Pièce jointe 88804
« La force c’est de pouvoir casser une barre de chocolat en quatre et de n’en manger qu’un carré » (Judih Viorst) On peut le dire sans détour : Pâques est incontestablement la fête des "joyeuses"
Le lundi de Pâques chez Maîtresse ATTIKA avec une chasse aux œufs improvisée pour fêter l‘évènement. On ne peut pas dire qu’elle ait dû chercher longtemps
D’entrée de jeu elle m’a fait me confesser en m’obligeant raconter mes pires fantasmes et elle m’a puni a grands coups de martinet.
Elle m’a introduit un énorme gode vibrant entre le fesses et m’a pissé directement dans la bouche en l’accompagnant de cette phrase de dominatrice : Ça sera le début de ta pénitence, salope !
Allongé par terre elle m’a copieusement écrasé les couilles avec ses escarpins comme elles n’étaient que des vulgaires mégots de cigarette, elle m’a bien fait gueuler.
Elle m’a chauffé les fesses avec de la cire de bougie bien piquantes qu’elle a ensuite nettoyé une fois refroidie à coups de cravache.
Inutile de vous dire dans quel état j’étais, partagé entre la douleur et l’excitation, la queue en l’air et le cul rouge.
Pendant qu’elle me tiré les couilles avec le ruban qui les décorées elle m’a obligé à me branler. A chaque fois que je m’appétais à jouir elle tirait fermement sur la ficelle. Ce qui devait arriver arriva, j’ai balancé toute ma sauce sur le sol qu’elle m’a fait lécher jusqu’à la dernière goutte.
Le top du top, elle avait enregistré la scène sur son portable par une petite vidéo qu’elle m’a ensuite transmise et effacée de son téléphone. Pour moi un super souvenir à renouveler au plus vite.