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Youppie webcam confinement        

Discussion : Voyeuse autant qu'exhibitionniste

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    avril 2019
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    Mademoiselle, vous avez un réel talent d'écriture et/ou de narration, vous devriez penser à écrire un bouquin !
    Continuez comme ça, c'est un grand plaisir de vous lire 📖👌

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    mai 2025
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    Épisode 6

    Je continue mes narrations avec un plaisir décuplé. Dans les récits qui vont s'enchaîner je suis en vacances au bord de l'océan avec mes parents. Nous sommes en 2022. Je viens de passer ma Licence. Pour une bonne compréhension de l'ensemble je m'attarde souvent sur des détails en apparences futiles, très secondaires, voire inutiles. Il n'en est rien. Que le lecteur sache faire preuve de patience. Il en sera récompensé. Grâce à ce principe nous entrons alors dans le vif du sujet avec infiniment plus de références. Ce qui permet de saisir toute l'aventure dans sa globalité. D'en jouir pleinement. Je tire ce texte de mon Blog en "copié/collé". Bonne lecture.

    Plaisirs de vacances

    Avec mes parents, nous sommes dans notre résidence secondaire, au bord de l'océan. Je me consacre à de belles randonnées à bicyclette. J'ai échappé deux fois aux orages. En arrivant juste à temps à la maison. Tous les matins, après le petit déjeuner, c'est mon heure de jogging. J'adore traîner sous la douche. Puis je me mets au travail. Toutes les vacances, chaque jour, je consacre une heure trente aux révisions du programme de la rentrée. La rentrée universitaire aura lieu le lundi 18 septembre. Ce sera le départ des trois années devant m'emmener vers le Master en juin 2025. Je me réjouis. J'aime les études. J'aime l'ambiance de l'université. J'apprécie mes quelques connaissances et relations. Et je veux surtout être "affutée" pour affronter ce nouveau défi.

    Hier après-midi, je passe près du camping du bord de l'océan. Il y a là une vingtaine de bungalows luxueux, alignés à la façon des maisons d'un lotissement. Il y a le sentier qui longe les jardinets. Le long de la plage de galets et du ponton où sont amarrés de beaux bateaux à louer. Le ciel se voile. La chaleur est lourde. Il y a un jeune type avec une épuisette sur l'épaule. Il porte un seau en plastique. Il va probablement profiter de la marée descendante pour y récupérer les crustacés qu'abandonnent là les flots. Je suis assise sur une bitte d'amarrage, (oui, ça s'écrit avec deux "t"), il me fait un beau sourire et un signe de tête. Il est plutôt mignon

    Je le regarde descendre entre les rochers. Il marche avec prudence sur les galets glissants. Il se penche. Avec un râteau il remue le sable. De mon petit sac à dos je tire la minuscule paire de jumelles. Ce sont des crabes de belles tailles qu'il dépose dans son seau. Il observe parfois dans ma direction. Je porte mes Ray-ban Wayfarer à larges verres fumés. Je peux donc loucher sans qu'il sache où je regarde. J'écarte légèrement mes cuisses. À chacun de ses regards, un peu plus. Ce gentil amateur de crustacés doit comprendre que je le fais exprès. J'adore quand ma "victime" en prend conscience. C'est une succession de décharges électriques qui parcourent mon échine. Surtout qu'il me voit l'observer avec les jumelles. J'ai retiré mes lunettes. C'est très excitant. Je sue...

    La situation perdure ainsi une bonne vingtaine de minutes. Mon voyeur s'éloigne, suivant les eaux qui baissent. Son seau semble emplit à moitié et à présent plus lourd. J'aime être vue. Ma nature exhibitionniste. Mais j'apprécie par dessus tout qu'on le fasse en me laissant tranquille. Je déteste les dragues et autres tentatives de séductions. Surtout que dans ces situations, où je ne désire strictement rien d'autre que d'être regardée, toutes velléités d'approches seraient vouées à un cuisant échec. Là, j'ai affaire à un parfait gentleman. Un garçon qui sait profiter de l'aubaine. Nous devenons ainsi de véritables "complices" en restant des inconnus. Ce qui est superbe. Rassurant. Je sais que je peux m'offrir sans contraintes les gradations inspirées par ma libido. C'est délicieux.

    Il y a une dame qui arrive. Elle aussi porte un seau en plastique. Là-bas, deux hommes avec des seaux. Un couple. La marée basse attire tous les amateurs de coquillages vivants. Abandonnés par les flots. Je remonte sur ma bicyclette. Mon gentil voyeur se redresse. Il me regarde m'en aller. Je lui adresse un grand coucou avant de contourner les bungalows. Juste à l'entrée du camping, il y a une buvette qui fait boutique à souvenirs. Il y a également là de délicieux cônes glacés. J'en ai bien mérité deux que je savoure assise à une table en fer de la terrasse. Il y plein de gens. Je suis dans l'angle de vue du garçon de la réception. Et si je m'amusais encore un peu ? L'opportunité est belle. Mais en découvrant l'amas de nuages menaçants, je préfère filer à toute vitesse. Il y a une quinzaine de kilomètres. Poussée par le vent.

    À partir du jour suivant je serai seule pour le reste de la semaine. Papa et maman s'offrent de petites croisières en mer sur leur bateau. Ce n'est vraiment pas mon truc. C'est avec mon scooter que je me rends en ville. Il y a une quarantaine de kilomètres par la Nationale. C'est le second vendredi de juillet. Ce sont belles vacances. La circulation est dense. Pour éviter de m'engager dans les rues je mets ma machine sur le parking du supermarché. C'est gratuit. Il y a toujours de la place. C'est à un quart d'heure des rues piétonnes. Je retire rapidement et discrètement ma culotte. Je la fourre dans le compartiment bagage. J'aime me sentir parfaitement libre sous ma robe d'été. Un fin coton fuchsia pas du tout transparent mais léger. Je porte mes ballerines mauves. Mon sac à main qui fait également sac à dos. J'apprécie de ménager mes "effets". Voilà une belle opportunité qui arrive. Un beau jeune homme poussant son caddie. Je m'accroupis à l'instant précis où il regarde par là.

    Premier délicieux frisson qui doit me faire rougir. J'ai mes Ray-Ban Wayfarer à branches larges. Impossible de savoir ce que j'observe. C'est rapide. Parfaitement contrôlé. L'instantané permet quand même à mon innocente "victime" de voir. De me surprendre. J'aime l'instantanéité particulière du regards des hommes lorsqu'ils me découvrent ainsi. Je me lève, réajuste ma robe. Sans un regard, je ferme mon scooter à cadenas pour partir de mon pas décidé. Pour apprécier l'effet de mon "show", je fixe l'écran de mon I-Phone. Je l'utilise là comme un rétroviseur. Le jeune garçon se retourne à quelques reprises pour me voir partir. Le ciel reste couvert mais il fait doux. Je respire à plein poumons ma joie de vivre en pensant aux aventures qui m'attendent en ville. Il y a du monde. Un afflux de touristes qui connait son pic entre le 14 juillet et le 15 aout. Nous allons entrer en plein dans ce créneau. Je flâne nonchalamment dans les rues pavées.

    J'avise le square entre le musée et la cathédrale. J'y pénètre par les deux grandes grilles de fer forgé ouvertes. Quel meilleur terrain de jeux qu'un square. Surtout pour une coquine désirant s'encanailler un peu. Ce sont surtout des familles. Dont les parents, comme s'ils assistaient à une apparition mariale, bouches ouvertes, regardent leurs petits "génies" hurler en courant n'importe où et n'importe comment. C'est bruyant. Pénible. Je ne m'attarde pas. Moi qui désirait trouver une nouvelle "victime". Je la trouve dans la cathédrale gothique. Il y a deux jeunes femmes en uniformes qui guident chacune un groupe de touristes. J'écoute quelques bribes de l'argumentaire avant d'explorer les coins et recoins du vaste intérieur de l'édifice religieux. C'est tellement plus charmant en étant seule. La fraîcheur qui règne en ces lieux est une bénédiction.

    Il y a un garçon assis sur un des derniers bancs de l'arrière. Les vitraux distribuent une agréable lumière diffuse et colorée. Mon petit sac à main, présentement sac à dos, est un objet très pratique. Et à plus d'un titre. En m'accroupissant entre deux colonnes, posant le sac sur le dallage, je fais semblant d'y chercher quelque chose. Ce qui attire presque immédiatement l'attention de mon nouveau voyeur. Je les choisi toujours avec soin. Je suis très psychologue, je peux compter sur mon sixième sens. Mon sac à dos masque parfaitement ce que cherche à voir le jeune garçon qui risque le torticolis. Il doit avoir mon âge. Je reste dans cette position en scrutant l'écran de mon téléphone. Je fais évidemment mine de ne me rendre compte de rien. La situation me procure les plus délicieux frissons. J'adore ne plus pouvoir contrôler mes tremblements. L'ankylose me guette. Je ne sais plus si je tremble par l'émotion, par la tension ou par la fraîcheur de l'endroit.

    Je sens la sueur couler dans mon dos, entre mes seins, sur le bout de mon nez. Il y a un groupe de visiteurs qui vient par là. C'est le moment où jamais. Je lève mon sac à main, mes cuisses restant largement écartées, juste une seconde, avant de me redresser. Derrière les verres fumés de mes lunettes de soleil, je louche pour voir les expressions sur le visage de ma "victime". Encore une grande réussite. Je sors rapidement pour respirer un grand bol d'air frais. Ce qui calme un peu mes délicieuses ardeurs exhibitionnistes. En route pour de nouvelles aventures. Dans un salon de thé cette fois. Il est très agréable d'y savourer une coupe glacée en croisant et décroisant effrontément mes jambes sous ma table. Sous le regard halluciné de ce sénior dont la femme me tourne dos. Le coquin fait d'ailleurs semblant d'écouter sa dame. Alors qu'il mâte à s'en déboiter les globes oculaires.

    J'apprécie les possibilités qu'offrent les grandes librairies. Mais il y a également de belles opportunités dans les musées. Celui que je visite cet après-midi me permet quelques belles "prestations". Surtout devant ce gardien en uniforme que je vois transpirer en assistant à mon "show", fouillant une fois encore dans mon petit sac de cuir brun. Tout cela m'a ouvert un appétit d'ogresse. J'aime rouler doucement. M'arrêter quelques instant sur le bord des étroites routes désertes. Faire pipi ou faire semblant en me faisant des films. Ce que je fais sur la route du retour en faisant quantité de détours. J'arrive à la maison pour 19 h30. Morte de faim. Une salade de tomates, une omelette aux champignons, un yaourt en dessert. Je commence à sentir la fatigue. Mes péripéties facétieuses en sont les causes. Je suis devant l'ordinateur. La soirée à raconter mon aventure de l'après-midi sur mon Blog. Avec tous les détails ci-dessus.

    À bientôt

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    Par défaut Voyeuse autant qu'exhibitionniste

    Je me lance

    J'aime écrire. J'ai des tendances exhibitionnistes parfaitement assumées. Toutefois discrète je m'évertue à ne jamais offenser. J'invite le lecteur à découvrir ma présentation. Je propose de publier sur ce forum régulièrement mes souvenirs sous formes de petits récits concis. Je précise que ce sont toujours des histoires vécues. Dans ce premier écrit je raconte comment tout à commencé. Je vous en souhaite bonne lecture.

    De sensuelles émotions

    C'était il y a quelques années. Je suis dans le box de mon cheval. June. Je le brosse soigneusement. Je suis inscrite dans ce club d'équitation depuis quatre ans. C'est un plaisir de venir monter une à deux fois par semaine. Parfois seule. Parfois avec maman. Un des palefreniers, très mignon, exerce sur ma psyché de curieuses émotions. Il est grand, athlétique. Blond avec des yeux bleus qui me font fondre. Je suis timide. Réservée. Donc extrêmement discrète. Bastien est employé depuis quelques années. Cet après-midi il est occupé à remplir de fourrage les mangeoires. Je l'observe à la dérobée. Mon regard se pose sur cette grosse bosse qui déforme son pantalon beige.

    Je ressens comme une décharge électrique. Un courant qui monte le long de ma colonne vertébrale. Je suis secouée d'un spasme. Il y a comme un déclic dans mon esprit. J'ai soudain le désir fou de montrer à ce garçon l'effet qu'il a sur moi. Je suis grande, maigre et je me trouve moche. Je n'ai aucune confiance en moi. Je voudrais que ce palefrenier tellement séduisant me remarque. Toutes sortes d'idées plus folles les unes que les autres me traversent l'esprit. Je porte un pantalon d'écuyère. Aussi moulant qu'un legging. Me voilà envahie d'une pulsion qu'il m'est impossible de réfréner. Je m'accroupis sous le cheval. J'écarte bien les cuisses.

    Cette position m'excite terriblement. D'ailleurs ce que je suis entrain de faire m'excite terriblement. Si seulement ce garçon pouvait regarder par là. Je reste dans cette position équivoque jusqu'aux limite de l'ankylose. Le sexe du cheval balance devant mon visage. C'est la toute première fois de ma vie que j'exprime ma sexualité larvaire hors de ma chambre. Depuis le début c'est dans le secret de ma chambre. Je suis couverte de frissons. Je sens la sueur couler dans mon dos. Entre mes seins minuscules. Il revient par là. Il va passer le râteau dans le box voisin. Juste une grille qui nous sépare. Je reprends ma position. Une position que j'exagère à dessein. Avec une volonté délibérée qui me procure de folles sensations. Je n'ai jamais fait ça. Jamais ressentie ça.

    Cette fois il me voit. Je baisse immédiatement les yeux. Je fais mine d'être concentrée sur le mouvement de ma brosse. Je tremble. Je me sens honteuse quand je remarque qu'il se penche pour mieux voir. C'est certain. Bastien aussi doit être soudain perturbé. Je dois lutter contre toutes mes inhibitions pour garder ma position. Il regarde avec ostentation. Je sais aujourd'hui que ce garçon avait déjà 24 ans. Je ne peux pas écarter davantage. Et toujours le sexe impressionnant de mon cheval qui balance devant mon visage. Il me permet de loucher par de petits regards furtifs. Je ne peux pas encore comprendre ce que tout cela suscite dans la psyché de ce garçon que je crois aussi "innocent" que moi. Je viens de découvrir que ce sentiment de honte me procure les plus délicieuses sensations. J'en frissonne encore ! En fait après une première expérience, on ne fait plus que reproduire dans le but de revivre cette expérience. Encore et encore. Une quête...

    Maman vient me chercher. Pas un seul instant, en entrant dans le box, elle n'imagine ce qui se passe. Le garçon est d'une extrême discrétion. Il détourne son regard, nous tourne le dos. << Tu es toute rouge et tu transpires ! Qu'est-ce qu'il y a ? Tu es souffrante ? >> me demande maman. Je la rassure. Tout va bien. Je reste silencieuse dans la voiture. Je ne cesse de penser à ce que je viens de vivre. Seule dans ma chambre, après la douche et avant le repas du soir, couchée sur le lit devant le miroir de l'armoire, je me masturbe en me faisant le "film". Je fais défiler dans mon esprit les moments forts. Je viens de découvrir les plaisirs de l'exhibitionnisme.

    À suivre

    Bisou

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