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Discussion : FKK Artemis : Vos récits de visite

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    juin 2008
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    Ah mes amis ! Quelle émotion à revenir en ce lieu «sein» (saint?) après tant d’années .

    Quelques mots sur les lieux : ils ont vieilli, la moquette commence à être râpée par les allées et venues des demoiselles sur leurs échasses à pute et des glandeurs venus glander le con des demoiselles. Les chambres sentent les nombreuses passes quotidiennes. Le buffet est toujours aussi minable, mais cela fait partie du charme d’un tel lieu, n’est-il pas ? Cela fait partie du sentiment d’abnégation qui nous envahi lorsque nous venons en ces lieux : nous sommes ici pour la femme , que pour elle , pas pour nous-mêmes ! Et d’ailleurs seul le plaisir du plaisir du sport de la bête a deux dos compte ! On vient reluquer , enfiler , gicler et on passe au buffet que pour récupérer après l’effort. Heureusement qu’il ne s’agit pas d’un resto gastronomique, on profiterais moins des chattes dégoulinantes dont le suc est inégalable.

    La clientèle tout d’abord : de tout , plutôt jeune étonnamment , quelques vieux schnocks à Mercédès bedonnant évidemment , peu de petite frappes tatoués des Balkans style mafioso bruyant , les quelques italiens de services qui se croient plus malins que tout le monde , pas de français en goguette. A la douche, j’aperçu un jeune pâtre pâlichon et imberbe, à la queue très longue et trop fine , une espèce de spaghetti trop cuit pendouillant lamentablement … j’hésitais entre la jalousie de la longueur et la satisfaction de mon épaisseur !

    Parlons du cheptel également nommé souvent ici « line-up ». Il est décevant! Je me souviens (ma mémoire me fait elle défaut?) de splendides femelles , de véritables merveilles qui à l’époque m’avaient rendu fou, et regretté de ne pas être resté plus longtemps sur les lieux , avoir cédé aux illusions de paix ou de dédains dus à la période réfractaire que tout être masculin connaît après avoir vidé ses couilles . Je me souviens être à l’époque revenu à l’hôtel et avoir regretté de ne pas avoir mis dans les règles ( ou pas !), telle ou telle salope aperçue déambulant au bar du bordel à peine quitté avec l’illusoire sentiment d’être satisfait,illusion de satisfaction vite passée, regrets infinis qui me hantent encore! Oui, le cheptel est décevant ce soir-là: beaucoup de gras , beaucoup de cellulite , beaucoup de seins tombants , beaucoup de quelconque… La roumaine est sur-représentée et j’écrirais heureusement : car sans elle il ne resterait pas grand choses et d’ailleurs mes deux prises du soir viennent du pays officiel sponsor de nos Fkk et premier fournisseur en putes de bordel ! Je me souviendrai toujours de cette putain roumaine du GT de Vienne me disant le plus sérieusement du monde « mais chez nous toutes les filles sont des putes ! C’est normal d’être une pute chez nous, la roumaine naît pute ! ». Brève et honnête description du paradis sur terre , la Roumanie , qui doit apprendre à ouvrir des bordels de haut niveau vu la qualité naturelle de ses femelles.

    Je déambulais donc , déçu par la gente féminine en goguette. Peu de Sharkage désagréable. Pas de vulgarité ce soir-là. Après quelques minutes passées près du bar à étudier les femelles , je passais au Kino, où je découvrais avec amusement le pâtre maigrichon aperçu à la douche en train de faire tirer sur le spaghetti. Enfin un joli spectacle à mater. Comme d’habitude je m’approchais et m’avachis de telle sorte à observer au plus près la bouche de la jeune fille gober les couilles du mec, lui tirailler le vermicelle tel un élastique et détailler la croupe de la jeune putain tendue vers moi. J’étais à 2 mètres, ce qui amusa beaucoup le jeune pâtre à la recherche de l’épaisseur, la longueur étant irréprochable! Je fus rassuré de sentir mon excitation croître à la vue de ce spectacle des plus rafraîchissant, après l’étude décevante du cheptel étudié au bar. Cela ne faisait que faire augmenter la nécessité absolue de dénicher la perle rare ! La jeune pute enfile avec dextérité une capote sur la queue du maigrichon arrivée à son gonflement maximum (une sort de concombre très fin) et enfourche le gars . Leurs organes sont justes en face de moi ! délicate attention, ils les ont retournés vers moi pour que je ne perde pas une miette de la pénétration . J’aime voir la longueur enfiler la vulve de la petite en imaginant le gland percuter la fin de du vagin . J’aime entendre leur discussion à voix basse , les grognements du gars , les commentaires à la con de la petite putain qui ne pense qu’à exciter le jeune pâtre pour le faire venir au plus vite , pour passer à autre chose , à un autre client en l’occurrence - Et il vint, enfin j’imagine ! Discrètement! Honteusement sans doute. Accouplement sans grand intérêt.

    Ah mes amis , je me permets ce jugement, car si vous aviez vu ce que j’avais vu ici même , dans ce même Kino il y’a 10 ans ? 12 ans ? Remontez le fil de ces posts et vous retrouverez mon récit de ces assauts magnifiques qui sont restés dans ma mémoire et qui me valent, par nostalgie, de m’avoir poussé à traîner mes couilles ici ce soir : par exemple , et il y en a d’autres, ces deux couples magnifiques , pourtant si différents , baisant à un mètre l’un de l’autre au fond du Kino , unis dans leur plaisir, sous le regard de dizaines d’observateurs ! Spectacle spontané, du vrai sexe, de la vrai débauche : un GI’s black a la bite épaisse (elle !) enfilant de profil en levrette une sculpturale blonde allemande type Birgit Nielsen, appuyée sur le mur du Kino , tandis qu’ à un mètre d’eux , un vieux Bismarck cacochyme debout les mains dans le dos se faisait sucer par une jeune putain à la limite de l’âge légal , une maigrichonne à la poitrine énorme siliconée. Quel souvenir que la vision du vieux porc qui aurait pu être son grand père giclant sur petite gueule une rafale de liquide blanchâtre, sous les applaudissement de la gente consciente de ce moment d’exception ! Quel souvenir que la vision des énormes melons de la Nielsen se balançant au rythme des coup de rein du GI’s la levrettant, pendant que la pute, indifférente, dans sa routine, plaisantait avec nous les observateurs, tout en se faisant mettre ! Et oui ces moments sublimes sont gravés dans ma mémoire et ils y resteront à tout jamais et ce n’est pas ce soir que je revivrai une telle chose!

    Quittant le kino , je l’aperçu ! Enfin un canon !

    Une splendeur bronzée, de type méditerranéen, brune de teint et de cheveux, dotée de deux énormes melons siliconés aux larges aréoles, des jambes à n’en plus finir, un beau regard de salope de bordel. La bouche bien refaite , pas une bouche de poisson, non une jolie bouche de pute, élégante , racée.Ce fut le choc ! Je l’observais mais ne fis rien pour m’approcher. J’apprécie ce jeu d’approche, cette chasse, la demoiselle sûre de sa beauté et de son effet sur nous autres pauvres cons de service, qui croit qu’elle va me dominer alors qu’au bout d’un moment me voyant l’observer durement elle sent que je ne ferai pas le premier pas ! La putain m’excitait à crever , il fallait que je te la mette ! Mais il fallait qu’elle le veuille aussi ! J’aime que la putain par dépit de ne pas être abordée immédiatement le désire elle aussi ! Le spectacle au Kino ayant réveillé la bête , après mûre réflexion , et craignant l’éjaculation précoce dans le cas où j’enfilerai cette splendide femelle dans les minutes à venir , je décidais de la choisir pour un deuxième assaut ! Vous verrez plus tard que cette stratégie, pourtant intelligente et justifiée, failli tourner à la déroute ! Mais chaque chose en son temps .

    Il me fallait donc me trouver dans un premier temps une putain «vide-couille » qui me servirait à préparer l’assaut d’après avec la splendeur.

    Je déambulais donc à nouveau , tout en profitant pour passer près de la splendeur ( je profitais pour découvrir son cul à réveiller Jean-Paul II dans sa dernière demeure!), et accroître son énervement à ne pas être abordée. Dans un angle mort comme Jean-Paul II, j’aperçu une jolie silhouette bronzée avachie sur le coin d’un divan en skaï, roumaine à ne pas en douter, discrète , différente cependant des autre petites putes qui se croient arrivées (certes il en fallu du chemin pour arriver de Bucarest , de Brasov ou de Costanza!) car désirées par les mecs du bordel ! Certaines auraient besoin d’une bonne explication: certes on les désire pour les enfiler mais pas pour se réveiller chaque jour à leur côtés ou pour la qualité de leur conversation! Donc certaines pourraient faire part de discernement, et comprendre qui elles sont ! Toutes ne font pas comme la splendeur qui m’attend. La petite roumaine , Pénélope de son nom , faux air de Claudia Cardinale jeune (en pleine lumière on voit bien qu’elle a quelques heures de vol et sans doute plus de 10.000 baises au compteur) , avachie dans l’angle de son divan, se révèlera la hauteur de ma première intuition: rien d’exceptionnel mais une très bonne pro. On part au Kino , et après quelques minutes délicieuses à m’être fait lécher les couilles et nettoyer la tige, on décida naturellement de passer en 69. Ô combien j’attendais ce moment de baiser en public , voir le regard envieux des mecs qui n’osent pas trop , voir les regards complices dans notre plaisir ? Comme à mon habitude , je calcule un angle qui me permette entre deux coup de langue - on dit de moi qu’à défaut d’avoir l’énorme bite dont nous rêvons tous , j’ai la langue la plus rapide de l’ouest ! Et à Berlin cela signifie quelque chose- d’observer les conséquences de notre spectacle, voir affluer les voyeurs … et les voyous ! La Pénélope est délicate , La Pénélope sait alterner entre les couilles et la bite , La Pénélope sait bien jouer avec le gland. De mon côté , je vérifiais que ma technique de léchage de con est restée à son niveau légendaire, ce qui est tout de même rassurant avant de passer aux choses sérieuses à savoir la conquête de la forteresse qui m’attend au bar. D’ailleurs après quelques minutes à déguster l’huître de mademoiselle Pénélope de Costanza, et de mon côté à la limite de lui gicler dans la gueule, je sentis le suc chaud se rependre sur mes dents révélateur du plaisir de la petite femelle, qui d’ailleurs n’avait pas manqué - c’est un fait délicat à mentionner - de le manifester par quelques gloussements bienvenus. Quel bonheur d’avoir eu pendant de longues minutes le privilège d’avoir soixanteneuvé la petite roumaine en public . Comme prévu lors de notre négociation d’approche , nous partîmes sous les regards envieux et frustrés vers une des chambres situées dans la partie extérieure près de la piscine , chambres, selon les dires de Pénélope plus propres et plus propices aux jeux de l’amour et du hasard ! Rien de particulier mais de bonne facture : re-69 - la belle me suppliant de ne pas la refaire jouir pour pouvoir retravailler ce soir-là et faire son chiffre - un beau missionnaire le long du miroir , une profonde position du « papillon » qui ne déplu pas à mon noeud , puis levrette finale en beuglant comme à mon habitude comme un porc au moment du largage ! Je regrettais de ne pas l’avoir mise en public et de ne pas avoir fait entendre ma voix dans ces circonstances. C’est ainsi ! !Après le paiement de la prestation et le passage à la nécessaire douche des parties, je repartais en salle.

    La splendeur avait disparu. La panique me prit. Car une telle chose étant unique un quelconque connard friqué l’aura booké pour quelques heures transformant ainsi mon Austerlitz en Waterloo! Pour me calmer , j’étais de toute façon dans ma période réfractaire , souhaitant laisser ma prostate refaire du liquide séminal, je passais au buffet m’enfiler quelque merde, puis repassait en salle. J’observais une jolie gazelle longiligne blonde au cul à faire rougir de rage Cerise de Groupama dont le derrière reste une référence en la matière: cul parfait , raie des fesses interminable, à mourir de délice. Je me disais que si la splendeur ne revenait pas je ne pourrais pas quitter ces lieux sans avoir mis ce petit cul par défaut! La putain avait par ailleurs de merveilleux petits seins pointus provocants. Je voulais évidemment avant tout la splendeur bronzée aux melons énormes, mais je disais que mettre la jolie blondasse en public au kino n’était pas qu’une simple compensation mais bien un objectif qui , au fur et à mesure de mon étude de la belle asperge , en soit prenait de plus en plus de sens ! J’avais observé le va et vient des putes partant fières de leur conquêtes et revenants satisfaites de leur quelques euros facilement pompé (au sens propre(?)du terme !) , aucune ne me faisait l’effet de la pétasse siliconée et de la blondasse au cul stratosphérique ! Je la mettais donc en numéro deux de ma wish-list.

    Les heures passaient la splendeur était quelques part dans le Fkk en train de se faire mettre. Pour passer le temps je refilais vers le kino où je surprenais un jeune berbère entrain de missionner de dos , les couilles molles noircies vers le public, une putasse blonde sans intérêt. Fidèle à mon habitude, je me retrouvais par quelques subterfuge, au plus près de l’action. Très beau spectacle que cette pénétration régulière, ce martèlement incessant de ces couilles amollies sur la moule de Madame, ses jambes délicatement posées sur les épaules de Monsieur. Madame n’avait pas vu le Kino se remplir , et lors de leur changement naturel de position gloussa d’un plaisir selon moi non-feint de se voir donnée ainsi en spectacle. Nous observâmes donc tous religieusement l’Afrique levretter l’Europe de profil. Le visage de la putain était à un mètre de moi désormais . Je lui demandait bien fort pour être entendu de tous « Is he good ? » La pute ricana sincèrement et répondit non moins sincèrement « oh yes « et se mit à gémir de plus fort. C’est vrai qu’elle avait vraiment l’air d’aimer ce moment et la bite du maghrébin. Après quelques minutes va et vient régulier , le mâle s’effondrait sur son dos , se faisait retirer le plastique et après quelques petites secondes de handjob, nous devinâmes tous que le berbère avait lâché la purée. Le kino se vida. Joli intermède. Il fallait revenir aux choses sérieuses.

    Revenu au bar , je découvrirai avec effroi la belle plante siliconée objet de mes désirs filer sur ses échasses (mon dieu quel cul ! Vous n’avez pas idée !) vers un ailleurs, muni de son petit sac à main de pute (vous savez, leur petit sac dans lequel les petites connes glissent leur matos a baise, leur cigarettes , leur déodorant de secours, et la photo de leur chat) ce qui laissait présager le pire ! La salope repartait en chambre ! Et je l’avais manqué de peu ! La vue du berbère enfilant miss Brandebourg n’avait que décuplé mon besoin de mettre une putasse dans les règles Je m’imaginais déjà mettre la splendeur en public ! Pour sûr cela entrerait au panthéon de mes souvenirs de fkk , aux côtés de la splendeur polonaise enfilée au jacuzzi de l’impérium de Varsovie , de la putain du GT de Vienne enfilée en public sous la tente grande ouverte -comme son anus - près de la piscine sous l’autoroute , de la petite pute prétentieuse punie en public au kino de ce même fkk pour avoir réclamé d’en finir immédiatement après l’avoir léchée pendant une heure et lui avoir procuré un orgasme certain. Au panthéon de mes souvenirs il y en avait bien d’autres il faut le reconnaître !!!

    Les heures passaient, j’hésitais à me rabattre les couilles sur la grande asperge blonde au cul divin (je ne l’ai pas goûté mais je pense que je n’aurais pas été déçu!) qui s’était intelligemment assise à côté de moi ayant remarqué mon intérêt pour la chose située dans son dos ! Mais je tenais le coup ! Je voulais ne pas connaître le remord bien connu de tous de ne pas avoir attendu suffisamment ! Il me fallait mettre la salope siliconée !! Il le fallait !

    Et elle finit pas revenir ! Encore plus splendide, provocante comme jamais, une lionne , une princesse , une reine … la reine du bordel ! Elle fut étonnée de me voir assis sur le fauteuil qui lui tenait de trône, probablement un sacrilège dans ce lieu où les codes sont particuliers. Une serviette posée sur un siège signifiant qu’il est propriété de la petite salope qui est allé bosser en chambre. Et je m’étais assis sciemment sur son siège ! Ayant oublié ses cigarettes sur le bar dans mon dos, la salope fut obligée de me contourner et de se pencher pour attraper son paquet. Vous pouvez imaginer l’effet que me fit la vue à 10 cm de mes yeux, de ses énormes mamelles gonflées à l’hélium penchées en avant. Je crois que le jour de ma mort je m’en souviendrai ! Deux énormes splendeurs que je ne pouvais toucher , soupeser, malaxer! Je ne pu retenir un « Hi beauty ! » La putain se retourne et me jette un regard mi-amusé, mi-satisfait, d’avoir hameçonné le pauvre ère que je suis ! Car les putains de ce niveau ont leur honneur et leur réputation à défendre au sein du troupeau de salope qui peuple leur fkk : elles choisissent par qui elles se vont se faire mettre !! Et elle m’avait choisi je le su après (avoir tiré notre) coup ( au sens propre du terme !). A mon instar, elle voulait que cela soit l’autre à approcher : on aurait pu attendre longtemps et passer au côté du bonheur que nous allions finalement connaître dans les minutes à venir. Mon « Hi beauty » avait lancé la balle dans son camp. Elle me rendit la pareille par un « Hi darling » délicieusement suave . J’étais amoureux fou !

    La première approche faite, il fallait désormais concrétiser :j’optais pour une blitzkrieg ! Après lui avoir fait comprendre que je voulais la mettre et avoir échangé des regards en ce sens auxquels la belle avait répondu favorablement et je dois dire avec un certain charme, je me dirigeai vers elle lui assénant un direct du droit, un « I want you ! » sans fioritures .Hésitation et réponse « ok, what do you want ?» . « I want you immediately ! ». La belle putain rigolait un peu surprise. Je dois dire que, vu l’exceptionnelle beauté de la dame , je m’attendais à un prix exorbitant en échange de l’accès à son con. Il n’en fut rien. « 90 euros for sex + blowjob without condom » . I answered “Ok can we do it in Kino?” … “No Darling I never fuck in Kino”. Et je lui dit “ok let’s go beauty” . J’avais mis 4 heures à l’approcher, la négociation avait été menée en 30 secondes chrono et nous partîmes enlacés sous les regards médusés des connards avachis sur leur divan en skaï.

    Pendant la montée en chambre, tout en détaillant ce corps de liane bronzée que je n’allais pas tarder à enfiler, la belle un peu vexée de s’être faite abordée de la sorte, sans romantisme, sans délicatesse, me dit sèchement s’appeler « Aissa ». Arrivés en chambre la putain me suggéra, tout en étalant les serviettes d’usage sur la couche, un supplément de 50 euros pour pouvoir l’embrasser et je lui répondais brièvement « Ok » , la poussais délicatement contre le mur du bordel et lui roulait une pelle merveilleuse en commençant enfin à pouvoir lui caresser ses mamelles qui m’avaient rendu dingue ! Vous n’imaginez pas la merveille de sensation à malaxer ces deux loches pendant que ma langue fouraillait sa bouche refaite. Je descendais le long de son ventre et sans lui demander son reste, lui lapais la vulve. En relevant mon visage vers elle je voyais ses énormes boules gonflées pendre au-dessus de moi. Combien devaient-elles peser ? J’étais fou d’elles ! Vous imaginez vivre avec de telles merveilles , s’endormir en les caressant, se réveiller à leur côté ? Je l’entraînais vers la couche, la belle croyant qu’on partait baiser . Je la forçais gentiment à se mettre à 4 pattes au bord du lit, le cul vers l’extérieur. Je cambrai bien Aissa en lui caressant son beau dos bronzé - je l’imaginais un instant topless sur la plage affolant les pères de familles masquant leur sexe bandant aux yeux de leur progéniture,leur progéniture ne comprenant pourquoi papa regardais toujours vers la gauche la dame aux énormes seins -pour bien lui dégager son anus et son huître qui bavait de la suce entamée contre le mur . Je m’agenouillais à terre et repris mon « léchage de chienne » par derrière. Je voyais entre ses jambes la belle s’admirer dans le miroir du fond, jambes écartées en train de se faire lécher l’arrière-train par un client, je voyais ses deux merveilles pendouiller dans le vide. Je lui travaillais le millefeuille . Et Miracle des miracles , la belle vint ! Oui ! Je ne l’aurai jamais imaginé ! Avec son air supérieur, la reine du FKK s’était fait avoir! Après quelques minutes de travail du clit à ma façon , technique souvent décrit ici , sur laquelle je ne reviendrai pas, la belle était en train de venir dans ma bouche. Elle refusa de gueuler par fierté mais son ahanement était révélateur, et surtout l’afflux de suc d’amour sur ma langue. Suc que je recueilli religieusement , pour le lui transmettre en l’embrassant, après l’avoir relevée brusquement, pour lui enfiler ma langue dans sa belle bouche de salope. La belle salope qui confessa « My God ! this does not happen to me very often” avec son beau regard profond. Le reste fut des plus classique : long missionnaire en se regardant dans le miroir, cow-girl en malaxant mes deux amis, et levrette finale debout sur le lit face au miroir les yeux dans les yeux ! Je beuglais alors comme un porc en venant dans le plastique : je regrettais un peu de ne pas avoir payé la putain pour lui gicler sur sa belle petite gueule de salope roumaine mais j’avais tout de même tiré le gros lot , dans tous les sens du terme !

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    FKK Artemis : Vos récits de visite

    Copie d'un message de Stano (octobre 2005):

    En me dirigeant vers le kino (c'est bien là que j'ai le plus de chance de rencontrer Tania), je talonne sans le vouloir une blonde dont le petit cul bien ferme se dandine devant mes yeux ... wouaw . Et puis voilà que brusquement elle se retourne. Alors là .... ... incroyable ! Quelle paire de nibards ... Les amis, devant moi, à 1 mètre, et toute nue, s'offre à mes yeux, en 3 D et en live, la plus belle femelle que j'aie jamais vue de toute mon existence. Plus érotique et plus sensuelle que toutes les filles de Playboy et de Penthouse, de ce siècle et du siècle passé, réunies !!!! Pfffffffffffffffffff quel rêve insensé. Une poitrine incroyable, volumineuse, ferme et apparemment naturelle qui surmonte une silhouette fine à souhait, des hanches bien galbées, un petit minou à croquer, des jambes qui, ... qui, .... un visage d'ange, des yeux moqueurs qui me fixent, des lèvres pulpeuses qui sourient en coin .... et savez-vous ce qu'elle me dit ?
    - "Hass du lust in mich" (As-tu envie de moi) ?"
    Là je suis mort, scotché la bouche ouverte ... après quelques secondes elle me demande :
    - Wie heiss du ?
    - Hem, Stano ... und du ?
    - Marina, ich komme auss Rusland, St Petersburg ...

    - Marina, veux tu m'accompagner au kino ...
    - Naturlich ...
    Et là je n'en mène plus large ... en la suivant je pense : "va falloir assurer maintenant" !
    Pour ceux qui ne sont pas familiers des fkk, le kino (ou cinéma porno) est l'endroit idéal pour faire connaissance et entamer les préliminaires. Donc là, sur une couchette, elle me déclare qu'elle sait très bien sucer ... jusqu'au bout ... que je peux éjaculer dans sa bouche si je le désire ... ou baiser dans toutes le positions et me demande ce que je veux faire. Un peu déstabilisé par des mots aussi crus dans la bouche d’une telle déesse, je répond : "un peu de tout ... sauf l'anal".
    Et voilà, c'est parti pour les petits bisous sur tout le corps, les embrassades à pleine bouche et, bien sûr, pendant ce temps j'en profite pour malaxer ses fabuleux lolos ... Damned, c'est vrai, ils sont 100 % naturels, quelle texture !
    Ensuite Marina s'agenouille devant moi et commence à me sucer ... divinement !

    Après quelques minutes de ce régime il est grand temps de rejoindre une chambre et je la suis donc à travers le club … en bandant comme un âne, mais, heureusement, la taille entourée d’une serviette.

    Dans la chambre c’est l’extase … En y repensant, j’ai une envie folle de sauter dans ma bagnole et d’avaler les 350 km qui me séparent de Burgolzhausen …

    Je prend d’abord le temps de l’embrasser, debout, en pétrissant ses fesses adorablement douces et fermes. Elle, les seins collés sur ma poitrine, me donne des petits bisous dans le cou, me lèche le lobe de l’oreille et me caresse les cheveux … La plus belle femme du monde est là, dans mes bras, et se comporte comme si elle était follement amoureuse. Et pourtant, je ne rêve pas.

    Ensuite elle se couche sur le dos, écarte les jambes … et je passe 10 bonnes minutes à lui lécher le minou et titiller le clito en continuant à lui malaxer assidûment la poitrine… Seule petite déception, elle ne se laisse pas doigter …
    Et puis c’est l’enchaînement classique mais toujours aussi divin : fellation nature et superbement bonne (sa langue de velour explorant et s’attardant dans tous les plis et replis autour de mon gland)… 69 de légende … pose du capuchon et première cavalcade en cow-girl, ses seins magnifiques se balançant à portée de mes mains et de ma bouche.

    Chers collègues, avez-vous déjà aussi constaté comme moi que bon nombre de femmes, y compris des professionnelles aguerries, ont des difficultés à bien maîtriser la gymnastique de la cow-girl. Question d’équilibre, je crois et de souplesse du bassin, des hanches et des cuisses.
    Mais Marina, après quelques mouvements lents pour bien huiler la mécanique se met tout à coup à monter et descendre sur moi à une vitesse inouïe ! What a fucking bitch ! Jamais rien vu de pareil ! Cette russe n’est pas seulement hyper belle, mais elle est aussi hyper bonne … Une vraie perle rare, tant il est vrai que ces deux qualités ne sont que très peu souvent réunies dans la même femelle.

    Après quelques secondes je suis déjà au bord de l’explosion … et je l’arrête pour passer à une autre position, ma favorite, la levrette.
    Evidemment, avec une vision paradisiaque sur son cul de rêve, ses reins arqués à l’extrême, son dos caressé par ses cheveux d’ange, et en entendant ses petits soupirs haletants (juste ce qu’il faut, pas trop bruyants), ça n’a pas duré longtemps avant que je ne craque …
    C’est ça le seul problème avec une fille de cet acabit : difficile, vraiment très difficile de faire durer le plaisir … j’serai jamais acteur porno, moi …

    Bien sûr, j’aurais pu demander une extra ball … mais figurez-vous que je n’y ai même pas songé … j’étais sur un nuage, dans un autre monde, je n’arrivais pas à croire ce qui venait de m’arriver … et pourtant, croyez-moi, j’ai déjà pas mal d’heures à mon compteur …
    Nous avons encore parlé pendant quelques minutes en se caressant mutuellement … puis elle se leva … the game is over …
    Je n’ai pas la moindre idée du temps que nous avons passé en chambre, mais, j’en suis certain, ces quelques dizaines de minutes hanteront encore longtemps mon esprit et alimenteront mes fantasmes …

    En résumé :

    Nom : MARINA
    Origine : Russie (St Petersbourg)
    Age : 23 ans
    Cheveux : blonds et longs
    Poitrine : D naturelle
    Taille : +/- 1.65 m
    Silhouette : mince
    Visage : 10/10
    Corps : 10/10
    Fellation : 9,5/10
    Baise : 9,5/10
    Cunni : 10/10
    Enthousiasme : 7/10
    Autres caractéristiques : embrasse du bout des lèvres, ne se laisse pas doigter
    Cote générale : 9,5/10

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