que le quartier de la gare de la capitale de la saucisse.
    Je m’avance donc sans réfléchir (pour une fois…) vers une première petite grille à gâche électrique, puis vers la porte principale. L’accueil de la tenancière est cordial et concis : 60 Euros l’entrée puis 50 Euros pour passer un moment avec une des 14 filles présentes.
    Après m’avoir donné deux serviettes et une clef, elle m’invite à me «préparer » en m’indiquant le chemin des vestiaires situés juste derrière son comptoir. Le tout est très propre, bien tenu, organisé « à la germanique » : grandes douches, libre service de parfums, déodorants, sandales, sèche-cheveux. Reste la présence de caméras de surveillance bien dissimulées mais assez indiscrètes à mon goût.
    Mais cette mise en condition et l’atmosphère générale de la « maison » me réconfortent, à tel point que je pénètre avec hâte (enfin) dans ce parc d’attractions pour adultes, nu comme un ver sous une serviette mal nouée sous l’effet de l’excitation. Le petit corridor mène directement vers le bar où se trouvent une poignée de locaux : 2 hommes et 4 filles. Après les salutations de circonstances et un bon mot sympa pour l’étranger qui débarque, je suis abordée (pour ne pas dire gentiment allumé) par une allemande forte aux yeux clairs, dont la température corporelle pourrait faire croire qu’elle est cliente ici. Quelque chose me dit que je la reverrai plus tard…

    Je ne tarde pas à m’aventurer encore plus loin, un verre de soda à la main. La salle très grande est décorée avec des couleurs chaudes, façon harem, et dans la pénombre permanente, quelques silhouettes de femmes se dessinent au fur et à mesure. Tel Ulysse résistant aux sirènes, je décide d’en faire plusieurs fois le tour, manquant à chaque fois cette foutue marche de moquette noire, et trébuchant maladroitement vers cette belle sud-américaine au cheveux courts prénommée « Sol ». Pourtant, malgré ses caresses insistantes, je m’en vais vers d’autres coussins moelleux, tentant de gouter à tout au même moment sans rater la moindre particule de miette que propose ce lieu. Ma promenade se poursuit vers une autre pièce où se présente face à moi et sans retenue, une métisse aux cuisses entrouvertes et à la toison brune, une autre est allongée sur le ventre, d’autres filles circulent silencieusement nues, juchées sur de hauts talons aiguilles, courbant leurs mollets, allongeant leurs jambes, galbant leur fesses. Je ne vois pas d’autres hommes et m’auto-attribue par conséquent coq de la bassecour, prince, nabab et même calife de ce charmant endroit, refusant tour à tour les invitations à mon seul et unique plaisir.

    Mon périple se termine au « Kino » (le cinéma) où le film porno qui est diffusé, semble avoir à présent autant d’intérêt qu’une mire de réglage. De retour vers le bar et vers une autre boisson non alcoolisée, je remarque cette fine blonde, éclairée par l’un des rares « spots ». Elle me suivra à distance une fois mon verre terminé, pour me rejoindre dans la salle de cinéma. Son prénom ne me revient pas, mais elle est bulgare. Sa peau est légèrement tannée, très douce. Sa poitrine est petite mais très orgueilleuse et tendue. Sa longue tresse blonde tombe sur mon ventre, puis sur la partie la plus tendue de ma serviette qui a « explosé ». Caressante, de plus en plus précise, avenante, elle me propose une « activité » sur place, mais je préfère, pour commencer, la discrétion d’une chambre. Le départ de la salle de projection se fera sous quelques rires complices, moi-même tentant de dissimuler sous mon seul et unique linge, un gourdin abracadabrantesque…

    Partis pour une séance de jambes en l’air dans l’une des chambres, je gardais les yeux grand ouverts afin de profiter encore de sa silhouette totalement dénudée montant devant moi les escaliers. Puis, je m’affale sur le dos, passif, contemplant cette jolie fille de l’Est me prodiguer une fellation nature, qui sur le coup, excitante, se révélera après coup, assez banale. Accroupie plus tard sur mon sexe (que je ne reconnaissais plus), la séance se termina – rapidement - par une levrette, et un remplissage de réservoir à n’en plus finir. Le charme s’était semble t-il rompu pendant le trajet (doit-elle payer la chambre ?) et son corps était resté assez « frais » malgré tous mes efforts. En la croisant plus tard à quelques reprises, je ne vis plus aucune reconnaissance. Cette fille travaillait ici. Je l’avais oublié.

    Ce n’est pas le cas de cette brune frisée dont je parlais précédemment, que je retrouve un peu plus tard vers le bar. J’ai vécu à ce moment là, ma plus rapide remontée d’ardeurs. Même si l’on sait pertinemment que l’argent est en jeu, rien ne vaut, comme elle-même l’a avoué, avoir un plaisir commun et partagé et un minimum de feeling, le client n’en sera que content. Je suis donc tombé, non pas sur un top model de culture en pot, mais sur une femme quelque peu nymphomane consciencieuse, joueuse, vicieuse, sportive, complice et un peu délurée (l’opposée de sa propre épouse après quelques années de mariage, n’est ce pas messieurs… ?).

    Pourtant, je voulais encore me rincer les yeux, me faire envier, revenir ici, repartir plus loin la bas, comme un môme qui n’a plus que l’embarras du choix, me laisser toucher par une population locale sympathique et enivrante qui semblait s’accroître au fur et à mesure que le temps passait. Je remarquais de nouvelles venues, deux jeunes femmes ensemble, une autre fille d’origine eurasienne, tiens, un nouveau client et un autre qui part…

    Mais mon allemande revint une nouvelle fois se frotter, avec retenue, contre moi, et me suggère un menu à base de douche complète ( !), massage à l’huile et amour avec glaçons, qui ne pouvait laisser personne indifférent. Nous discutâmes dans le jacuzzi de tout et de rien, seuls, laissant les mains et les pieds devenir de plus en plus précis et j'érigeais une nouvelle fois mon grand périscope pourpre…

    C’est en nous dirigeant vers l’entrée et l’accès aux chambres qu’une dame nous proposa, à la volée, un « ménage à trois ». Enfin ! l’ultime rêve, le graal, le cadeau bonux, le boss de fin de niveau : deux femmes qui jouent ensemble et avec moi. Ni une ni deux, j’embarque cette charmante mais néanmoins personne d’un âge certain avec nous.

    Quel plaisir d’être massé, lavé, frotté, moussé entre quatre seins, quatre mains qui pétrissent, agitent, fouillent, écartent, deux bouches qui sucent, embrassent, mordillent, deux langues qui s’agitent sans retenu, à tel point que je n’ai même pas senti la pose du préservatif !
    Même si ma cochonne d’allemande a assuré la majeur partie du spectacle, dont une pipe fougueuse, un chevauchement à la hussarde dont elle s’est (semble t-il) régalée et quel doigts bien placés dans tous ses orifices (et le mien !), sa copine tchèque l’a bien assistée en mettant ce qu’il faut la où il faut au bon moment. Je regrette cependant un manque d’échanges lesbiens entre mes deux copines du moment, provenant du fait, comme me l’a précisé plus tard mon hôtesse, qu’il faut plutôt choisir un couple de femmes suffisement complices dans le club.

    Qu’à cela ne tienne, j’ai retenu la leçon pour la fois prochaine… Je reviendrai !

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