Avril n’était pas là lors de mon dernier passage de novembre. Pourtant, elle vient toujours, une de ses copines me l’a confirmé, mais épisodiquement. Elle était présente en octobre apparemment.
Ma rencontre avec elle remonte à février dernier, mais je me souviens bien de ce doux moment. Je l’avais vu précédemment déambuler au -1 pour se rendre au bar du sous-sol, elle ne m’avait alors jamais abordé. Elle aime que l’on fasse le 1er pas pour elle, m’a t elle indiqué plus tard. Elle est facilement reconnaissable à sa longue chevelure rousse qui s’arrête à mi-dos en formant 1 ligne parfaitement horizontale et égalisée. Elle a également une silhouette fine et élancée.
Avril m´a emmené dans sa chambre de prédilection - la chambre de ses débuts, m’a t elle confessé - donnant sur l’avant du bâtiment, vers le fond du couloir, avec un large miroir « floor-to-ceiling ».
Une fois arrivés, elle s’allonge face à ce miroir, avec moi juste derrière elle. Cette position que je trouve très érotique est une invitation à l’embrasser dans la nuque et à lui caresser les omoplates. Excitation immédiate me concernant. Elle me parle de sa bisexualité et de ses goûts en matière de gent féminine, qui ne sont pas les miens. Mon enthousiasme retombe, elle le sent et change tout de suite de sujet.
Par la suite nous enchaînons toutes sortes d’acrobaties. En cow-girl, je prends la précaution de préciser, ‘please slowly and softly’ et garde un souvenir particulièrement sympathique du moment passé.
En fin de séance, Avril passe beaucoup de temps à m’expliquer sa liste de services. Et je peux vous dire que cette liste est très longue et diverse. Elle m’expliquera en redescendant l’escalier qu’elle aime ainsi appliquer son cours de marketing de l’université.