Suite du post précédent :
Ah, mes amis, depuis quelques jours, depuis cette dernière visite à l’Artemis je ne cesse de repenser au coït avec la sublime Aissa et ne cesse de vivre dans le regret de ne pas avoir su être plus concis sur mes expériences vécues ce soir-là dans l’antre berlinois de la baise , expériences qui étaient certes nécessaires à la bonne tenue de ce fil mais finalement négligeables – je m’en rend compte maintenant- au regard de l’importance que revêt la nécessité de décrire un peu mieux ce moment d’exception vécue à la belle courtisane. Certes il était important de décrire la baise en public au Kino avec la belle Pénélope, certes il était important de décrire mon approche de l’Aissa ! Mais le plus important est je crois de vous décrire en quoi ce moment fut exceptionnel , afin que vous sachiez la débusquer en temps voulu, la chasser , la conquérir et enfin la mettre à votre tour .
Je ne recommettrai pas l’erreur de trop développer sur certains moments avec la jolie putain au risque de me faire rappeler par notre Modo adoré la nécessité de concision requise par les règles de ce noble forum . Je me contenterai de vous faire part de deux moments , d’une élégante bestialité, l’approche et la conclusion ayant été décrits dans mon post précédent.
Tout d’abord ce 69 exceptionnel le long du miroir qui failli lui-même éclater d’excitation ! Le miroir lui aussi se souviendra de 69 incroyable, interminable, à la fois doux et animal. J’ai devant les yeux , un voile , le voile du souvenir , de la nostalgie de ce moment incroyable , où la vulve de la belle était à portée de langue , son beau trou du cul bien serré malgré les innombrables pénétrations anales subies au cours de ses années de bordel, dans le but d’assouvir les joies de son compte en banque mais sans doute aussi , vu l’animalité de cette catin , dans le but d’assouvir aussi ses besoins sexuels , ses besoins de domination car n’oublions pas que la femme sodomisée et une femme dominante . J’ai ce voile nostalgique du souvenir de cette tulipe parfaite ouverte devant moi, au pourtour plus brun que la corolle elle-même. Ma langue a encore la sensation à ce jour de son clitoris enfermé dans son capuchon, se décalottant lentement et gonflant lentement mais sûrement sous les mouvements de rotation de la pointe de celle-ci . Je sens encore la première sensation au goûter de la belle huitre à ma disposition . Une des meilleurs huitres jamais dégustées. Je sens encore ma langue, fouillant cette belle huitre baveuse à l’envie se perdre dans l’interstice existant entre sa perle bien dure et sa capuche de protection naturelle . Je cherchais à la fouiller toujours plus. J’entends encore les gémissement de la roumaine, étonné que son client ait la patience, voire l’obsession de vouloir faire gonfler à en crever ce clitoris pourtant sollicité chaque jours par de nombreux punters et sans doute, le pauvre, un peu blasé par ces sollicitations ennuyeuses et incessantes . Car un clitoris est comme une belle putain racée de bordel : il doit avoir son repos . J’entends encore avec émotion , les ahanements de la sublime garce occupée à me travailler la tige de sa bouche refaite, essayant de son concentrer sur son boulot mais déconcentrée par son propre plaisir montant inexorablement . Je sens encore la peau de son sublime cul bronzé frissonner de plaisir à chaque fois que ma langue insatiable venait à modifier son parcours dans les méandres chauds et humides du millefeuille roumain, surprenant à chaque fois la belle catin. Je revois encore ce spectacle incroyable de nos deux corps enchevêtrés par le désir commun de nous donner du plaisir mutuellement , le spectacle de ces deux énormes boobies gonflés de désir et de passion que je malaxait en alternance avec mes caresses sur ses belles fesses. Mes mains , ma langue , mes yeux ne savaient où donner de la tête. Nous étions en pleine communion . Le rapport commercial pour quelques minutes était oublié, seul notre plaisir nous guidait dans une symbiose que je ne connus personnellement que rarement dans un lieu où l’horloge pointeuse devient hélas le métronome qui rythme les passes en chambre, car oui, au Kino, les petites prostituées sont généralement plus attentives à bien se donner en spectacles et à parfaire leur réputation et n’hésite pas à gratifier le client de quelques minutes de baise en plus . Comme expliqué et relaté dans mon post précédent après l’expulsion de sa cyprine dans ma bouche, qui attendait anxieusement de recueillir et d’enfin goûter la substance que tout homme normal considère comme un liquide divin, je le relevais la belle garce , et celle-ci après un échange de baiser qui tenait plus du roulage de pelle que du baiser Hollywoodien (tout en lui malaxant ses énormes morceaux de silicone pendouillant pour attirer mes mains qui ne demandaient que ça) , me confia « My God ! This did not happen to me very often » ! C’était le paradis …notre paradis ! Nous étions unis par les liens du plaisir sexuel.
Le deuxième moment incroyable que le voile de la mémoire évoqué plus haut me rappelle obsessionnellement depuis cette chambre avec Aissa , fut cette position du crabe devant ce même miroir . La belle putain roumaine dont j’étais déjà fou amoureux après ces longues minutes d’enchevêtrement soixante-neuvesque et après avoir joui abondamment dans ma bouche en ahanant comme une belette en rut , se reposait quelques instants en m’astiquant le jonc au risque déclencher le reflexe fatal , et de me faire perdre ainsi un éjaculat précieux et une pénétration promise. De temps en temps je l’attirais à moi tout en observant ce corps magnifiquement hâlé, aux formes parfaites, ce corps que peu de putains de bordel peuvent se targuer de posséder, mais que je n’allais pas tarder à posséder moi-même. Je vous passe les missionnaires, et autre levrettes ducales, les positions sphinx entreprises pour alterner nos sensations et se découvrir à chaque seconde un peu mieux… Quand je repense à cette approche au bar où la belle catin jouait avec mes nerfs sur de l’effet de sa beauté sur mon désir, j’en viens presque à pleurer tellement ce moment fut magique . Je me concentre ici sur le souvenir cette position du crabe qui mis un terme notre coït et eu raison de mes résistances .
Imaginez-vous la sublime liane bronzée aux seins absolument énormes montée sur moi , moi allongé sur le dos de notre couche (hélas pas nuptiale), elle-même assise puis couchée sur mon ventre en train de se faire mettre ainsi devant le miroir . Imaginez ses énormes loches siliconées pendants de chaque côtés de son buste par leur poids inimaginable , et appelant mes mains à les soutenir, à les malaxer, à les ramener l’un vers l’autre . Imaginez ce couple putain/client unis dans un bonheur, bonheur dont l’essence même dépassait toute transaction financière. Imaginez ce couple s’observant par miroir interposé . Je me rappelle cette question posée ingénument par votre serviteur pendant la pénétration: « Do you see how beautiful we are ? » , et la belle roumaine de répondre « yes ! it is gorgeous . et je continuais de longues minutes à te la mettre ainsi , coït élégant et bestial. Vous pouvez également imaginer mes mains chargées à la fois de malaxer les deux mamelles mais aussi chargées d’établir un mouvement régulier vertical du corps de la belle afin de rythmer la pénétration . Je croisais une dernière fois ses magnifiques yeux bruns révulsés. Avant de venir en beuglant comme un porc, je la mis ainsi en la faisant couiner par saccades: car oui il fallait que je te la mette , il fallait que je te la pénètre, que je possède cette sublime femme qui à ce moment précis n’était plus une putain mais la femme que je désirais le plus au monde .