Discussion : Pattaya : les récits de vos aventures

[Ericfrombrussels]

A Pattaya depuis hier, je suis passé au Candy Health Massage (en face du Wassy Bar à une centaine de mètres de Tree Town). Pris Jey 20 ans pour ce qui à l'origine devait être un simple Massage happy ending. Cela finalement s'est changé en Massage boum boum. Je sais que beaucoup vont s'offusquer du prix payé 2000 baht "massage" et sexe inclus mais 55 EUR pour une heure avec une jeune fille de presque trois fois moins mon âge- baisers avec la langue, fellation nature avec CIM final, sexe, rimming, golden shower dans la douche, doigt dans ses deux orifices, je n'ai quand-même pas la sensation d'avoir trop payé la prestation surtout quand je lis les prix maintenant demandés dans les gogo ou certaines freelance.

[tom72]

Je viens aussi de passer dix jours à Pattaya et j’en garderai un souvenir mitigé. J’étais encore là il y a à peine six mois et ça s’était beaucoup mieux passé alors. Sans doute aussi que j’avais choisi le mauvais moment. Non seulement c’était le début de la haute saison, mais en plus, il y avait un festival de feux d’artifices qui a attiré énormément de monde pendant deux jours.
Je n’ai pas trop l’habitude de me plaindre de prix. En fait, quand je suis en vacances, je ne fais pas de compta. Alors, ça n’est pas trop ma préoccupation. Je ne vais pas non plus me plaindre de l’âge des femmes que j’ai rencontrées. J’ai passé la cinquantaine et je me vois mal passer des nuits avec des gamines de vingt ans. (Signalons qu’en dessous de vingt ans, c’est illégal. Si je me pointais avec une fille de dix-neuf ans, aucun hôtel sérieux ne la laisserait monter avec moi. Et ça serait encore le mieux qui pourrait arriver.)
Je connais cependant l’endroit depuis assez longtemps pour savoir qu’à Pattaya, il n’y a pas de honte et qu’on laisse son honneur au dernier péage avant de quitter l’autoroute. Disons simplement que je m’impose un tout petit peu de décence. Même si mon cerveau est généralement à l’arrêt quand je vais là-bas.
Pour que j’emmène une femme en LT, il y a une condition que je respecte désormais toujours : il faut qu’il y ait une certaine « connexion » entre elle et moi. Sans ça, je sais tout de suite que ça va mal se passer. Or, cette connexion s’établit rarement avec une fille très jeune. Ce qui fait que je me retrouve généralement avec des jolies femmes qui ont entre 35 et 45 ans. Les tarifs sont en conséquence. Je ne me souviens pas qu’on m’ait demandé plus de 2.000 bahts pour un LT. Je ne crois d’ailleurs pas que je voudrais payer moins que ça. Elles ont quand même des gosses à nourrir et des loyers à payer pour bosser à Pattaya.
Quand une femme part en LT avec moi, je lui ai en général déjà payé pas mal de verres dans son bar. Après, je l’emmène manger et il m’arrive de lui acheter l’une ou l’autre bricole en passant. Ce n’est quand même pas pour autant que je prétendrais que je fais la charité en baisant. Le ridicule aussi a des limites que je ne franchirais pas, même avec mon cerveau à l’arrêt.
Il m’est quand même arrivé de rencontrer des toutes jeunes filles. L’une d’elles n’avait que dix-neuf ans et sa mamasan lui interdit de quitter le bar. Elle l’a cependant autorisée à parler avec moi. Ce qui était assez agréable, parce qu’elle est adorable et qu’elle parle plutôt bien l’anglais. Ceci est d’ailleurs assez rare avec les jeunes filles. Ceux qui sont particulièrement attirés par la jeunesse ont intérêt à parler le thaï. Parce qu’il me semble que, quand elles parlent bien l’anglais, les jeunes femmes ont plutôt tendance à choisir d’autres métiers, plus honorables. Ou alors, si elles veulent vraiment vendre leurs charmes, elles iront dans des contrées comme Dubaï ou Singapour, où l’activité est autrement plus lucrative.
L’endroit qui m’a le plus déçu, c’est soi 6. Jusqu’à il y a très récemment, j’y passais toujours de très bons moments, mais cette fois, j’y suis passé à trois reprises et c’était toujours plutôt la galère. Avant, il était toujours très facile d’établir un contact dans n’importe quel bar. Maintenant, il faut bien choisir où on va. Dans plusieurs bars, on m’a même laissé picoler tranquillement dans mon coin sans même se préoccuper de moi. Pourtant, je ne suis pas vraiment radin. Mais les farangs ont sans doute fini par réussir à se faire une aussi mauvaise réputation qu’on ne les calcule même plus à certains endroits. En fait, il n’y a que les filles qui me connaissaient déjà qui sont venues me parler spontanément. Je devrais probablement m’en contenter à l’avenir.
En dix jours, je n’ai eu qu’un seul ST. C’était avec une fille que j’avais rencontrée dans un gogo sur WS. Elle avait 26 ans, elle était d’une grande beauté, remarquablement intelligente et vraiment très pro. Le service était à la hauteur et j’ai passé un très bon moment. Finalement, pour les ST, WS sera bientôt une meilleure option que soi 6. Après, il n’est pas étonnant que les tarifs atteignent des niveaux presque similaires à ceux pratiqués en Europe. Parce que je me suis laissé dire que certaines des filles qui bossent dans ces endroits et qui le font bien ont des revenus mensuels de plusieurs centaines de milliers de bahts. Alors, il est évident qu’elles n’acceptent pas de sortir avec n’importe qui. Si elles arrivent à très bien gagner leur vie, je le leur accorde d’ailleurs bien volontiers. Par contre, ce qui me dérange sur WS, ce sont les tarifs des BF. C’est plus du double de ceux pratiqués à Bangkok. En plus, il faut avoir payé un certain nombre de verres à une fille avant de pouvoir l’emmener où que ce soit. Ça non plus, ça n’existe pas à Bangkok.
Bangkok où je m’apprête maintenant à passer un long séjour de cinq mois et demi. Je vais m’appliquer à apprendre le thaï et je vais bosser. Là, ça sera le moment de compter. Et ça ne sera pas en centaines de bahts, mais en milliers d’euros. Parce que les prix des services que je propose sont aussi très supérieurs aux revenus d’un ouvrier. Chacun fait avec ce qu’il a et avec ce qu’il sait faire…

[gitan]

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