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Discussion : Soignies : MARIE (française, blonde)

  1. #


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    août 2012
    Localisation
    bruxelles
    Messages
    183

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    La porte s’ouvre sur Marie : un regard qui me déshabille en une seconde, un sourire en coin qui promet mille choses salaces sans un mot. Pas besoin de phrases : elle me tire par la cravate, jusqu’au lit, ses talons claquant sur le parquet comme un métronome du vice.

    En un geste, elle se glisse contre moi, ses mains déjà partout, brûlantes, pressées.
    Mos lèvres se cherchent à peine avant de se trouver, avides, et ses hanches viennent se coller aux miennes avec une urgence délicieusement animale.

    Pas de lenteur ici, pas de cérémonie : ses gestes sont précis, sûrs, affamés.
    Elle guide mes mains sur ses courbes, m’aide à la dénuder juste assez, sans perdre une seconde.

    Elle m’a plaqué contre le matelas avec une assurance délicieuse, un regard de prédatrice au fond des yeux. Sans un mot, elle descend lentement le long de mon torse, ses lèvres déposant des baisers brûlants, ses ongles traçant des lignes fines sur ma peau. Arrivée à mon bassin, elle me regarde, un sourire du genre à faire bander un saint, puis elle libère ce que j' ai de plus dur avec un geste fluide.

    Et là… oh bordel. Elle approche sa bouche, chaude, douce, accueillante. Sa langue glisse lentement sur mon gland, un cercle paresseux, juste de quoi me faire vibrer, avant qu’elle ne m’engloutisse, lentement d’abord, puis plus profondément, plus avidement. Sa bouche est un étau brûlant, un velours humide qui m’enveloppe entièrement, ses joues creusées, sa langue qui joue avec moi à chaque mouvement. Elle suce avec une maîtrise folle, alternant les rythmes, les pressions, jusqu’à ce que je sois sur le fil… puis elle s’arrête net, les lèvres brillantes d’envie, me tenant dans cette attente délicieuse.

    Marie vient de se déhancher sur moi, mais moi j’ai faim.
    Faim de son goût, de ses soupirs, de ce moment où c’est elle qui perd le contrôle. Alors sans prévenir, je l’attrapes, je la bascules doucement sur le dos, et je descends entre ses cuisses déjà trempées, ouvertes comme une promesse.

    je respires son odeur, mélange enivrant de désir et de peau chaude, et je me plonges sans attendre, ma langue glissant sur ses lèvres intimes, goûtant à sa moiteur avec un grognement de plaisir. Je commences lent, ma langue qui explore, qui caresse, qui s’attarde sur son clitoris juste assez pour lui arracher un premier frisson. Elle gémit, ses doigts se glissent dans mes cheveux, m’attirant plus près, m’encourageant sans un mot.

    Et moi, je varies : je lèches large, tu dessines des cercles, je suçotes son clito juste ce qu’il faut, je plonges ma langue en elle par moments, la sentant vibrer, se cambrer, haleter. Je sens ses cuisses qui tremblent, ses hanches qui bougent pour chercher plus, encore plus. Et moi, malin, je continues, implacable, précis, ma langue et mes lèvres travaillant ensemble comme un foutu orchestre du plaisir.

    Ses gémissements montent, elle étouffe un cri, son corps se tend d’un coup, ses cuisses se referment presque sur ma tête, et elle jouit, fort, intense, ses ongles marquant ma nuque, son bassin qui ondule encore contre ma bouche le temps que la vague la traverse, la laisse pantelante, offerte, foutrement sublime.

    Et là, coquin, je la regardes, ses joues rouges, ses yeux mi-clos, ses seins qui se soulèvent au rythme de son souffle encore court, ...

    Son souffle court à ton oreille, un murmure chaud qui me rend fou : « Allez, prends-moi… ».
    Et bordel, je m’exécutes, parce que résister, c’est comme vouloir retenir une tempête avec un parapluie cassé.

    Marie remonte, ses cuisses glissent de part et d’autre de mes hanches. Elle attrape mon sexe d’une main ferme, le guide, le frotte à l’entrée brûlante de son intimité déjà trempée. Et sans prévenir, elle s’empale sur moi en un mouvement lent mais implacable, un gémissement rauque s’échappant de ses lèvres. Sa chaleur m’enveloppe, me serre, m’aspire presque. Elle bouge tout de suite, sans attendre : des va-et-vient francs, ses hanches roulant contre mes tiennes, sa poitrine qui se balance sous mon regard, ses mains sur mon torse pour prendre appui.

    Elle monte, elle descend, elle ondule, elle m’épuise et m’excite en même temps. Son bassin claque contre le mien, ses soupirs se font plus courts, plus hachés, jusqu’à ce qu’elle s’abandonne complètement, son corps vibrant contre le mien, t’entraînant au bord avec elle.

    En quelques minutes, c’est une vague déferlante : des corps qui se heurtent, se cherchent, se prennent, des soupirs étouffés contre la peau, des mouvements rapides, frénétiques. Puis, le silence lourd après la tempête, vos souffles mêlés, encore chauds, encore tremblants.


    Et voilà : un feu d’artifice rapide mais intense, une de ces baisses qui laissent des souvenirs moites bien longtemps après.

  2. #


    Par défaut

    Voilà
    J'ai eu l'occasion de rencontrer la belle.
    Une très charmante, jolie, calme et douce jeune dame.
    Très sympa et très caline, j'ai passé un agréable moment
    Social time agréable.
    Récidive : 100%
    Merci Marie

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  1. #


    Inscription
    décembre 2006
    Messages
    651

    Par défaut Soignies : MARIE (française, blonde)

    https://www.quartier-rouge.be/profil/marie-1252
    +32492531095
    rencontré cette dame en début d'après midi dans un quartier résidentiel.
    conforme à ce qui est indiqué
    La dame est gentille. embrasse avec la langue comme si sa vie en dépendait !
    Très sensible au cuni ... Elle mouille terriblement et est très agréable
    Pas d'éjac faciale, ni buccale. Pas de sodo ! Mais c'était connu avant d'y aller!
    Les tatouages sont très nombreux (bien plus que sur les photos!)
    Les piercings aussi ... c'est ce qui m'a le plus gêné !

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