Discussion : Mimi, Chinoise

[bmaupoil]

Bien le bonjour,
en lisant le commentaire de Janus, ça m'a donné envie de tester Mimi.

Et bien, je confirme ce qui est dit ci-dessous, vraimennt une chouette nana !
Vraiment GFE. j'ai passé un très bon moment entre ses mains, dans sa bouche... bref, j'y retournerai

[JANUS]

Ce vendredi 20 décembre, en visite pour la dernière fois cette année dans la capitale, j'espérais terminer l'achat des cadeaux de Noël en trouvant l'inspiration parmi les offres de City 2 ... .

J'aurais dû m'en douter, le parking Botanique était inaccessible. Bifurquant Boulevard Jacquemin, une silhouette furtive attire mon regard au coin de la rue Nepomucène, mais le trafic me pousse inexorablement en avant. Cent mètres plus loin, une place est libre. Un vrai miracle ! Bien que n'avais d'autre intention que de me concentrer sur mon marché, j'ai vu dans cette place libre un signe du destin. Et me voilà à remonter le Boulevard pour confirmer mon impression.

Elle est bien là, emmitouflée dans un de ces anorak typiquement made in China. Ses yeux crient braguette et son sourire promet une certaine expérience. Ses traits sont harmonieux. Je lui donne une petite quarantaine bien conservée. L'anorak est ouvert, mais, avec son pantalon épais et son pull, il est impossible de se faire une idée sur ses formes.

Elle m'a vu arriver de loin ... ou plutôt, elle a perçu le regard du client potentiel évaluant la marchandise. Elle m'aborde dans un anglais qui fait illusion, mais qui ne résiste pas à une conversation. Elle s'appelle Mimi, demande 150 pour une heure + 50 pour le spécial : aucune surprise. Elle reçoit dans un appartement proche : intéressant. Je lui annonce la couleur : je prends une heure ... deux si elle est très GFE.

Je la suis jusqu'à un immeuble tout proche et que je connais bien. Dans l'ascenseur, sa langue me démontre qu'elle compte bien me garder plus d'une heure. Je ne peux lui cacher plus longtemps mon secret : je parle un chinois correct. Elle est pékinoise. L'entrée dans l'appartement est classique : rituel des pantoufles. Surprise, je croise Féfé dans le living qui prépare des wantans. Elle est revenue de l'Empire du Milieu depuis une quinzaine.

Chambre, cadeau (je ne donne que 150 + 50 ... on verra si je prolonge), déshabillage, douche, re-chambre : Mimi se douche également. C'est bon signe.

Son corps est pas mal du tout : petite, l'air juvénile, un peu de lard, mais ce n'est pas désagréable, de beaux nichons de bridée, tatouages au-dessus du sein droit et en bas du dos, chatte poilue, mais bien taillée.

C'est clair, elle n'a pas envie de parler ... . Son attaque est directe, mais super douce. Sa langue racle mes amygdales et sa main fouille de mon anus à mon nombril, comme si elle venait de découvrir l'Atlantide. C'est certain, elle a de l'expérience ... .

J'aime faire durer, laisser monter la sauce, lécher, renifler, ... mais elle me prend en traître : son mont de vénus se frotte à l'une de mes cuisses tandis qu'elle avale mes oreilles l'une après l'autre avec une gourmandise boulimique. Rapidement elle m'enfile un préservatif, elle passe de ma cuisse à mon vit qui lache déjà un peu de lubrifiant tant la technique est de qualité. Mimi se frotte maintenant doucement à mon chybre tout en me regardant droit dans les yeux. Elle me fait entrer en elle avec une lenteur savante, mais inexorable. Son vagin est étroit, élastique, lubrifié souhait et surtout, il est ... avide. Je me fais littéralement gober. J'imagine les kilomètres de bites qu'elle a dû dégorger pour parvenir à cette maîtrise. Pourtant, rien ne laisse supposer quelque lassitude que ce soit.

Elle me monte maintenant comme une guerrière impériale chevauche le dragon. Ses seins remplissent mes mains. Le moment est intense : elle s'affale sur moi pour m'embrasser en même temps que je gicle. Suprême plaisir, elle reste empalée un long moment, se blottissant tendrement.

Après m'avoir nettoyé avec des serviettes humides, elle court prendre une douche complète, puis reviens propre et toujours aussi nue, un coca dans la main à mon intention. Nous parlons un peu d'elle, de moi. Le courant passe très bien . La conversation est entrecoupée de petit baisers et, petit à petit, elle me retourne, me masse, pas trop mal d'ailleurs, tout en laissant régulèrement ses cheveux me chatouiller délicatement. Elle me demande à l'oreille si je reste plus longtemps. Evidemment !

Je suis maintenant à quatre patte. Elle est derrière moi et tire ma queue vers l'arrière. Elle me suce, le gland, les burnes, ... les burnes, le gland. Elle darde plusieurs fois sa langue dans mon anus. Elle pince mes tétons sous moi. C'est une grande ! Je le lui dit. Et c'est là qu'elle passe au-dessus de moi, tout en glissant sa chatte humide le long de mon dos, pour venir se placer devant moi, cuisses ouvertes. Sa fente est superbe, son clithoris minuscule, mais bien turgescent. Elle veut que je lui rende la pareille. Je fouille maintenant son intimité. J'aime son goût et son parfum. Elle est douce, tendre, mais c'est une chienne. Elle bouge comme une chienne et elle a l'odeur d'une chienne. Si je ne l'avais pas ramassée sur le trottoir (cette expression m'excite), son allure de petite asiatique rangée, classique, ne m'aurait jamais laissé deviner le stupre et la débauche qu'elle transpire. J'adore ... . Le 69 est torride. La décharge est plus modeste, mais Mimi n'en crache pas une goutte. Moi non plus : je la nettoie consciencieusement d'elle et de ce qui reste de moi. Nos derniers baisers achèvent cet échange rare, obscène et tellement bon.

En déposant ma contribution supplémentaire, je lui réclame son numéro de téléphone. "C'est certain, tu reviendras ? “ me demande-t-elle en mandarin ... .

Croyez-moi, oui ! je reviendrai, et avec certitude. Je lui ai promis. Le 2 janvier.

Elle accepte de donner son numéro quand elle a confiance et, pour une nuit complète, 12 heures, c'est 700 roros.

Petite conversation avec Féfé et Mimi en sortant ... . Elles restent en Belgique pour longtemps, un an au moins. Mais, dit Féfé, l'endroit n'est plus du tout comme avant : beaucoup moins de Chinoises et on les regarde de travers. Les clients sont aussi de moins en moins sympa, et même 150 l'heure semble trop. Elles ne se sentent pas tellement en sécurité, c'est d'ailleurs pour ça qu'elle travaillent à deux.

Donc, en passant, j'exhorte tous les Youppineurs au respect de ces dames, et certainement de ces deux là.

Un conseil quand même : les Chinoises en tandem, c'est souvent décevant. Mieux vaut en prendre une pendant deux heures, que deux pendant une heure.