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Discussion : Voyeuse autant qu'exhibitionniste

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    mars 2011
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    Bonjour,

    Je viens de découvrir vos récits. N'étant pas francophone, mon vocabulaire en français ne dépasse pas les soixante mots, donc je n'ose presque pas écrire cette réponse (qui contiendra sûrement des fautes, mes excuses).

    Moi aussi, j'ai trouvé ces histoires très inspirants. Je ne suis pas exhibitionniste moi-même, mais c'est très intéressant de lire à quel degré ça vous excite.

    En lisant, je fantasmais comment ça a du être pour les hommes de vous voir écarter les cuisses, sans doute ils étaient fort excités.

    Ils ont eû beaucoup de chance de vous rencontrer, et je suis sûr que ça restera un fort souvenir pour eux aussi.

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    mai 2025
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    Épisode 5

    Tout d'abord, merci à "alfraid" et à "robert93" pour leurs attentions. Je suis dans une sorte d'euphorie permanente depuis ce matin. J'ai eu les résultats de mes épreuves. Je suis à présent détentrice de mon Master de Sciences. Je n'aurai plus que quelques heures de cours jusqu'au 20 juin. Puis, ce seront des vacances bien méritées. Nous partons avec mes parents deux mois. Dans notre résidence secondaire au bord de l'océan. C'est un corps de ferme que papa et maman ont fait rénover. Nous y passons chaque été au moins un mois. Puis un mois à Los Angeles chez mon oncle et ma tante. Je n'aime pas trop la Californie et encore moins cette ville immense, impersonnelle et sommes toutes assez quelconque. Je garderai bien évidemment le contact et continuerai à publier régulièrement mes petites histoires. Je partage aujourd'hui la suite de mes pérégrinations coquines. Je vous en souhaite bonne lecture.

    Troisième expérimentation

    Je suis bientôt en vacances. Dimanche, il y a deux jours, je ne connais pas encore les résultats de mes épreuves. Avec les efforts fournis, je suis plutôt sereine. Il y a toutefois ce suspens. Ce couperet en suspend. Optimiste de nature je me conditionne dans un état mental positif. Après tout, je vois les résultats à venir comme une simple formalité. Le ciel est voilé. Il fait très doux. Je suis en promenade équestre. J'aime parcourir ces chemins en bordure des prés. Longer les clôtures. Entendre le gazouillis des oiseaux. Cette ambiance bucolique est un enchantement dont je savoure chaque instant. Mon cheval est probablement aussi heureux que moi. Il répond docilement à chacune de mes impulsions. Lui aussi aime quitter le haras pour quelques balades dans la nature de ce début d'été. Une douce excitation m'envahit inexorablement.

    Nous avançons le long du sous-bois. Il y a une voiture garée au bout du chemin forestier. Il est impossible de parvenir jusque là car un large fossé, deux clôtures et des ronces, séparent mon sentier du chemin. Il y a quelqu'un assis au volant, la portière ouverte. Je m'arrête. Je regarde avec curiosité. J'aime avouer mes tendances au voyeurisme dans mes récits. Je serais bien incapable de les avouer dans la vie réelle. Et à qui le ferais-je ? En voilà encore une belle possibilité. Je reste bien droite sur ma monture. Je regarde avec insistance. Je porte mes lunettes noires. Mes larges Ray-Ban qui préservent mon anonymat. J'avance doucement. Je passe sous les branches basses en baissant la tête. Parfois en penchant le buste. Je m'arrête. Je reviens sur mes pas. Ma monture est docile. J'ai l'envie d'être vue. C'est une envie forte.

    C'est un monsieur qui penche sa tête hors de l'habitacle. Une vingtaine de mètres me séparent de l'inconnu. Il m'observe avec attention. Je devine ses interrogations. Pourquoi suis-je là à regarder ainsi, avec tant d'insistance ? Ces situations m'excitent toujours. De me retrouver en présence d'un parfait inconnu, totalement inaccessible, me comble d'aise. Doucement, insidieusement, monte en moi cet irrépressible désir exhibitionniste. Il est apparu depuis quelques mois. Prolongement logique de ma passion pour le voyeurisme. La configuration des lieux permet tous les cas de figure. Un profond fossé dont le fond est inondé d'une eau croupissante. Une clôture de chaque côté. Du fil de fer barbelé. Toutes ces ronces rajoutent encore une protection naturelle.

    Je donne une légère impulsion à mon cheval. Je disparais derrière les fourrés. Je descends de ma monture. Je fixe sa longe au tronc d'un des acacias. Je me touche. Mon pantalon beige d'équitation est aussi moulant qu'un legging. Avec l'excitation, je sens la sueur couler dans mon dos, entre mes seins. Une sueur qui picote le bout de mon nez. Dans ma tenue équestre, aucun détail de mon anatomie n'échappe aux regards éventuels. Je suis chaussée de mes bottes noires. Un T-shirt crème. Je reviens me placer dans l'ouverture des bosquets. Face à la voiture. Cette fois l'homme sort de son véhicule. Il semble plutôt petit. Trapu. Une main en appui sur le toit, il regarde partout autour de lui. Il me voit.

    J'ai défait mes cheveux. C'est pratique pour pouvoir loucher dans toutes les directions tout en restant discrète. Je ne maîtrise pas encore très bien ces pulsions nouvelles. Je réunis mes esprits. Je retiens ma respiration. Je retrouve rapidement le total contrôle de la situation. Je fixe l'inconnu en m'accroupissant juste devant lui. Derrière les verres fumés de mes lunettes. Je suis totalement inaccessible et cette certitude rajoute à mon excitation. Une certaine témérité fait rapidement place au courage nécessaire. Le profond fossé, emplit d'une eau croupissante, la clôture barbelée, les ronces. Infranchissables. Je mémorise bien tous les éléments nécessaires pour rester hors d'atteinte. J'écarte mes cuisses au maximum. Je suis rouge de honte. Je suis couverte de sueur. Ça me picote. C'est si bon.

    J'essaie de me concentrer. Je m'imagine avec les pieds nus dans l'eau froide. J'aimerais bien descendre ce pantalon devenu inconfortable tellement il me colle aux cuisses. Pouvoir faire pipi en étant regardée. Ce fantasme envahi souvent mon esprit. Le moteur de mes masturbations du soir, dans mon lit, avant de dormir. Peines perdues car je sais déjà que je n'aurai pas le courage de faire pipi. L'inconnu se déboutonne doucement. Lui aussi est excité par ce qui se passe là. Je me touche la première. A peine l'extrémité de mes doigts effleurent-ils la couture de mon entrejambes qu'un spasme secoue mon corps. Prise de vertige, bêtement, je perds l'équilibre. Je tombe au sol. Je me sens tellement stupide. Je me redresse. Inutile de me rendre ridicule. Je me sauve. Je reste aux côtés de mon cheval.

    Je scrute avec attention. Il n'y a strictement personne. J'ai la main dans ma culotte. Je suis trop excitée. C'est tellement bon. Je dois faire pipi au point de me tenir des deux mains. Je reviens me mettre entre les bosquets. Juste avant de me positionner bien en vue, je descends mon pantalon, ma culotte. Je m'accroupis devant l'homme qui est toujours là. Ce sont de merveilleux frissons qui parcourent mon dos. C'est ma troisième exhibition délibérée. Encore meilleure que les deux précédentes. L'homme s'avance vers la clôture. Impossible de la franchir, de traverser le fossé, de passer les ronces. C'est rassurant. Cette configuration sécurise ma prestation. La sueur coule dans mes yeux. Ça pique. Je vois en kaléidoscope. C'est gênant. Je m'essuie les paupières avec les index. Je dois avoir l'air conne !

    Il n'y a plus qu'une dizaine de mètres qui nous séparent. Je ne peux évidemment pas faire pipi. Une terrible excitation m'envahit complètement. Je titille mon clitoris. Je n'en n'aurais pas réellement besoin, je pourrais jouir sans même me toucher. L'inconnu descend son pantalon, son slip sur ses genoux. Il tient son sexe en l'agitant dans ma direction. Deux exhibitionnistes qui se font face dans l'ambiance bucolique d'un sous-bois. Je dois prendre appui contre le piquet de la clôture de mon côté. Je suis prise de tels vertiges. C'est si fort ! Les herbes me piquent les fesses. Ou alors des insectes. La sueur qui dégouline doit les attirer. La position devient désagréable car la crampe me guette. Je me concentre pour résister encore un peu.

    L'homme se masturbe doucement en me fixant. Il parle enfin pour lancer : << C'est génial ! >>. Je m'entends répondre : << C'est génial ! >>. Je sens le plaisir m'envahir. Je vais jouir. Il y a le bruit d'un moteur. L'homme remonte précipitamment ses vêtements en s'écriant : << Mon rendez-vous ! >>. Je cesse de me masturber juste avant l'orgasme. Je me lâche. Je pisse en me redressant. Mouillant mes vêtements. Ma culotte et mon pantalon. Ça coule dans mes bottes. Mais quelle horreur. Je déteste être mouillée dans mes habits. Je vais être obligée de supporter cette situation une demi heure, jusqu'à mon retour au haras. Je sens comme un choc dans ma poitrine. Une autre voiture arrive. En remontant ma culotte et mon pantalon trempés, je regarde au travers des branchages. C'est une jeune femme. Le "rendez-vous"...

    Les histoires des autres ne m'intéressent pas. Ce n'est même pas par respect mais par indifférence. Je m'ajuste le plus convenablement, possible. Sans cesser de décoller mon pantalon beige. Bonjour la honte quand je vais revenir avec une auréole plus sombre aux fesses. Je redescends mes vêtements pour m'essuyer avec tous mes mouchoirs en papier. Je monte sur mon cheval. Qu'il est désagréable d'être mouillée sur la selle. Nous repartons. Je reste toutefois sous les émotions de cette nouvelle aventure. Mon excitation est tellement forte que je m'arrête près des ruines d'un cabanon. Je descends du cheval pour me cacher à l'intérieur. Je me masturbe avec une telle ferveur que je m'offre là un orgasme qui me fait tomber à genoux en haletant. Qu'il est bon d'être vue, d'être regardée. Je veux recommencer. J'imagine des "plans". J'ai des vêtements de change dans mon vestiaire au centre hippique.

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    Par défaut Voyeuse autant qu'exhibitionniste

    Je me lance

    J'aime écrire. J'ai des tendances exhibitionnistes parfaitement assumées. Toutefois discrète je m'évertue à ne jamais offenser. J'invite le lecteur à découvrir ma présentation. Je propose de publier sur ce forum régulièrement mes souvenirs sous formes de petits récits concis. Je précise que ce sont toujours des histoires vécues. Dans ce premier écrit je raconte comment tout à commencé. Je vous en souhaite bonne lecture.

    De sensuelles émotions

    C'était il y a quelques années. Je suis dans le box de mon cheval. June. Je le brosse soigneusement. Je suis inscrite dans ce club d'équitation depuis quatre ans. C'est un plaisir de venir monter une à deux fois par semaine. Parfois seule. Parfois avec maman. Un des palefreniers, très mignon, exerce sur ma psyché de curieuses émotions. Il est grand, athlétique. Blond avec des yeux bleus qui me font fondre. Je suis timide. Réservée. Donc extrêmement discrète. Bastien est employé depuis quelques années. Cet après-midi il est occupé à remplir de fourrage les mangeoires. Je l'observe à la dérobée. Mon regard se pose sur cette grosse bosse qui déforme son pantalon beige.

    Je ressens comme une décharge électrique. Un courant qui monte le long de ma colonne vertébrale. Je suis secouée d'un spasme. Il y a comme un déclic dans mon esprit. J'ai soudain le désir fou de montrer à ce garçon l'effet qu'il a sur moi. Je suis grande, maigre et je me trouve moche. Je n'ai aucune confiance en moi. Je voudrais que ce palefrenier tellement séduisant me remarque. Toutes sortes d'idées plus folles les unes que les autres me traversent l'esprit. Je porte un pantalon d'écuyère. Aussi moulant qu'un legging. Me voilà envahie d'une pulsion qu'il m'est impossible de réfréner. Je m'accroupis sous le cheval. J'écarte bien les cuisses.

    Cette position m'excite terriblement. D'ailleurs ce que je suis entrain de faire m'excite terriblement. Si seulement ce garçon pouvait regarder par là. Je reste dans cette position équivoque jusqu'aux limite de l'ankylose. Le sexe du cheval balance devant mon visage. C'est la toute première fois de ma vie que j'exprime ma sexualité larvaire hors de ma chambre. Depuis le début c'est dans le secret de ma chambre. Je suis couverte de frissons. Je sens la sueur couler dans mon dos. Entre mes seins minuscules. Il revient par là. Il va passer le râteau dans le box voisin. Juste une grille qui nous sépare. Je reprends ma position. Une position que j'exagère à dessein. Avec une volonté délibérée qui me procure de folles sensations. Je n'ai jamais fait ça. Jamais ressentie ça.

    Cette fois il me voit. Je baisse immédiatement les yeux. Je fais mine d'être concentrée sur le mouvement de ma brosse. Je tremble. Je me sens honteuse quand je remarque qu'il se penche pour mieux voir. C'est certain. Bastien aussi doit être soudain perturbé. Je dois lutter contre toutes mes inhibitions pour garder ma position. Il regarde avec ostentation. Je sais aujourd'hui que ce garçon avait déjà 24 ans. Je ne peux pas écarter davantage. Et toujours le sexe impressionnant de mon cheval qui balance devant mon visage. Il me permet de loucher par de petits regards furtifs. Je ne peux pas encore comprendre ce que tout cela suscite dans la psyché de ce garçon que je crois aussi "innocent" que moi. Je viens de découvrir que ce sentiment de honte me procure les plus délicieuses sensations. J'en frissonne encore ! En fait après une première expérience, on ne fait plus que reproduire dans le but de revivre cette expérience. Encore et encore. Une quête...

    Maman vient me chercher. Pas un seul instant, en entrant dans le box, elle n'imagine ce qui se passe. Le garçon est d'une extrême discrétion. Il détourne son regard, nous tourne le dos. << Tu es toute rouge et tu transpires ! Qu'est-ce qu'il y a ? Tu es souffrante ? >> me demande maman. Je la rassure. Tout va bien. Je reste silencieuse dans la voiture. Je ne cesse de penser à ce que je viens de vivre. Seule dans ma chambre, après la douche et avant le repas du soir, couchée sur le lit devant le miroir de l'armoire, je me masturbe en me faisant le "film". Je fais défiler dans mon esprit les moments forts. Je viens de découvrir les plaisirs de l'exhibitionnisme.

    À suivre

    Bisou

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