Un jeudi soir de janvier, vers 23h, alors qu'il gelait et que les trottoirs étaient très glissants car dotés d'une belle couche de verglas, j'ai arpenté la célèbre rue Oranienburgerstrasse en quête d'une gagneuse, d'une tapineuse, d'une gourgandine .
La rue, pourtant dotée de nombreux bars, était très calme. En face du numéro 42, se trouvait une blonde relativement mignonne, assez classe et bien habillée, plutôt mince a priori et toisant les 1m68. Âgée d'environ 25 ans. Elle est allemande et parle bien anglais. Elle sera assez surprise quand je lui demanderai son poids (54 kg). La belle n'a peut-être pas l'habitude de rencontrer des gentlemen . Eh oui, difficile de se faire un avis sur la plastique de Madame avec tous ces froufrous quand il fait -3degC à l'abri du vent.
Ses tarifs ? 80 euros pour un massage avec finition manuelle. Durée: je ne me souviens plus exactement, 30 min, 45 min ou 1h. Elle précisait que le sexe était possible seulement s'il y avait une affinité, une alchimie entre nous. Au moins, pas de mauvaise surprise, elle prévient à l'avance. Prix de l'hôtel inclus.
J'ai décliné son offre car de toute façon, elle ne correspondait pas à mes goûts. Et je n'ai aperçu aucune autre belle-de-nuit dans la rue.
En tout cas, il n'y avait pas beaucoup de clients ce soir-là. Quand je suis sorti du pub "Denkmal" situé à côté une demie-heure plus tard, elle était toujours là. J'imagine que durant les soirs d'été, en fin de semaine, il y a peut-être plus de gagneuses arpentant les trottoirs de la Oranienburgerstrasse .