Pour changer de crèmerie, j'ai repris le chemin de ce salon qui inaugure la série d'établissements du même type rue des Eperonniers. Glorieuse incertitude des masseuses chinoises, je suis tombé sur "Lucie", une dame dans la soixantaine apparemment, que j'avais déjà aperçue ailleurs dans le quartier. Elle rechigne au massage fort sans huile, ce qui ne pose pourtant aucun problème dans la plupart des salons que je fréquente. Comme j'insiste, elle s'y résoud de plus ou moins bonne grâce. Après m'avoir retiré mon slip (un test toujours amusant), elle tâte rapidement le terrain quant à mes envies de "là aussi". Je feins un total désintérêt pour la chose et Lucie poursuit donc son massage, pas particulièrement remarquable, sans être non plus en dessous de la norme.
Une fois achevée la partie "recto", elle revient à la charge et, face à mon désintérêt pour la branlette, elle se montre prête à baisser son tarif jusqu'à... 5 euros (bon à savoir). L'air dégagé, je mentionne le mot "sexe" dans la conversation et le regard de la dame s'illumine. Elle entame les négociations mais je campe fermement sur ma proposition de 50 euros. Elle sort chercher un capuchon en latex et entame la chevauchée en grimaçant tout du long. Manifestement, elle n'a pas aimé ça bien que je n'aie rien de la brute au membre surdimensionné. Malgré tout, elle a tenu à me donner son numéro en vue d'une récidive qui, je le crains, se fera attendre.