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Discussion : Paradise Saarbrücken : les récits de vos visites

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    août 2019
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    Par défaut Trop romantique pour ce monde...

    Samedi 15 juin. Visite n°5 au Paradise

    C'est sur un coup de tête que j'ai décidé de me rendre à Sarrebruck ; l'envie de sortir d'un quotidien morne, l'envie de bousculer certaines habitudes et de renouer avec d'autres. Ainsi, je suis arrivé au "Paradise" sur les coups de quinze heures trente. À l'extérieur, un peu de vent et - déjà - une odeur enivrante de violette, de sauge, de vanille ; le parfum du bonheur.

    Après m'être acquitté de quelques formalités auprès de la réception, je dépose mes affaires et file dans les allées sombres, légèrement tamisées du club. Le buffet extérieur étant fermé, je décide de faire un tour au restaurant à l'intérieur duquel je retrouve Sarita. Après deux-trois sourires échangés, je m'assieds - de manière à me retrouver en face du bar - et déguste mes pâtes en regardant des filles tentant, plus ou moins vainement, d'initier un premier contact avec des "oursons". Je sympathise avec un francilien et échangeons quelques amabilités autour d'un plat de frites que ma ramené la "cheffe" du jour.

    Soucieux de ne pas perdre certaines habitudes, je décide de me perdre à l'extérieur avant d'enchaîner sur un sauna. À l'intérieur, assis sur un banc en bois sur lequel j'ai posé ma serviette, je ne vois rien. Ou si peu. Les aiguilles tournent, et c'est à ce moment-là que je décide de me servir un verre au bar. Sarita, assise sur un canapé, semble m'attendre. Son sourire et son charme me rendent dingue et me pousse à m'asseoir auprès d'elle. Nous discutons longuement avant de partir en chambre pour une session d'une heure durant laquelle la tendresse de ses bisous n'auront d'égal que la tendresse de mes doigts se perdant sur son ventre, son dos, ses fesses. Avec elle, j'ai le doux sentiment d'être quelqu'un. De cette façon, je prends un plaisir inconsidéré à la regarder dans les yeux et à la pénétrer, tantôt avec vigueur, tantôt avec plus de fougue avant de rendre les armes - un peu contre moi - au bout d'une dizaine de minutes d'un combat intense ; intense, mais si agréable. Nous continuons à échanger quelques amabilités avant de nous séparer et de nous promettre de nous revoir un peu plus tard.

    Je reprends des forces tantôt au restaurant, tantôt au bar avant de sympathiser avec un sexagénaire de région parisienne qui fera office de "bodyguard" entre les filles venant vers moi et la poursuite de nos très beaux échanges sur la vie, le rapport au travail et le football. Je repars avec Sarita pour une session d'une heure qui, a peu de choses près, sera du même acabit que la première.

    Il se fait tard et décide de raccompagner ma connaissance du soir (mon "bodyguard") à son hôtel, avant de refaire le trajet vers mon Alsace natale. Je rentre à environ 2h du matin en constatant, plus ou moins penaud, que je suis trop romantique pour ce monde et qu'il me faudra contrecarrer ça lors de mes prochaines expéditions en Sarre.

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    Paradise Saarbrücken : les récits de vos visites

    Vendredi 4 juillet 2014 – 14h30.

    J'arrive en même temps que mon ami Romeo, et nous sommes confrontés à un problème de parking. En effet le parking est tout petit et il y a beaucoup de place perdue. Le grand boss Jürgen Rudloff est là. C'est un type très sympa. Il nous conseille de nous garer dans la rue, ce que nous faisons sans peine.
    Accueil très agréable, on nous explique tout, on nous fait la visite. C'est parfait.
    Nous retrouvons Jolipenix. C'est lui qui donnera tous les détails matériels (il en a un paquet).

    Au bar, une bonne surprise : Helen (H. pour les intimes) est devenue thekefrau. Je suis sous le charme, comme toujours.

    A peine le temps d'échanger un peu avec mes compagnons, et mon attention est captée par deux filles exceptionnelles, parmi les meilleures de ma longue carrière : Timéa et Gwendoline.
    Je vais m'installer avec elles. Quel bonheur de les retrouver.

    Je pars en chambre avec Timéa pour une heure bien remplie. Comme dans le bon vieux temps, c'est la perfection, le sexe exactement comme j'aime.

    Retour chez mes copains, tous deux satisfaits de leurs rencontres. Romeo me montre la fille avec qui il a été : une russe blonde, qu'est-ce qu'elle est belle, Séléna, je crois.

    Nous passons du temps dans le jardin. Ce n'est pas le point fort du Paradise, mais c'est tout de même bien agréable.

    Il y a une quarantaine de filles, d'un niveau de beauté assez élevé. Toutes les filles du 214 sont là, à l'exception de Marie. Je salue Sandra, la hongroise (message subliminal à Emerald57). Je reconnais aussi quelques filles du Prestige : Sandra, Rebecca, Paula, Fernanda … Il y a aussi Andréa, la thekefrau du Prestige, habillée en thekefrau, ne rêvez pas. Le ratio filles/ours est de 4/1.

    J'ai bien récupéré, c'est donc vers Gwendoline que je me tourne. Elle aussi, j'ai un immense plaisir de la retrouver. Encore une heure de sexe parfait.
    Et c'est l'heure du match, que je regarde avec Gwen, Romeo et Jolipenix. L'ambiance est bon enfant avec les allemands et les filles à poil. Mais, ce que je retiens, c'est ce magnifique écran de télé, hyper grand, et d'une qualité parfaite.

    Le match fini, nous allons nous restaurer. Là aussi, rien à redire, c'est bon et varié.

    Le nombre de filles est maintenant de cinquante environ, et le ratio filles/ours n'a pas varié, 4/1.

    C'est l'heure du départ. Au final, une très belle journée, dans un très bel endroit. Je sens que je vais revenir bientôt, hyper motivé que je suis depuis que j'ai appris que Carmen (la Carmen du 214) est là aussi.

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