Ah mes amis ! Quelle émotion à revenir en ce lieu «sein» (saint?) après tant d’années .
Quelques mots sur les lieux : ils ont vieilli, la moquette commence à être râpée par les allées et venues des demoiselles sur leurs échasses. Les chambres sentent les nombreuses passes quotidiennes. Le buffet est toujours aussi minable, mais cela fait partie du charme d’un tel lieu, n’est-il pas ? Cela fait partie du sentiment d’abnégation qui nous envahi lorsque nous venons en ces lieux : nous sommes ici pour la femme , que pour elle , pas pour nous-mêmes ! On vient reluquer, enfiler , gicler et on ne passe au buffet que pour récupérer après l’effort.
Après la douche de service, je découvre le cheptel: il est décevant! Je me souviens de splendides oursonnes , de véritables merveilles qui à l’époque m’avaient rendu fou, et m’avoir fait regretté de ne pas être resté plus longtemps sur les lieux , et d’avoir cédé aux illusions de paix que la période réfractaire que tout être masculin connaît après avoir vidé ses couilles, semble vous avoir apporté . La roumaine est sur-représentée et j’écrirais heureusement : car sans elle il ne resterait pas grand choses et d’ailleurs mes deux prises du soir viennent du pays officiel sponsor de nos Fkk et premier fournisseur en putes de bordel ! Je me souviendrai toujours de cette roumaine du GT de Vienne me disant le plus sérieusement du monde et les termes sont exactes « mais chez nous toutes les filles sont des putes ! C’est normal d’être une pute chez nous, la roumaine naît pute!».
Après quelques minutes passées près du bar à étudier les oursonnes, je passais au Kino, où je découvrais avec amusement un ourson aperçu à la douche en train de faire tirer pendule. Enfin un joli spectacle à mater. Comme d’habitude je m’approchais de telle sorte à observer au plus près la bouche de la jeune fille croupe tendue vers moi, tirailler le vermicelle du jeune gars tel un élastique. J’étais à 2 mètres, ce qui amusa beaucoup le jeune pâtre à la recherche de l’épaisseur! Je fus rassuré de sentir mon excitation croître à la vue de ce spectacle des plus rafraîchissant. Cela ne faisait que faire augmenter la nécessité absolue de dénicher la perle rare ! La jeune catin enfile avec dextérité une capote sur la queue du maigrichon arrivée à son gonflement maximum (une sort de concombre très fin) et enfourche le gars . Leurs organes sont justes en face de moi ! délicate attention, ils les ont retournés vers moi. J’aime voir la longueur enfiler la vulve de la petite en imaginant le gland percuter la fin de du vagin . J’aime entendre leur discussion à voix basse , les grognements du gars , les commentaires de la petite putain qui ne pense qu’à exciter le jeune gars pour le faire venir au plus vite , pour passer à autre chose , à un autre client en l’occurrence -Et il vint, enfin j’imagine ! Discrètement, honteusement peut-être.
Remontez le fil de ces posts et vous retrouverez mon récit de ces assauts magnifiques qui sont restés dans ma mémoire: entr’autres, ces deux couples magnifiques , pourtant si différents , baisant à un mètre l’un de l’autre au fond du Kino , unis dans leur plaisir, sous le regard de dizaines d’observateurs ! Spectacle spontané, du vrai sexe, de la vrai débauche : un GI’s black a la bite épaisse (elle !) enfilant de profil en levrette une sculpturale blonde allemande type Birgit Nielsen, appuyée sur le mur du Kino , tandis qu’ à un mètre d’eux , un Bismarck de 80 ans passés debout les mains dans le dos se faisait sucer par une jeune putain à la limite de l’âge légal , une jeune femme très maigre, à la peau d’une blancheur diaphane, à la poitrine énorme siliconée, spectacle décadent et magnifique. Ce que corps si fin et fragile portant ces deux énormes boobies surdimensionnés et affolant restent gravés dans mon cervelet arrière gauche. Quel souvenir que la vision du vieil homme qui aurait pu être son grand père balafrant sa petite gueule d’ange ingénu d’une abondante rafale de liquide blanchâtre, sous les applaudissement de la gente consciente de ce moment d’exception ! Quel souvenir que la vision des énormes melons bronzés de la Nielsen se balançant au rythme des coup de rein du GI’s la levrettant, pendant que la professionnelle, indifférente, dans sa routine, plaisantait avec nous les observateurs, tout en se faisant mettre !
Quittant le kino , je l’aperçu ! Une sculpture, bronzée, de type méditerranéen, roumaine sans aucune doute, brune de teint et de cheveux, dotée de deux énormes pastèques siliconées aux larges aréoles, des jambes à n’en plus finir, un beau regard de salope de bordel. La bouche bien refaite , élégante, racée. Ce fut le choc ! Je l’observais mais ne fis rien pour m’approcher. J’apprécie ce jeu d’approche, cette chasse, la demoiselle sûre de sa beauté et de son effet sur nous autres pauvres mecs venus baver devant tant de beautés réunies , qui croit qu’elle va me dominer alors qu’au bout d’un moment me voyant l’observer durement elle sent que je ne ferai pas le premier pas ! La roumaine m’excitait à crever , il fallait que je te la mette ! Mais il fallait qu’elle le veuille aussi ! Le spectacle au Kino ayant réveillé la bête , après mûre réflexion , et craignant l’éjaculation précoce dans le cas où j’enfilerai cette splendide femelle dans les minutes à venir , je décidais de la choisir pour un deuxième assaut ! Vous verrez plus tard que cette stratégie, pourtant intelligente et justifiée, failli tourner à la déroute.
Il me fallait donc me trouver dans un premier temps une une oursonne qui me servirait à préparer l’assaut d’après avec la splendeur.
Je déambulais donc à nouveau , tout en profitant pour passer près de la splendeur ( je profitais pour découvrir son cul à réveiller Jean-Paul II dans sa dernière demeure !). Dans un angle mort comme Jean-Paul II, j’aperçu une jolie silhouette bronzée avachie sur le coin d’un divan, une roumaine une de plus, discrète , différente cependant des autres filles qui se croient arrivées. Pénélope de son nom , faux air de Claudia Cardinale jeune (en pleine lumière on voit bien qu’elle a quelques heures de vol et sans doute plus de 10.000 baises au compteur) , avachie dans l’angle de son divan, se révèlera la hauteur de ma première intuition: rien d’exceptionnel mais une très bonne pro. On part au Kino , et après quelques minutes délicieuses à m’être fait lécher les couilles et nettoyer la tige, on décida naturellement de passer en 69. Ô combien j’attendais ce moment de baiser en public , voir le regard envieux des mecs qui n’osent pas trop , voir les regards complices dans notre plaisir ? Comme à mon habitude , je calcule un angle qui me permette entre deux coup de langue - on dit de moi qu’à défaut d’avoir l’énorme bite dont nous rêvons tous , j’ai la langue la plus rapide de l’ouest ! Et à Berlin cela signifie quelque chose- d’observer les conséquences de notre spectacle, voir affluer les voyeurs! La Pénélope est délicate , La Pénélope sait alterner entre les couilles et la bite , La Pénélope sait bien jouer avec le gland. De mon côté , je vérifiais que ma technique de léchage de con est restée à son niveau légendaire, ce qui est tout de même rassurant avant de passer aux choses sérieuses à savoir la conquête de la forteresse qui m’attend au bar. D’ailleurs après quelques minutes à déguster l’huître de mademoiselle Pénélope de Costanza, et de mon côté à la limite de lui gicler dans la gueule, je sentis le suc chaud se rependre sur mes dents révélateur du plaisir de la petite femelle, qui d’ailleurs n’avait pas manqué - c’est un fait délicat à mentionner - de le manifester par quelques gloussements bienvenus. Quel bonheur d’avoir eu pendant de longues minutes le privilège d’avoir soixanteneuvé la petite roumaine en public . Comme prévu lors de notre négociation d’approche , nous partîmes sous les regards envieux et frustrés vers une des chambres situées dans la partie extérieure près de la piscine , chambres, selon les dires de Pénélope plus propres et plus propices aux jeux de l’amour et du hasard ! Rien de particulier mais de bonne facture : re-69 - la belle me suppliant de ne pas la refaire jouir pour pouvoir retravailler ce soir-là et faire son chiffre - un beau missionnaire le long du miroir , une profonde position du « papillon » qui ne déplu pas à mon noeud, puis levrette finale en beuglant comme à mon habitude comme un porc au moment du largage ! Je regrettais de ne pas l’avoir mise en public et de ne pas avoir fait entendre ma voix dans ces circonstances. C’est ainsi ! !Après le paiement de la prestation et le passage à la nécessaire douche des parties, je repartais en salle.
La sculpture avait disparu. La panique me prit. J’observais alors une jolie gazelle longiligne blonde décolorée au cul à faire rougir de rage Cerise de Groupama dont le derrière reste une référence en la matière: cul parfait, raie des fesses interminable, à mourir de délice. Je me disais que si la splendeur ne revenait pas je ne pourrais pas quitter ces lieux sans avoir mis ce petit cul par défaut! La putain avait par ailleurs de merveilleux petits seins pointus provocants. Je voulais évidemment avant tout la splendeur bronzée aux melons énormes, mais je disais que mettre la petite jolie blonde décolorée en public au kino n’était pas qu’une simple compensation mais bien un objectif qui , au fur et à mesure de mon étude de la belle asperge , en soit prenait de plus en plus de sens ! Je la mettais donc en numéro deux de ma wish-list.
Les heures passaient la splendeur était quelques part dans le Fkk en train de se faire mettre. Pour passer le temps je refilais vers le kino où je surprenais un jeune homme entrain de missionner de dos , les couilles molles vers le public, une petite poulette blonde. Fidèle à mon habitude, je me retrouvais par quelques subterfuge, au plus près de l’action. Très beau spectacle que cette pénétration régulière, ce martèlement incessant de ces couilles amollies sur la moule de Madame, ses jambes délicatement posées sur les épaules de Monsieur. Madame n’avait pas vu le Kino se remplir , et lors de leur changement naturel de position gloussa d’un plaisir selon moi non-feint de se voir donnée ainsi en spectacle. Le visage de la putain était à un mètre de moi désormais . Je lui demandait bien fort pour être entendu de tous « Is he good ? » La poulette ricana sincèrement et répondit non moins sincèrement « oh yes « et se mit à gémir de plus fort.. Après quelques minutes va et vient régulier , le mâle s’effondrait sur son dos , se faisait retirer le plastique et après quelques petites secondes de handjob, nous devinâmes tous que le berbère avait lâché la purée. Le kino se vida. Joli intermède. Il fallait revenir aux choses sérieuses.
Revenu au bar , je découvrirai avec effroi la belle plante siliconée objet de mes désirs filer sur ses échasses (mon dieu quel cul ! Vous n’avez pas idée !) vers un ailleurs, muni de son petit sac à main de pute.
Les heures passaient, j’hésitais à me rabattre les couilles sur la grande asperge blonde au cul divin (je ne l’ai pas goûté mais je pense que je n’aurais pas été déçu!) qui s’était intelligemment assise à côté de moi ayant remarqué mon intérêt pour la chose située dans son dos !
Encore plus splendide, provocante comme jamais, une lionne , une princesse , une reine … la reine du bordel revint ! Elle fut étonnée de me voir assis sur le fauteuil qui lui tenait de trône, probablement un sacrilège dans ce lieu où les codes sont particuliers. Ayant oublié ses cigarettes sur le bar dans mon dos, la belle courtisane fut obligée de me contourner et de se pencher pour attraper son paquet. Vous pouvez imaginer l’effet que me fit la vue à 10 cm de mes yeux, de ses énormes mamelles gonflées à l’hélium penchées en avant. Je crois que le jour de ma mort je m’en souviendrai ! Deux énormes splendeurs que je ne pouvais toucher , soupeser, malaxer! Je ne pu retenir un « Hi beauty ! » La belle se retourne et me jette un regard mi-amusé, mi-satisfait, d’avoir hameçonné le pauvre ère que je suis ! Car les putains de ce niveau ont leur honneur et leur réputation à défendre au sein du troupeau de prostituées qui peuple leur fkk : elles choisissent par qui elles se vont se faire mettre !! Et elle m’avait choisi je le su après (avoir tiré notre) coup ( au sens propre du terme !). A mon instar, elle voulait que cela soit l’autre à approcher : on aurait pu attendre longtemps et passer au côté du bonheur que nous allions finalement connaître dans les minutes à venir. Mon « Hi beauty » avait lancé la balle dans son camp. Elle me rendit la pareille par un « Hi darling » délicieusement suave . J’étais amoureux fou !
La première approche faite, j’optais pour une blitzkrieg ! Après lui avoir fait comprendre que je voulais la mettre et avoir échangé des regards en ce sens auxquels la belle avait répondu favorablement et je dois dire avec un certain charme, je me dirigeai vers elle lui assénant un direct du droit, un « I want you ! » sans fioritures. Et de réponse « ok, what do you want ?» . « I want you immediately ! ». La belle putain rigolait un peu surprise. Je dois dire que, vu l’exceptionnelle beauté de la dame , je m’attendais à un prix exorbitant en échange de l’accès à son joli con. Il n’en fut rien. « 90 euros for sex » . I answered “Ok can we do it in Kino?” … “No Darling I never fuck in Kino”. Et je lui dit “ok let’s go beauty” . J’avais mis 4 heures à l’approcher, la négociation avait été menée en 30 secondes chrono et nous partîmes enlacés vers les chambres à défaut du Kino,sous les regards médusés des « glandeurs » (homme qui glande) avachis sur leur divan en skaï dont j’avais fait partie.
Pendant la montée en chambre, tout en détaillant ce corps de liane bronzée que je n’allais pas tarder à glander, la belle un peu vexée de s’être faite abordée de la sorte, sans romantisme, sans délicatesse, me dit sèchement s’appeler « Aissa ». Arrivés en chambre la belle courtisane me suggéra, tout en étalant les serviettes d’usage sur la couche, un supplément de 50 euros pour pouvoir l’embrasser et je lui répondais brièvement « Ok » , la poussais délicatement contre le mur du bordel et lui roulait une pelle merveilleuse en commençant enfin à pouvoir lui caresser ses mamelles qui m’avaient rendu dingue ! Vous n’imaginez pas la merveille de sensation à malaxer ces deux loches pendant que ma langue fouraillait sa bouche refaite. Je descendais le long de son ventre et sans lui demander son reste, lui lapais la vulve. En relevant mon visage vers elle je voyais ses énormes boules gonflées pendre au-dessus de moi. Je l’entraînais vers la couche, la belle croyant qu’on partait baiser . Je la forçais gentiment à se mettre à 4 pattes au bord du lit, le cul vers l’extérieur. Je cambrai bien Aissa en lui caressant son beau dos bronzé - je l’imaginais un instant topless sur la plage affolant les pères de familles masquant leur sexe bandant aux yeux de leur progéniture, leur progéniture ne comprenant pourquoi papa regardais toujours vers la gauche la dame aux énormes seins -pour bien lui dégager son anus et son huître qui bavait de la suce entamée contre le mur . Je m’agenouillais à terre et repris mon « léchage de chienne » par derrière. Je voyais entre ses jambes la belle s’admirer dans le miroir du fond, jambes écartées en train de se faire lécher l’arrière-train par un client, je voyais ses deux merveilles pendouiller dans le vide. Je lui travaillais le millefeuille . Et Miracle des miracles , la belle vint ! Oui ! Je ne l’aurai jamais imaginé ! Avec son air supérieur, la reine du FKK s’était fait avoir! Après quelques minutes de travail du clit à ma façon , technique souvent décrit ici , sur laquelle je ne reviendrai pas, la belle était en train de venir dans ma bouche. Elle refusa de gueuler par fierté mais son ahanement était révélateur, et surtout l’afflux de suc d’amour sur ma langue. Suc que je recueilli religieusement , pour le lui transmettre en l’embrassant, après l’avoir relevée brusquement, pour lui enfiler ma langue dans sa belle bouche de catin. La belle catin qui confessa « My God ! this does not happen to me very often” avec son beau regard profond. Le reste fut des plus classique : long missionnaire en se regardant dans le miroir, cow-girl en malaxant mes deux amis, et levrette finale debout sur le lit face au miroir les yeux dans les yeux ! J’aimais observer mes coups de reins assenés avec l’entêtement de la brute. Je beuglais alors comme un porc en venant dans le plastique : je regrettais un peu de ne pas avoir payé Aissa pour pouvoir lui gicler sur ses beaux yeux mais j’avais tout de même tiré le gros lot, dans tous les sens du terme !
Merci A toutes ! Vous êtes sublimes....