Discussion : Lleida : Carrer de Castellà 14 [piso chinois]

[Qii]

Retour il y a quelque temps dans ce piso. La mamasan est toujours la même. Une seule pensionnaire se présente. Je ne me souviens pas de son nom. On va l'appeler Natasha.
Plutôt jeune, bien proportionnée, légèrement enrobée, un joli visage, une peau très douce, indiquant une jeunesse relative.
Visiblement, Natasha a été formée dans un pays de férias. Disons que pour embrasser, elle encorne latéralement. C'est tout un art pour trouver sa joue et encore plus sa bouche... Tout m'apparaissait clair... La session allait être pourrie.
Tout était à peu près dans l'évitement, sauf le gel.
À un moment, on est arrivé au massage... du dos. Oui, elle avait peut-être l'intention de s'occuper d'une autre partie de mon corps. Mais je l'ai interrompue, pensant déjà au bon repas que j'allais vivre dans un restaurant habituel. Donc, la session a duré 40mn sur l'heure prévue.
La mamasan me propose la douche. Je décline la proposition. Elle termine la conversation, baissant la tête, par un "otra chica, otro dia".
Je n'envisage pas de retrouver Natasha. Notre rendez-vous avait manqué de nous.

[Qii]

Retour dans ce piso. Laïa (que je connaissais de Carrer Venus26) se présente et Lili, avec laquelle je suis monté. Pas une première jeunesse, ni des proportions de type avion de chasse. Sinon, femme sympathique. Mais ça ne justifie plus tout à fait de faire autant de kilomètres. O tempora, o præstigiæ !

[Qii]

Je suis allé dans ce piso une dizaine de fois. Il est situé à l'ouest de la ville. En journée, ce n'est pas évident de se garer, même s'il y a un parking à proximité. En soirée, c'est plus facile. Le piso se situe au-dessus d'un bar, que j'ai toujours vu fermé, le Frankfurter. La mama-san devient avenante et familière au gré des visites.
Sont présentes de deux à trois filles. Particularité de ce piso : les filles tournent beaucoup et ne restent pas longtemps. Ça donne l'impression d'un piso, qui accueille les chinoises qui arrivent de l'étranger. J'ai d'ailleurs rencontré ici la seule et unique chinoise à ce jour en provenance de France. Elle m'a dit en français, qu'elle travaillait avant à Paris dans la restauration et qu'elle se lançait dans la prostitution.
Toutes tournent. Certaines, je les ai vues une fois, trois fois maximum, sauf une qui semble là à demeure (une seule fois, elle était absente ; elle était à Barcelone) : Luna, une fille sympathique, avec un air faussement mélancolique et timide. Elle a aussi une autre particularité : c'est la deuxième plus belle chinoise, qu'il m'ait été donné de rencontrer sur la cinquantaine de chinoises rencontrées en Espagne. Elle a un joli visage et un corps bien proportionné. Elle est en tout cas assez demandée. Je ne suis pas forcément toujours monté avec elle, même quand elle était libre, aimant varier les plaisirs.
Les sessions sont, bien sûr, de bon niveau. C'est cependant un piso où il y a pas mal de clients. C'est un signe.
Le tarif est de 40 € / 30 mn et de 60 € / h.

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