Peu avant 21h, après vingt bonnes minutes de promenade dans le quartier, une fille plantureuse fit son apparition et me regarda avec insistance (de mon côté, j'ai un peu eu l'effet Tex Avery, bien repéré par la belle), il s'agit de Maria (aucun doute, son nom est inscrit distinctement à l'intérieur).
Je pénètre ainsi dans son espace et, grand sourire aux lèvres, elle m'explique l'état de ses services. Je suis fixé rapidement, mais je dois rechercher des sous (elle en profite pour me montrer un endroit où en récupérer, non loin de là).
Deux minutes plus tard, je reviens sur les lieux et, me voyant de retour et déjà sollicitée par un autre client, elle le repousse afin de m’accueillir.
C'est à ce moment que j'ai su que j'étais en train de succomber à la tentation (merci Oscar Wilde) !
Cela faisait de nombreuses années que je n'avais plus vécu une expérience en vitrine, mais celle-ci fut étonnante ! Je frissonne encore du grand froid et semble nerveux aux yeux de Maria (mais non, il faisait vraiment froid dehors) !
Une fois désapé et nettoyé les outils, nous nous acoquinons sur le lit, et je profite de son corps magnifiquement sculpté. Elle m'explique faire du Soft SM, ce n'est pas mon trip, mais elle gardera néanmoins ses longues bottes sexy « peep toe » en latex.
Du haut de ses 28 ans, visage adorable, lèvres pulpeuses, sourire ravageur, voix douce et une plantureuse poitrine généreuse (cup ... G) ... le petit plus, la gentillesse de Maria, pas du tout chrono, s'intéresse à ma personne, mon métier, et semble même étonnée par ma bonne humeur apparente (cela la fait rigoler, lorsque je lui glisse quelques mots en roumain), le feeling semble très bien passer.
Au lit, j'ai eu droit à un service de haut vol ; selon le feeling, la qualité prestation sera au rendez-vous. Excellente fellation, elle me proposera un délicieux « spanish » ainsi que d'autres petits jeux sexuels (dont un, en particulier, était une première pour moi), cunni et trois positions d'excellente facture, savant mélange entre GFE et PSE, c'était sensuel, sexuel !
A la fin de la demi-heure de plaisir, Maria partage même quelques minutes au lit, en ma compagnie, m'offrant même un petit Fanta. Sympa !
Cette ancienne de la « Villa Vertigo » (se demandant même si cet endroit existait encore) semble avoir établi son quartier à Anvers où elle dispose de son logement ici, ayant pris soin de décorer avec soin l'antre du désir, agrémenté de déco SM.
Pour sûr, si je dois m'approcher d'Anvers dans le futur, je ne manquerai pas de prendre rendez-vous avec Maria !