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Discussion : Bruxelles : SAMANTHA (Maîtresse)

  1. #


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    juillet 2011
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    Nouvelle visite à Maîtresse Samantha semaine passée.

    A peine arrivé , elle me dit "Tu tombes bien, déshabille toi et allonge toi sur le sol le long du canapé". Elle vient s'assoir en marchant sur mon torse avec ses escarpins et je sens bien la pression des talons dans ma chair. Elle me dit qu'elle a froid aux pieds et que ma chaleur corporelle allait les réchauffer. Elle pose un pied sur mon visage et un sur mon torse et je sens mon sexe qui prend forme instantanément. Elle me dit que la surface de mon corps n'est pas très régulière et se met à piétiner mon sexe comme si elle voulait l'aplatir. Le contact de son pied me fait l'effet inverse, et mon sexe esquive et revient chaque fois à la surface. Elle m'ordonne de réchauffer ses pieds différemment, de me mettre à genoux au sol, du côté du canapé ou il n'y a pas d'accoudoir, avec ma joue gauche collée au canapé le regard tourné vers elle. Elle pose ses 2 pieds sur ma joue droite et me demande de les réchauffer avec de la chaude expiration et me voilà occupé à expiré le maximum d'air chaud pour réchauffer ses magnifiques pieds. Elle dit c'est bientôt Noël et dans la crèche jesus était réchauffé par l'haleine de l'âne et du bœuf et bien tu es un peu mon petit âne. Elle me dit, va y petit âne, braie et je commence à pousser des ridicules "Hihan, hihan.." Elle crie , m'impose de mieux chauffer ses pieds et je met à faire des efforts pour expiré un maximum d'air chaud, jusqu'à être au bord de l'asphixie. Elle me dit que je ne suis pas très efficace et m'inflige des gifles du plat de son pied. La sonnette retenti me faisant sursauter et demander si on a été si long et que la séance était déjà terminée. Elle exige que je me repositionne en position carpette allongé. Elle va ouvrir et elle demande au visiteur si il veut venir au salon boire quelque chose. Je suis un peu inquiet et aperçoit un homme pas très grand,un peu ventru et dégarni. Il s'installe sur le canapé en face et Maîtresse revient s'asseoir en reposant ses pieds sur moi, comme si je n'existais pas. Elle lui parle de moi comme un objet et lui dit certains ont de banal tapis en peau d'ours ou de tigre, moi j'en ai un en peau humaine et elle frotte vigoureusement ses pieds sur mon torse. Ils discutent un peu ensemble et je crois comprendre que le visiteur a passé quelques jours en France. Soudain elle s'exclame " Mais finalement, je ne t'ai rien offert à boire, je vais te presser quelque chose". Je m'attend à ce qu'elle se lève pour presser un jus d'orange, mais elle reste assise ,pose un pied sur ma bouche et mon nez et de l'autre me masturbe. J'ai joui rapidement et elle a collecté mon sperme avec ses pieds pour ensuite invité le visiteur à les lécher. Elle a dit il y en a encore un peu là et ici aussi. Elle a tout essuyé avec ses pieds et je pense que l'invité a tout léché .Elle a ordonné au visiteur d'aller dans la chambre et m'a tendu un gand de toilette humide pour me rafraîchir. J'avais un nouveau scénario mais n'ai pas eu l'occasion de lui soumettre, je le garde pour la prochaine visite. Je suis parti en me disant que les visites sont vraiment variées, exitantes, surprenantes, un peu stressantes ( je me suis demandé qui était le visiteur et ce qui allait se passer ).

  2. #


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    mai 2008
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    4 mois que je n'avais plus pu venir rendre hommage à Maîtresse Samantha. Autant dire que j'étais comme une chienne en chaleur en sonnant à sa porte.
    Un premier petit clic qui ouvre la porte cochère suivi d'un bruit de clenche qui m'indique qu'Elle m'attend, cachée derrière la porte.
    Comme à chaque fois, je me demande quelle sera Sa tenue.
    A peine entré, je me jette couché à Ses pieds pour les embrasser mais j'ai quand même le temps de voir qu'Elle porte des cuissardes ainsi qu'une robe en vinyl, dont le bustier est en filet, laissant apparaître Sa superbe poitrine.
    A reculons et en me faisant lécher alternativement ses bottes, Elle m'amène ainsi jusqu'au donjon.
    Là, Elle m'ordonne de me déshabiller, d'aller me rafraîchir à la salle de bain et de l'attendre en position de soumission.
    M'étant exécuté, c'est à genoux, le front contre le sol et les bras tendus devant moi, paume de mains vers le haut que j'entends le bruit de ses talons qui se rapproche.
    Une fois dans la pièce, Elle m'ordonne de me placer dos à la croix de Saint André à laquelle Elle me fixe les bras et les jambes.
    Et c'est là que commence "ce qui me rend fou" comme Elle dit : le bondage de mon sexe et l'excitation de mes seins. Un supplice qui m'amène dans un subspace proche de l'évanouissement. La tête me tourne, le regard se brouille et des fourmillements m'envahissent. Mes gémissements et supplications n'aboutiront qu'à cette phrase : "Tu peux crier, hurler, personne ne t'entendra ni ne viendra à ton secours. Tu m'appartiens."
    Estimant que j'en ai assez bavé, Elle me détache et m'envoie m'assoir sur une chaise de bois à accoudoir sur laquelle Elle a placé une alèze.
    Elle me fixe les mains au accoudoirs par des menotte métalliques et les pieds aux pattes par un savant bondage dont Elle a le secret.
    Ainsi immobilisé, Elle me fixe d'un regard narquois et provocateur tout en s'emparant d'un petit flacon et de ouate de démaquillage. Elle sait que j'ai déjà compris ce qui m'attend et son regard ne s'en fait que plus pervers.
    Elle le désinfecte les tétons et le traitement qu'ont subi ces derniers ajouté à l'alcool m'occasionne une brûlure diabolique, ce qui la fait sourire encore davantage !
    Elle s'empare alors de paquets d'aiguilles et me transperce de main de Maître(sse)à trois reprises chacun de mes tétons ce qui m'occasionne une délicieuse bouffée de
    chaleur.
    Elle prend ensuite un instrument que je ne connais pas encore : une petite poire prolongée d'un tuyau. Je comprends de quoi il s'agit lorsque je La vois lubrifier le tuyau d'un gel avant de s'emparer de ma queue. Une sonde urétrale, mais dont je ne comprends pas bien l'utilité de la poire. Après la délicieuse sensation d'une pénétration maximale, l'explication m'est donnée. Sur la poire figure un petit bouton qu'Elle active, provoquant des vibrations aussi divines qu'insupportables....mais qu'on adore quand même supporter !
    Et le fait qu'Elle reprend l'excitation de mes tétons de sa main libre ne fait "qu'aggraver" la situation. Je hurle de folie et d'excitation.
    Me sentant proche de l'orgasme, Elle interrompt la torture me libère de mes contraintes et me fait me lever.
    Elle décide alors de me parer d'une tenue à lanières de cuir absolument superbe (voir son annonce sur QR où Elle la porte avec un soutien de cuir).
    Tout en me la plaçant, Elle m'annonce que nous seront rejoint par un de ses autres soumis qui aurait une bite "aussi petite que la mienne" et que je serai prié de faire bander et éjaculer tout en n'en perdant pas une goutte !" Tout un programme qui m'émoustille encore plus si cela était possible.
    Elle me fait ensuite me mettre à quatre pattes sur le lit avant de disparaître quelques secondes avant de revenir harnachée d'un gode-ceinture de taille plus que respectable. Je sens que je vais déguster. Je perçois la fraîcheur du gel qui lubrifie ma rondelle mais, surprise, la sensation suivante est celle d'un gode d'assez petite taille constitué de boules successives, boules que je sens, une à une, prendre possession de mon fondement.
    Le gode ne doit pas être bien gros car, assez rapidement, la sensation de distension s'estompe.
    "Un petit échauffement" me dit-Elle.
    Là-dessus, Elle me fait me redresser pour me passer une laisse avant de m'emmener "chez Elle", à savoir le studio contigu au donjon.
    Elle s'y couche sur le divan tout en allumant un cigarette et commence à me faire part de ses projets à mon égard.
    "Je veux que tu deviennes ma pute, ma gagneuse. J'envisage de te mettre en vitrine, au tapin, à l'abattage. Mais pour ça, je dois faire un bilan de tes compétence. Alors, commence à me pomper la queue en me regardant dans les yeux pour bien m'exciter."
    Je m'exécute du mieux que je peux, alternant les léchages de gland et de frein avec des tentatives de gorges profondes.
    Apparemment satisfaite, Elle me dit vouloir passer à l'étape suivante. "Faire de mon cul un garage à bites."
    Nous retournons dans le donjon où, à nouveau, je me positionne à genoux sur le lit, le front sur le matelas et les deux mains écartant mes fesses pour lui présenter mon trou le mieux possible.
    Elle m'enlève le gode à boules, me lubrifie à nouveau la rondelle, se positionne dernière mois, le gland de son gode en contact avec mon anus et c'est comme dans du beurre qu'Elle me défonce à fond, me pilonnant en cadence, pour mon plus grand bonheur. Elle ne s'interrompt que lorsque je Lui signale être au bord de jouir du cul.
    C'est bien, me dit-Elle, mais pour la grosse pouffiasse que je veux que tu deviennes, ce n'est pas suffisant. Le fist est un incontournable.
    Et après m'avoir libéré le fondement dans un bruit de succion suivi d'un bel appel d'air, Elle vient me mettre sous les yeux un gode en forme de main.
    "Voilà la suite". Je suis à la fois effrayé par la taille de l'engin et cependant très motivé.
    Le travail commence et je sens mon anneau s'élargir de plus en plus sans trop de difficulté, ce qui me surprend assez. Je dois cependant m'avouer vaincu à un moment donné, sentant que j'ai atteint ma limite, à la grande déception de Maîtresse et de la mienne également quand Elle me montrera le peu qu'il manquait.
    Bien ouvert à présent, Elle m'entreprend avec les doigts et la main. Là non plus, il ne manque pas grand chose pour que tout passe et j'ai la joie de sentir ses doigts s'agiter dans le fond de mon cul, ce qui m'amène à nouveau au bord de la jouissance.
    Arrêt de l'activité pour me faire découvrir un autre de ses nouveaux jouets, le ball-strecher. Engin que, malgré une (longue) vie BDSM, je n'avais jamais expérimenté. Un délice que cette sensation d'enfermement et de poids qui vous tire les couilles vers le bas.
    Sonnerie et sourire de Maîtresse.
    Elle va ouvrir et je l'entends ordonner à son soumis de se mettre à poil, de passer se rafraîchir et de venir nous rejoindre.
    Pendant ce temps, Elle m'immobilise les bras dans le dos par un manchon de contrainte en cuir. Une nouvelle découverte pour moi. Un régal quand je me vois dans le miroir, cet engin associé à mon costume en lanières.
    Notre complice se présente, qu'Elle oblige à s'agenouiller à côté de moi. Elle entreprend à nouveau de nous exciter les tétons avant de s'emparer d'une bassine métallique qu'Elle lui demande de tenir entre ses jambes et qu'Elle remplit de son divin nectar. Après s'être ganté les mains de latex, Elle trempe ses doigts dans l'urine avant de nous les faire lécher tour à tour.
    Elle va ensuite s'emparer d'une petite seringue qu'Elle déballe de son sachet stérile et qu'Elle remplit de son champagne pour nous la présenter successivement, jusqu'à ce que la bassine soit vidée.
    Elle m'impose alors de m'agenouiller devant lui, maintenant debout et de "le mettre au garde-à-vous !". Les bars toujours immobilisés dans le dos, je n'ai d'autre choix que de commencer à le pomper après lui avoir longuement léché les couilles.
    C'est vrai que sa bite n'est pas grande mais quand même supérieure à la mienne ce que Maîtresse, qui ne manque jamais une occasion de m'humilier à ce sujet, ne manque pas de me faire remarquer.
    Une fois sa bite bien dure et sachant (Elle me l'avouera après la séance) qu'il ne jouira pas rien que d'une pipe, Elle lui ordonne de se branler et d'avertir de l'imminence de sa jouissance pour que je puisse lui présenter ma langue et ma bouche afin de ne pas en perdre une goutte.
    Après quelques temps, je sens que sa respiration de vient saccadée, il gémit et ses jambes se raidissent et c'est dans un cri rauque que je sens des coulées crémeuses envahir ma bouche et dégouliner sur ma figure de chaudasse.
    Maîtresse fait en sorte de n'éviter aucun gaspillage en me ramenant en bouche tout ce qui se trouve ailleurs avant de libérer son soumis à qui Elle demande de l'attendre dans le studio.
    Viens alors le moment de ma mise à mort.
    Elle me libère de mon ball-strecher et me dit d'aller me coucher sur le lit. Là, Elle se place au-dessus de moi et m'ordonne de commencer à me branler tandis qu'Elle m'arrose la bite et les couilles des quelques gouttes d'urine qui lui restaient.
    En constatant qu'une longue traînée de cyprine coule de sa chatte, Elle vient se placer au-dessus de ma bouche pour m'en faire profiter.
    Commence alors la lente montée vers l'extase. Elle m'excite, comme Elle seule sait faire, tant physiquement en me triturant les tétons toujours percés que psychologiquement par ses mots et commentaires salaces.
    Et c'est dans un grand cri que je libère le fruit de trois jours d'abstinence qu'à nouveau Elle rassemble pour me les faire déguster.
    Fin de cette nouvelle séance d'anthologie. Douche, boisson et petite discussion sur le bon vieux temps (DS, Laurence and Co, ses anciennes complices qui, soit dit en passant, on toutes quitté le milieu : Wanda, Zina, Dona...)et retour aux basses réalité de ce pauvre monde.....jusqu'à la prochaine.

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  1. #


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    novembre 2016
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    Par défaut Bruxelles : SAMANTHA (Maîtresse)

    2ème séance avec cette superbe et talentueuse Maîtresse.
    La première avait été plus un round d observation, plutôt soft à ma demande.
    Pour la 2ème je lui ai demandé de l humiliation et des jeux uro pervers ainsi que du fouet.
    Avant la séance, j ai reçu un message comme quoi je devais mettre une couche pour venir !
    Quand je suis arrivé, je me suis déshabillé, elle a vérifié que j avais bien ma couche, m a attaché à la croix de St André pour un travail des tetons et un échauffement au fouet. Puis j'ai dû boire son champagne à la seringue et lui servir de cendrier, puis re fouet.
    Ensuite elle m'a attaché sur le lit et re séance de fouet. Elle a ensuite ouvert la couche pour uriner copieusement dedans et refermer le tout Elle a aussi uriner dans une gamelle pour me badigeonner le corps de son champagne et vider le reste dans la couche. Le tout accompagné de crachats et de gifles. Et j'ai dû finir le champagne avec un entonnoir dans la bouche.
    Et elle m'a obligé à retourner chez moi comme ça !!
    Super séance avec une Maîtresse qui manie parfaitement son art !!
    Maitresse Samantha (41 ans) | Quartier-Rouge

    https://www.quartier-rouge.be/prive/...-samantha.html

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