J'y suis retourné il y a peu, bien mauvaise pioche. Marie m'accueille en peignoir et tongues, pas maquillée, les cheveux pas faits Beaucoup moins accueillante que la fois précédente ... Elle ne semble pas me reconnaître, soit. On bavarde un peu, elle me raconte ses péripéties récentes en transport en commun On règle les formalités, je me déssappe et Marie tombe son peignoir . Quelques bisous ... Elle me nettoye la queue à la lingette et commence à me la sucer, tandis que je pelote ses grosses loches Nous poursuivons à l'horizontale. Marie me pompe le dard et je la doigte allègrement. Jusque là, tudo bem. Marie s'empare d'une capote dans le tiroir de la table de nuit. Elle s'escrime à ouvrir l'emballage, d'abord avec ses doigts, puis avec ses dents, en vain. Tandis qu'elle peste sur l'emballage, elle m'explique qu'elle se fournit chez un magasin bien connu pour ses pubs à la radio (K....). Je lui propose d'intervenir, ce qu'elle finit par accepter, mais l'emballage bien esquinté me résiste aussi ... Un vrai cinéma ... Eureka, mais elle doit me repomper la queue pour la remettre en état, ce qui n'a pas l'air de lui plaire. Enfin, mon sexe turgescent est encapuchonné, et je prends Marie en missionnaire, les cannes sur les épaules. Devant son peu d'enthousiasme, je la prends en levrette accroupie, tout en soutenant ses grosses loches. On n'entend que le claquement de mes couilles sur ses fesses et le couinement de la literie. J'accélère ma cadence, elle gémit ... J'atteins le point de non retour et j'envoie la purée. Nettoyage à la lingette et je prends congé. Adeu