- Mary est une femme d'environ 35-40 ans. Polynésienne, elle était la plus souriante de la maison (je privilégie le sourire, la bonhomie de la fille plutôt que son physique, dans l'idée de ne pas connaître de déceptions).
- les 15 minutes de la rencontre ont été très agréables. Pas chrono, j'ai pris beaucoup de plaisir à l'enlacer, la serrer dans mes bras, lui embrasser les cheveux.
- le rapport en lui même fut sympathique. De nombreuses positions ont accompagné un moment entrecoupé par de la tendresse et quelques gémissements plus ou moins réalistes.
- social time en français, ce qui - en Allemagne - convient d'être souligné.
- contrairement à ma précédente visite (juillet 2019), les FK sont devenus un supplément (30€). Il convient d'en rendre compte.
Le site de la "Villa le Rouge", a contrario de celui qui concerne les établissements d'Offenburg ("Maison de l'amour", "Villa del Amor") ne permet pas de faire une recherche par fille. Toutefois, et au cas où certains seraient intéressés, je joins l'URL du lupanar afin que vous puissiez vous à quoi Mary ressemble. Avant qu'elle ne décide de voguer vers d'autres flots...
https://villa-lerouge.de/girls/
Texte :
Il fait très chaud en ce dimanche de début octobre ; trop chaud pour que ce soit véritablement raisonnable. Je suis un romantique et un littérateur dont les tourments s'appellent "sourire de l'être aimé", "chevelure de jais de l'être aimé", "jambes interminables de l'être aimé". Je vis dans un monde où les hommes sont adultérins et où les jeunes femmes minces aux courbes sculpturales en ont conscience. Et là est sans doute la cause de mes tourments. Nous ne sommes pas faits pour les grandes agglomérations et les passions déraisonnées. Il nous faut le sourire de l'être aimé, la chevelure de jais de l'être aimé, les jambes interminables de l'être aimé pour que nous ayons le sentiment de nous sentir vivre. Un jour viendra où "les sanglots, la déchirure de l'amour blessé" ne seront plus que des leurres. Il nous faut cette "ivresse d'être jeune et libre" à n'importe quel prix. En attendant, nous contrecarrons la vie et ses interjections les plus abstraites en nous rappelant au bon souvenir de certaines demoiselles. Ce sont des grandes et des douloureuses ambitions. Mais, elles sont pour l'instant celles qui nous donnent l'ivresse d'être jeune, libre et aventureux.
La route vers Baden-Baden est une 3x3 voies plate et longiligne. Des berlines allemandes font la course avec des camping-caristes et des voitures publicitaires regardent le spectacle depuis la bande d'arrêt d'urgence. La Bundesautobahn n°5 me rappelle de grandes virées du côté des alpes bavaroises et de l'Autriche attenante. Je me perds dans tout un tas de pensées en me rappelant que je ne suis rien face aux soubresauts de l'histoire. Le trajet rapide, reposant presque, s'est déroulé sans réelles encombres. La "Villa le rouge" est un établissement situé à quelques kilomètres de Baden-Baden et quelque peu perdu dans un village abritant un FKK et des camions immatriculés en Europe de l'Est. Je me suis garé sur le petit parking situé devant l'alcôve et me suis dirigé vers l'entrée. Il fait toujours chaud et je commence à transpirer. D'aucuns diront que c'est le stress et ils auront raison.
La "Thekefrau" m'ouvre et me propose de la suivre. Je demande à voir toutes les filles et m'installe dans une salle attenante à l'entrée avant de me prélasser dans un fauteuil récupéré dans un magasin genre Ikea ou Braun Möbel Center. Je prends un bonbon en essayant d'esquiver les emballages vides que mes prédécesseurs ont jeté dans une sorte de mini-vase. Les filles se présentent à moi en lingerie fine en égrainant leurs prénoms comme certains, un jour, ont pu se présenter à un entretien d'embauche. Certaines sont plus ou moins souriantes, c'est selon, certaines ressemblent plus ou moins à leurs photos, c'est selon. J'hésite entre Barby et Mary lorsque la mère maquerelle revient me voir. Je lui réponds que Mary me plaît et elle me laisse tout seul pendant quelques instants. J'en profite pour feuilleter un catalogue avec des photos de filles qui ne sont pas là et leurs prestations lorsque ma dulcinée de quelques instants revient me voir. Balbutiant un triste allemand et un non moins réjouissant anglais, je lui réponds que j'ai envie d'être avec elle durant 15 minutes. Je l'accompagne à l'étage en dégustant - timidement - chacune de ses courbes.
Arrivés dans la chambre, je l'aide à faire le lit et à changer les draps en parlant français. Polynésienne, Mary. Je l'enlace, l'embrasse un peu partout en déposant - toujours timidement - mes mains sur ses fesses. Elle sourit et m'accompagne dans la salle d'eau. Elle me regarde me doucher en me lançant quelques mots doux et me pousse à la rejoindre après m'être essuyé avec une serviette blanche. Elle me tiens la main et me demande de m'asseoir sur le lit. Elle rapproche sa bouche de la mienne, sans m'embrasser, et enlève ses talons avant de faire de même avec sa lingerie. Elle me prodigue une fellation - relativement bien exécutée, même si je n'ai jamais de sensations avec cette pratique - en se positionnant afin que je puisse apercevoir ses fesses dans le miroir. Elle me dit qu'elle a envie de moi et nous enchaînons un missionnaire, un andromaque, une levrette avant que je ne me masturbe en la regardant dans les yeux. Je l'aide à défaire le lit avant de me rhabiller et de poursuivre la conversation que nous avions entamé dans la salle de bain. Elle a le sourire de celles qu'on risque d'estimer. Avec tout ce que cela sous-entend.
Nous ne sommes pas faits pour les grandes agglomérations et les passions déraisonnées. Il nous faut le sourire de l'être aimé, il nous faut nous perdre dans la chevelure de jais de l'être aimé pour que nous ayons le sentiment d'être quelqu'un. D'aucuns ont le loisir de fantasmer sur ce qu'ils n'auront jamais, ou si peu. D'autres, les plus romantiques, les plus littérateurs certainement aussi, fantasment sur ce qu'ils ont un jour connu. Par la grâce des dieux, que l'ivresse d'être jeune et libre est délectable.