Pièce jointe 87974
Séance cocktail chez Maîtresse ATTIKA. Allongé sur sol les couilles attachées par des pinces qui m’en étirent la peau au moindre mouvement, elle a décidé de me remplir la bouche de son délicieux champagne au moyen d‘un petit entonnoir afin que je n’en perde pas une goutte.
Pour l’instant elle m’interdit d’avaler, elle me délivre doucement son fluide chaud et précieux par petits jets. Je sens que ma bouche est pleine lorsque j'ai les dents qui baignent et que le liquide atteint la commissure de mes lèvres, et là elle me dit avale, salope ! Je m’exécute…
Vu que quelques gouttes ont coulé sur le sol elle décide de me punir à la cravache en me faisant me retourner face au sol, sans me libérer la peau des couilles. La dérouillée est cuisante, je me tortille de douleur, elle me fait couiner en m’insultant copieusement.
Elle m’ordonne de reprendre la position initiale à la différence qu’elle m’ordonne de commencer à me branler pendant qu’elle me remplit à nouveau la bouche, cette fois encore plus doucement. Je suis prêt à jouir et elle le devine en me précisant que si j’avale la correction sera encore plus forte que la première, alors j’obéis.
Le plaisir est fulgurant, je fais un gros effort pour ne pas avaler pendant que ma queue délivre par grosses saccades sa liqueur. La perversité de Maîtresse ATTIKA est sans limite, à l’aide d’une petite cuillère elle recueille mon divin nectar pour le mélanger avec le sien qui se trouve déjà dans ma bouche. Elle mélange et m’oblige à avaler. Comme j’ai giclé abondamment on recommence l’opération car selon ses dire il ne faut pas gâcher la marchandise.
Elle m’introduit ensuite dans le cul un gros gode vibrant qu’elle m’enfonce bien profondément, je recommence sérieusement à bander. Elle me fait mettre à genoux pour recevoir en abondance toute sa pisse qui me déborde de la bouche, sur le visage et même dans les cheveux. Je suis toujours obligé de garder en bouche son liquide pendant qu‘elle m‘insulte de sac à pisse. Elle me branle avec sa main recouverte d’un gant en latex enduit de gel et là je redécharge ! J’ai enfin le droit d’avaler.
Elle me retire le gode de mes fesses que je suis contraint de sucer comme si c’était une bite. Vu que Maîtresse ATTIKA est une reine j’ai droit au baise main de son gant maculé de foutre que je dois nettoyer avec ma lange. Tu vois tu étais à sac à pisse maintenant tu es un sac à foutre, salope !