Bonjour Varona, quel plaisir de vous lire ! Vos aventures éveillent tous mes désirs et quelle chance de vire de telles émotions.
Bonjour Varona, quel plaisir de vous lire ! Vos aventures éveillent tous mes désirs et quelle chance de vire de telles émotions.
Bonjour Valona,
Je prends toujours beaucoup de plaisir à lire vos récits. Ce dernier dépasse les autres; non pas par la qualité de l'écrit (la qualité de votre prose est vraiment bonne depuis le début) mais plutôt par l'intensité qui s'en dégage. Il y a également un teasing qui génère un sentiment d'attente et de frustration par rapport à une suite que j'espère rapide...
Encore merci pour vos partages
Je me lance
J'aime écrire. J'ai des tendances exhibitionnistes parfaitement assumées. Toutefois discrète je m'évertue à ne jamais offenser. J'invite le lecteur à découvrir ma présentation. Je propose de publier sur ce forum régulièrement mes souvenirs sous formes de petits récits concis. Je précise que ce sont toujours des histoires vécues. Dans ce premier écrit je raconte comment tout à commencé. Je vous en souhaite bonne lecture.
De sensuelles émotions
C'était il y a quelques années. Je suis dans le box de mon cheval. June. Je le brosse soigneusement. Je suis inscrite dans ce club d'équitation depuis quatre ans. C'est un plaisir de venir monter une à deux fois par semaine. Parfois seule. Parfois avec maman. Un des palefreniers, très mignon, exerce sur ma psyché de curieuses émotions. Il est grand, athlétique. Blond avec des yeux bleus qui me font fondre. Je suis timide. Réservée. Donc extrêmement discrète. Bastien est employé depuis quelques années. Cet après-midi il est occupé à remplir de fourrage les mangeoires. Je l'observe à la dérobée. Mon regard se pose sur cette grosse bosse qui déforme son pantalon beige.
Je ressens comme une décharge électrique. Un courant qui monte le long de ma colonne vertébrale. Je suis secouée d'un spasme. Il y a comme un déclic dans mon esprit. J'ai soudain le désir fou de montrer à ce garçon l'effet qu'il a sur moi. Je suis grande, maigre et je me trouve moche. Je n'ai aucune confiance en moi. Je voudrais que ce palefrenier tellement séduisant me remarque. Toutes sortes d'idées plus folles les unes que les autres me traversent l'esprit. Je porte un pantalon d'écuyère. Aussi moulant qu'un legging. Me voilà envahie d'une pulsion qu'il m'est impossible de réfréner. Je m'accroupis sous le cheval. J'écarte bien les cuisses.
Cette position m'excite terriblement. D'ailleurs ce que je suis entrain de faire m'excite terriblement. Si seulement ce garçon pouvait regarder par là. Je reste dans cette position équivoque jusqu'aux limite de l'ankylose. Le sexe du cheval balance devant mon visage. C'est la toute première fois de ma vie que j'exprime ma sexualité larvaire hors de ma chambre. Depuis le début c'est dans le secret de ma chambre. Je suis couverte de frissons. Je sens la sueur couler dans mon dos. Entre mes seins minuscules. Il revient par là. Il va passer le râteau dans le box voisin. Juste une grille qui nous sépare. Je reprends ma position. Une position que j'exagère à dessein. Avec une volonté délibérée qui me procure de folles sensations. Je n'ai jamais fait ça. Jamais ressentie ça.
Cette fois il me voit. Je baisse immédiatement les yeux. Je fais mine d'être concentrée sur le mouvement de ma brosse. Je tremble. Je me sens honteuse quand je remarque qu'il se penche pour mieux voir. C'est certain. Bastien aussi doit être soudain perturbé. Je dois lutter contre toutes mes inhibitions pour garder ma position. Il regarde avec ostentation. Je sais aujourd'hui que ce garçon avait déjà 24 ans. Je ne peux pas écarter davantage. Et toujours le sexe impressionnant de mon cheval qui balance devant mon visage. Il me permet de loucher par de petits regards furtifs. Je ne peux pas encore comprendre ce que tout cela suscite dans la psyché de ce garçon que je crois aussi "innocent" que moi. Je viens de découvrir que ce sentiment de honte me procure les plus délicieuses sensations. J'en frissonne encore ! En fait après une première expérience, on ne fait plus que reproduire dans le but de revivre cette expérience. Encore et encore. Une quête...
Maman vient me chercher. Pas un seul instant, en entrant dans le box, elle n'imagine ce qui se passe. Le garçon est d'une extrême discrétion. Il détourne son regard, nous tourne le dos. << Tu es toute rouge et tu transpires ! Qu'est-ce qu'il y a ? Tu es souffrante ? >> me demande maman. Je la rassure. Tout va bien. Je reste silencieuse dans la voiture. Je ne cesse de penser à ce que je viens de vivre. Seule dans ma chambre, après la douche et avant le repas du soir, couchée sur le lit devant le miroir de l'armoire, je me masturbe en me faisant le "film". Je fais défiler dans mon esprit les moments forts. Je viens de découvrir les plaisirs de l'exhibitionnisme.
À suivre
Bisou