Excellent recit, merci
Excellent recit, merci
Seconde partie de ma virée à Dakar.
Ayant consulté les témoignages sur Youppie, j’ai décidé de faire une visite au PATIO, tout proche de mon hôtel.
J’y suis arrivé à 22H00.
Quelques serveuses assez nonchalantes officient au milieux et sur le pourtour de l’ilot faisant office de bar.
Toutes les 10 minutes, une nouvelle fille arrive…. Qui s’avère être aussi une serveuse.
Si bien qu’à 23 :00, elles sont au moins 7 ou 8 à faire je ne sais quoi : jouer aux cartes, se donner des conseils de maquillage, etc…
Une telle abondance de personnel heurte gravement ma conception de l’efficacité et de la rentabilité.
De plus, l’attente avant d’être servi est interminable.
Moi-même attablé au bar je reçois mon verre après 20 minutes d’attente alors qu’il y a 4 clients dans la salle.
Je commence donc à être sérieusement contrarié par cette ambiance, mais tel le pénitent dans une église, je n’ose élever la voix, tant ce lieux unanimement salué par tous les punters conserve à mes yeux un caractère mythique.
Tout en sirotant mon verre, mon œil d’aigle (ou de chouette) surveille le couloir d’entrée.
A 23H00, « elles » commencent à arriver, dans des tenues qui ne laissent aucun doute sur la nature de leurs activités.
Je décide alors de commander à manger.
J’attends la carte pendant vingt bonnes minutes et finit par commander une entrecôte.
Celle-ci viendra assez vite, et c’est devant une entrecôte digne d’un resto texans que je maintiens ma surveillance de l’entrée
Cela valait le coup d’attendre et je conseille le plat aux amateurs de viande, digne d’une photo pour Sandrine Rousseau.
Au premier coup de fourchette je vois arriver dans l’entrée une créature improbable : immense, taille fine, un cul moulé dans un mini short en jean qui lui rentre dans les fesses. Le haut de son string blanc est parfaitement visible et elle porte un haut minimaliste qui cerne une menue poitrine.
Après avoir salué chacune des serveuses, elles s’assied en face de moi, de l’autre côté du bar.
Putain il me la faut !
J’entreprends donc de terminer cette entrecôte rapidement avant que quelqu’un ne mette le grappin sur celle que j’ai décidé de mettre dans mon lit.
J’en viens à regretter la taille du plat et c’est à contrecœur que je lâche l’affaire et en laisse une bonne partie dans l’assiette, décidé à mettre la main sur cette créature.
Par chance, elle est restée seule et je viens lui demander la permission de m’installer à ces côtés, proposition à laquelle elle me répond souriante : « mais bien sûr ».
AMINA est son prénom. 26 ans, elle vient de Sally et exerce la profession de mannequin.
Bien entendu elle ne vient pas souvent à cet endroit mais ce soir elle se sentait seule.
Assis à côté d’elle sur une chaise de bar, je comprends que son fémur est plus long que le mien. Nous comparons nos tailles debout. Je fais 1.85m et elle me dépasse largement avec ses talons. L’enserrant par la taille je lui demande si elle souhaite passer la soirée avec moi.
- « ça dépend »
- De quoi ?
- du cadeau….
- Tu veux me faire un cadeau ?
Elle éclate de rire et m’enlace le cou avec ses bras immenses et m’administre une galoche à laquelle je ne m’attendais pas.
- Elle : 60000.
- Moi : 40000
- D’accord, mais je rentre à 2H00
C’est OK pour moi, car je préfère dormir seul, et non pas accompagné par une créature inconnue.
Non sans lui avoir payé sa conso, nous partons donc bras dessus / bras dessous vers la sortie.
Un taxi est déjà là : j’adore l’Afrique pour cela aussi car j’ai besoin d’un taxi là, maintenant, tout de suite et il est là.
Elle me chauffe bien dans le taxi, je caresse sa peau douce, elle commence à porter sa main sur mon paquet et serrant les mains en rythme.
Elle me regarde tendrement mais avec aussi un petit regard mutin. Elle est très GFE mais je comprends aussi que je vais bien m’amuser.
Arrivé à l’hôtel, je sors le premier du taxi et aide AMINA à en sortir. Elle extirpe ce long corps d’apparence fragile de la DACIA et finit debout devant le garde à l’entrée de l’hôtel.
Après l’avoir regardé de haut en bas, dans un grand sourire, le garde me lâche : ce soir, c’est vous le patron !
Après avoir laissé sa carte à l’accueil, je suis AMINA, comprenant à quel point Georges Clemenceau avait raison lorsqu’il disait : Le meilleur moment de l'amour, c'est quand on monte l'escalier.
A peine la porte refermée, AMINA m’administre un baiser fougueux : bouche grande ouverte, sa langue dans mes amygdales, emprisonnant ma tête contre ses lèvres grâce à ses longs bras.
Pas le petit baiser asiatique, la bouche en cul de poule.
Pas le petit baiser craintif et non assumé.
NON : Un bon gros patin baveux à souhait, sans retenue, comme on les aime.
Je commence à la déshabiller fougueusement mais je comprends que retirer ses chaussure sera difficile.
Comme elle doit peser au maxi 45Kg, Je la prends par la taille et la jette sur le lit : en effet, le cuir de la lanière de ses chaussures est difficile à faire glisser dans le boucle, mais je finis par y parvenir.
Allongée sur le dos, les jambes tendues et écartées durant mon ouvrage, elle commence à se caresser doucement puis de façon plus frénétique.
Le chaussures enlevées, je lui agrippe le haut du short mais c’est avec son aide que je dois retirer ce tissu moulé sur sa taille en amphore.
Le haut a disparu dans l’action.
Je la vois souriante sur le lit, nue jambe écartée. Elle se caresse devant un parfait inconnu. La chair rose claire de son entrejambe contraste singulièrement avec le teint sombre de sa peau.
Elle est magnifique et j’ai envie de lui bouffer l’entrejambe.
Je l’entraine dans la douche pour un savonnage mutuel. C’est un moment que j’apprécie toujours. La taille de la douche est très correcte et permet de le faire sans soucis.
Après un essuyage mutuel, je la dirige vers le lit et commence un cunnilingus dans les règles de l’art.
Elle non plus ne semble pas être habituée à l’exercice, mais elle aime cela c’est très clair.
Ses jambes sur mes épaules, je lui polis l’entrejambe
Je la retourne et lui cale les reins sur un oreiller et lui polis le petit pendant qu’elle me dit : « tu es fou, tu es complètement fou ».
Je bande comme un taureau et je m’allonge sur le dos. Elle comprends parfaitement le message et entreprend une fellation d’une douceur incroyable. Sa bouche pulpeuse forme une sorte d’édredon dont elle se sert pour flatter mon pénis et mes bijoux de famille entre deux gobages. C’est divin et je suis surpris par cette dextérité. A 26 ans, sa connaissance du plaisir masculin est inouïe. Beaucoup de femmes de 50 ans devraient en prendre de la graine.
Son rythme devenant plus saccadé, je comprends que cette tâche la fatigue et entreprend de la pénétrer.
Mise en place du préso et c’est parti pour un missionnaire, comme dans le manuel, puis ensuite de face, elle avec les jambes retroussées.
En plus d’être grande, elle est aussi très athlétique. Ses pieds sont largement au-dessus de ma tête. M’amusant de cette situation, je la compare à une girafe.
Elle éclate de rire, ce qui contacte ses muscles vaginaux dont je vous assure qu’ils sont d’un tonus remarquable.
Nous passons là un magnifique moment et je finis par envoyer ma première cartouche.
J’ignore si elle a joui, mais après le retrait du préso, elle se love contre moi. Je lui caresse les seins et le ventre. Son grain de peau est d’une douceur remarquable.
Au-delà de tout cela, je constate surtout qu’elle se blottit contre moi comme un petit animal chétif recherchant la chaleur, me caressant le bras et m’embrassant la main.
Après quelques minutes de cette douce étreinte, popaul reprend de la vigueur et vient de loger contre ses fesses. Comme surprise par cette situation, elle bouge légèrement et entreprend de me branler doucement.
Une fois bien durci, elle recommence une superbe fellation, les yeux dans les yeux.
Après re-enfillage du préso, s’ensuivent plusieurs positions : sur le côté, en levrette, reverse cow-girl, entrecoupées de séances de caresses buccales.
Après une seconde cartouche, elle vient encore se lover dans mes bras et discutons de sa vie, de ses envies, etc…
Vers 1H30, repus et incapable d’en faire plus, je lui propose d’en rester là et lui remets la somme convenue.
Elle se rhabille et se remaquille : probablement pour fournir du plaisir à un autre veinard avant le bout de la nuit.
Je garde de cette expérience un souvenir magique : AMINA a un corps sublime mais c’est surtout son attitude GFE, sa douceur et son implication sexuelle parfaite qui resteront gravées dans ma mémoire.
Le lendemain, durant ma dernière soirée à DAKAR, je ne suis pas revenu au PATIO, de crainte de croiser AMINA au bras d’un autre homme.
Je ne suis pas amoureux, je souffre seulement d’un instinct de possession et pendant ces quelques heures, AMINA était à moi seul et j’en ai bien profité.
CONCLUSION :
- Hôtel MADRAGUE très bien pour notre activité
- Dakar et la drague de rue : Cela marche bien mais il faut y consacrer du temps et de l’énergie
- Casino Cap Vert : l’expérience que j’en ai est mitigée mais peut-être pas représentative.
- PATIO : parfait MAIS ne pas arriver trop tôt.
A partir de 23H30, c’est cool. Avant c’est mort.
- Les Taxis : Super bien, accueillants, pas chers, pas collants.
- Les filles sont opens, parfois très GFE et ont la peau douce
Ce pays, c’est le pied.
vraiment un très beau pays avec des filles vraiment magnifiques, la meilleure boite de nuit et là ou il y a les plus belles filles c'est le casino du cap vert !!!!!
musique agréable, patron et videur cool, bonne ambiance et vraiment de belles filles !!!! sinon skynet aussi et plutot bien mais moins classe, sinon en journée il y a les bar dans les grands hotels (café de rome......) et puis pour pas cher les bars de centre ville mais attention aux filles pas trop belles et puis tu n as meme pas le temps de t'asseoir que tu en as deja une sur les genoux . les tarifs pour le casino du cap vert entre 30 000 et 50 000 CFA suivant la beauté de la fille ,l heure où tu la prends, et le monde dans la boite plus chère le we !!![]()
moi j'y retourne bientot !!!!!!!!!
le mieux c est de prendre des num de tel en debut de séjour, tu sympatise et tu niques gratos juste resto et quelques petits cadeaux (comme en france)