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Discussion : Voyeuse autant qu'exhibitionniste

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    Par défaut Premiers petits frissons exhibitionnistes

    Épisode 16

    Un petit frisson exhibitionniste - Opus 1

    Je tire ce récit de mon Blog. Toujours avec la formule du "copié/collé". Nous sommes en juin 2020. Bientôt les vacances. Je suis à bicyclette sur la petite route qui va du centre hippique au bourg. Deux kilomètres. Il y a une chapelle sur la droite, juste avant le dernier virage. Il y a quelques voitures garées là. Je suis une fille d'un naturel curieux. Je prends le chemin qui contourne le mur du cimetière. Je pose mon vélo contre le socle du calvaire. Il y a des gens qui s'affairent. Certainement une exposition de peinture ou de sculpture. J'entre dans la chapelle rarement ouverte. Le lieu est désacralisé. Je suis déjà venue assister ici à des concerts, des représentations théâtrales ou encore à des expositions d'Arts.

    Il y a des toiles suspendues à des cimaises provisoires. Des sculptures posées sur des socles en résine imitant la pierre. Je suis assise sur un des trois bancs. J'observe avec intérêt les allées et venues. Un monsieur me demande si je participe à l'exposition de dimanche. 12 mai. Je le rassure. Je ne fais que regarder. Il bavarde un peu avec moi. Il est membre d'une association qui organise de petites manifestations culturelles dans les lieux de cultes de la région. Je l'écoute narrer des souvenirs d'évènements passés. J'écoute avec beaucoup d'intérêt. Cet homme sait rendre ces récits passionnants. J'apprécie son léger accent méridional. Un peu chantant. Surtout sur les syllabes à voyelles ouvertes.

    Il me laisse pour aller rejoindre une dame qui dépose des objets dans une sorte de vitrine. Il y a un jeune homme très élégant qui vérifie l'alignement des toiles fixées sur la gauche. Je suis en jupette sport. De lycra beige. J'écarte un peu mes cuisses. Il regarde quelquefois dans ma direction. Je fais semblant de feuilleter un des fascicules proposés aux visiteurs. Je porte mes lunettes de soleil. De larges Wayfarer de chez Ray-Ban. De larges verres fumés. Elles ne préservent pas seulement mon anonymat mais également l'orientation de mes regards. Je peux donc loucher tout à loisir sans que personne ne s'en doute. Et partout où je le souhaite. J'excelle dans ce genre de pratiques assez tendancieuses. Je suis vicieuse et je l'assume en toutes circonstances. C'est tellement excitant.

    J'aimerai retirer ma culotte pour rajouter un peu de piment à mon stratagème. Je grelotte. L'intérieur de la chapelle n'est pas à la température extérieure. La fraîcheur y devient désagréable. Je me contente d'écarter mes cuisses encore davantage. Je sais qu'on voit le coton blanc de ma culotte. Toujours en faisant semblant d'être concentrée mais à présent sur l'écran de mon I-phone je reste immobile. Le jeune homme est le seul à pouvoir s'apercevoir de mon attitude quelque peu équivoque. Il ne s'en prive d'ailleurs pas. Il me croit absorbée dans quelques images ou encore quelques lectures. Derrière mes Ray-Ban, je vois tout. Je reste encore quelques minutes. Je suis morte de froid. De rester une minute supplémentaire est au-dessus de mes possibilités. Je salue les gens présent et je m'en vais.

    Je retrouve le soleil avec joie. Je suis assise sur le muret à côté de mon vélo. J'ai une jambe relevée. Impossible de ne pas avoir une vue parfaite sur ma culotte. Sur le blanc fluorescent de son coton. Je fais dépasser souvent les poils de chaque côté. J'ai une toison pubienne volontairement dense. Il suffit de glisser l'index sous la couture pour extraire de la pilosité. Je reste ainsi un moment avec le secret espoir que le type sorte. Cette attente me rend intérieurement fébrile. Je me surprends même à ressentir une impatience intérieure. Que ce garçon sorte ! Qu'il tombe sur le spectacle. Pourtant mon attitude de tout à l'heure était claire et prometteuse ! Hélas, c'est une des deux vieilles dames qui me surprend ainsi. Je me sens ridicule. Je fais un sourire gêné. Je monte sur ma bicyclette et je file à toute vitesse.

    Je longe le chemin qui contourne les jardins de l'entreprise agricole à la sortie du bourg. Je prends le sentier qui serpente entre les bosquets, les fourrés et les cabanons jusqu'aux deux étangs. Je passe souvent par ici à cheval. Aujourd'hui, je profite des rayons du soleil pour y passer à bicyclette. Mon VTC qui m'emmène partout sans véritables difficultés. Nous sommes samedi. Il n'est que 16 h. Je reste sur la délicieuse impression de ma petite exhibition de la chapelle. Même si l'une de ces deux dames, sans doute fort honorables au demeurant, a quelque peu dérangé ma stratégie. Je m'arrête quelques instant pour goûter aux cerises que semblent me tendre les branches. Elles sont grosses, noires, juteuses et réellement délicieuses.

    Je contourne la barrière. Il y a plein de vaches dans le pré. Elles me regardent passer en mâchant. Je m'arrête pour leur chanter des paroles improvisées sur un air de comptines d'école maternelle. Mon "public" m'écoute avec attention. M'observe avec curiosité. Je continue mon chemin. Je longe le premier étang. Il doit faire 150 mètres de large sur environ 200 mètres de long. Peu importe. Là-bas, il y a un pêcheur. Ces passionnés de poissons éveillent toujours en moi de curieuses pulsions. Tout particulièrement lorsque j'en croise au hasard de mes pérégrinations. Celui-là n'échappe pas à cet étrange phénomène. Je reste dissimulée derrière les épais buissons aux fleurs jaunes. Je sors la petite paire de jumelles. Elle grossit 8 fois. Suffisamment pour voir que le pêcheur a probablement la soixantaine.

    Il est seul. Il est concentré sur le flotteur jaune de sa ligne. Entouré d'un matériel assez conséquent. Plusieurs cannes à pêche posées sur des supports. Il est assis dans une sorte de chaise longue et inclinable en toile. Il est vêtu d'un vêtement de camouflage comme en portent les militaires. Je scrute avec attention partout. Il n'y a strictement personne. Je suis une voyeuse incorrigible. J'aime à rester cachée. Je l'ai fais tant de fois. En ces instants, une fois encore, la gradation de mon plaisir me procure de délicieuses sensations. Quand j'étais petite, j'en culpabilisais. Aujourd'hui, à dix neuf ans, majeure j'en raffole en l'avouant. Je ne culpabilise plus du tout mais il subsiste "l'interdit" imposé par la morale. Et cet interdit peut quelquefois s'avérer étourdissant.

    Je retire ma culotte. Je tourne mon vélo vers le sentier. Au moindre souci, je n'ai qu'à monter dessus et à filer à toute vitesse dans la légère descente. Je contourne le buisson. Je m'accroupis au bord de l'eau. Je pourrai y tremper la main. Je porte mes larges lunettes noires de soleil. Mes longs cheveux défaits. Parfaitement anonyme. J'en suis à ma seconde tentative au bord de l'eau. À ma seconde expérience. Je n'ai fait ça qu'une fois l'année dernière. C'était un peu brouillon. Là, hors de question de gâcher l'opportunité qui se présente. Je suis bien plus "affutée" et emplie d'une assurance que je crois à toute épreuve. De délicieux frissons commencent à m'animer. Ce sont ces moments où il est important de garder toute ma lucidité. Cela peut s'avérer d'une importance capitale. Je préfère toujours anticiper.

    Derrière mes verres fumés je peux donc loucher tout à loisir. Le pêcheur vient de lever les yeux. Il m'aperçoit. Je garde la tête baissée. Je fais semblant de regarder au sol, entre mes pieds. Les cuisses largement écartées, je suis en position "pipi". Le pêcheur n'est qu'à une cinquantaine de mètres à vol d'oiseau. L'étang nous sépare. Infranchissable. Je suis prête à déguerpir au moindre risque. L'inconnu reste confortablement assis dans son transat. Il regarde avec intérêt dans ma direction. Je me concentre. Je veux faire pipi dans l'eau. Je suis rapidement trop excitée, peut-être trop sur mes gardes, car je n'y parviens pas. C'est dommage, j'en ai vraiment une grosse envie. Je reste dans cette position un long moment. Seconde déconvenue. Impossible de faire pipi. C'est rageant.

    Les fourmis me gagnent. L'ankylose me guette. Le pêcheur ne bouge absolument pas. A présent j'ai relevé la tête. Je le fixe effrontément. Derrière mes lunettes. Je suis obligée de me redresser. Je masse mes jambes presque douloureuses. Surtout les mollets. L'homme me fait un signe amical de la main. Un coucou. Je fais de même. Voilà un second personnage qui arrive. Il trimballe du matériel de pêche. Un collègue. Une connaissance. Il serre la main à l'homme toujours assis. Je remets ma culotte. Je monte sur ma bicyclette. J'ai une de ces envies de faire pipi ! Je m'arrête un peu plus loin. Entre les cabanons de jardin. Je me soulage enfin. Avec une légère frustration. Je me masturbe en me refaisant mentalement les deux films. Le garçon de la chapelle. Le pêcheur.

    Je me promets de m'entraîner jusqu'à parvenir à mes fins. Je veux absolument être vue entrain de pisser. Vraiment. Ce n'est plus seulement un fantasme récurrent mais une volonté. Une décision inébranlable. Je partagerai mes tentatives et mes expériences à la suite de ce récit. Aujourd'hui, à vingt quatre ans, je peux faire pipi devant des inconnus dans des conditions de sécurité totale. Mais il est amusant de partager avec mes lecteurs mes premières tentatives. Il y aura bien évidemment des suites. J'adore m'exhiber virtuellement par l'écrit autant que j'aime le faire dans le monde réel. Amusons-nous...

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    Épisode 15

    Monsieur Simon - Opus 6

    Ce vendredi après-midi clôt d'une certaine manière cette semaine de vacances de la Toussaint. Il pleut depuis dix heures ce matin. La météo est à présent épouvantable. Fort heureusement j'ai couru vers huit heures lorsque le ciel était encore peu nuageux. Un agréable jogging. J'ai travaillé deux heures à mes révisions, à mes cours. J'aime réserver de belles surprises culinaires à mes parents. Je prépare un gratin d'aubergine et de courgette avec des champignons de Paris. C'est simple, rapide et gouteux. Je lave, je coupe en fines rondelles. Je les place en domino dans le grand plat de terre cuite. Je recouvre d'une copieuse couche de gruyère de Comté. De la chapelure. Au four pendant que je prépare l'assaisonnement d'une salade d'endives. Il est midi trente quand nous savourons de délicieux repas. Ce soir il suffira de réchauffer les restes avec des tomates farcies. J'ai les félicitations de papa et de maman.

    Dans ma chambre, je me prépare. J'aime faire un tour à la bibliothèque municipale puis flâner un peu en ville. M'offrir un chocolat chaud dans un de mes salons de thé préférés. Je termine en général par un petit tour à la FNAC avant de rentrer. Je prépare la paire de jeans, le chemisier et le pull que je vais mettre. En étudiant ma tenue dans le grand miroir de l'armoire, j'ai soudain une idée. Ce miroir m'inspire. Et pas seulement lorsque je l'interroge : << Miroir, suis-je la plus belle ? >>. Il me vient soudain à l'esprit l'idée d'une "canaillerie". Et si je téléphonais à monsieur Simon ? Il serait très certainement très content de me voir. Il serait une compagnie parfaite devant ce bon chocolat chaud. Et puis je pourrais vivre ces émotions qui me font frissonner quand je suis en sa présence. Avec ce temps déplorable inutile d'envisager d'être à l'aise en jupe. C'est bien dommage. L'inspiration me gagnerait.

    Je compose le numéro de ce cher professeur à la retraite. J'appelle toujours avec la fonction "secret d'appel". Je suis soucieuse de préserver mon anonymat. Ma vie privée. Seules deux copines de l'université et Jonathan peuvent me joindre en plus de ma famille, du centre équestre, du club de karaté et de la direction de la Faculté. Monsieur Simon est ravi. Véritablement enchanté. Nous nous fixons rendez-vous pour quatorze heures trente à la bibliothèque. Il n'est que treize heures trente. Je suis habillée. Je noue mon écharpe, j'enfile mon imperméable. Mes bottines. Je dévale les escaliers. Un bisou à maman, à papa. Ils sont tous les deux au salon à trier les photos de leurs croisières en mer cet été. Je rentrerai pour dix huit heures trente. J'insiste pour m'occuper des tomates farcies pour ce soir. Il y a une dizaine de kilomètres sur l'étroite route communale jusqu'à la zone commerciale. Là-bas, sur la gauche, les bâtiments de mon université. Je gare ma voiture sur le parking de la bibliothèque. Je ramène les deux livres empruntés vendredi dernier.

    Il y a peu de monde en cet après-midi pluvieux. C'est les vacances. Je ne vois pas les étudiants habituels. Je traverse la grande salle pour me rendre dans les rayons Histoires et Géographies. Totalement déserts. J'aime me masturber discrètement en cet endroit. Il me suffit de me remémorer les rencontres parfois surprenantes que j'y ai faites. Notamment celle avec monsieur Simon. En regardant distraitement les ouvrages, je me fais quelques films de situations vécues ici. C'est très excitant. Quand je retire mes doigts humides de ma culotte, pour les humer, mon excitation monte encore d'un cran. Penchée en avant pour scruter dans les espaces entre les bouquins je peux surveiller. Le voilà. Dans son manteau noir un peu élimé. Son vieux costume de velours noirs façon "prof de gauche". Alors qu'il se défend pourtant d'éprouver la moindre sympathie pour cette tendance.

    Je me touche. Mon jeans déboutonné. J'ai déjà préparé le scénario de la rencontre de cet après-midi. Je me positionne. Je vais me faire surprendre de dos, un livre léger dans la main gauche, la main droite dans ma culotte. << Bonjour Valona ! >>. Je me retourne en jouant parfaitement l'étonnement. << Bonjour monsieur ! >>. Monsieur Simon n'est peut-être plus vraiment dupe de mes extravagances. Il me demande : << Que peut-il bien y avoir d'excitant dans un ouvrage sur l'Auvergne ? >>. Je pose le livre en souriant sans répondre. Je retire la main de mon pantalon. Debout, je dois le retenir des deux mains. Quand il déboutonne son manteau, je découvre qu'une fois encore son sexe dépasse de sa braguette ouverte. Je baisse les yeux un peu gênée. Là, je ne joue pas. C'est une authentique réaction. << Que diriez-vous d'un petit tour en voiture ? >> demande encore mon interlocuteur. J'hésite vraiment. Surtout avec cette météo. << Comme la dernière fois ! >> rajoute t-il en agitant son sexe dans ma direction. Je m'entends répondre timidement sans oser croiser son regard : << Oui ! >>. Je referme mon jeans.

    Pour n'éveiller aucune curiosité inutile, nous traversons la salle séparément. Je descends le grand escalier. J'ouvre mon parapluie. Je sors du bâtiment. Je fais quelques pas le long de la grille. Monsieur Simon me rejoint. << Venez, ma voiture est sur le parking ! >> dit il. Je ne précise évidemment pas que la mienne s'y trouve également. Nous traversons l'avenue. Je m'installe confortablement sur le siège passager de la Tesla. Monsieur Simon s'assoit au volant. Je jette un furtif regard sur sa braguette. Son sexe toujours apparent. Fripé, laid et pourtant terriblement excitant. Une sorte de limace peu appétissante. Une véritable invitation à la luxure pourtant. Il démarre. Il roule doucement. Nous prenons la direction des faubourg. << Je connais un endroit très inspirant ! >> me confie mon chauffeur. De sa main droite il tient son volant. De sa main gauche il se tripote. Je n'ose pas tourner la tête. Il passe sa main droite sous mes cheveux pour me saisir la nuque. D'une poigne ferme il me force à me pencher entre son ventre et le volant. L'odeur forte de son sexe si près de mes narines. Ça me dégoûte. Ça schlingue, c'est ignoble.

    Pourtant, je n'oppose pas de réelles résistances. Je me retrouve à mâchouiller les peaux fripées de son prépuce. Le gout acide, légèrement vinaigré, puis amer me procure un haut le cœur. Pourtant j'essaie de passer ma langue entre cette peau et le méat. Je titille l'extrémité, juste à l'ouverture du trou. Monsieur Simon commente les rues que nous empruntons. L'excitation me gagne. Je suce à présent franchement. Prise à mon propre jeu. << Vous êtes la jeune fille la plus adorable qu'il m'ait été donné de rencontrer ! >> murmure monsieur Simon. Je cesse. Je me redresse pour demander : << Parce que je fais ça ? >>. Monsieur Simon éclate de rire avant de répondre : << En partie oui ! Mais vous êtes tellement passionnante. Captivante. Et je ne parle pas de votre côté sexy. Votre intelligence attise ma curiosité ! >>. Comme gênée, mais flattée, je retourne à ma fellation. Mes efforts sont rapidement récompensés des premières coulées. Ça me colle dans la bouche. C'est particulièrement épais et gluant aujourd'hui. Pâteux. C'est à la fois si excitant et tellement répugnant. J'en ai des frissons.

    La voiture s'arrête. En déglutissant avec peine je me redresse. C'est un grand bâtiment à l'abandon. Je suis déjà venue rôder ici à plusieurs reprises sur ma bicyclette à la belle saison. Je connais parfaitement les lieux. Nous sortons de l'auto. Je fais semblant de découvrir. Il y a une équipe d'ouvriers autour de grandes grilles ouvertes. Leur présence est rassurante. Nous les saluons pour entrer dans ce grand hangar où, plus jeune, je tournais à vélo en poussant des cris. Ça résonnait très fort et ça m'amusait. Il y a les anciens vestiaires au fond. Sur la droite, les sanitaires, douches et WC. Le carrelage du sol défoncé. Les miroirs cassés. Des cuvettes de toilettes arrachées. Une vision "Urbex" assez déprimante. C'est là que monsieur Simon ouvre son pantalon. Il le descend avec son slip jusqu'à mi cuisses en disant : << Suce ! >>. Sa réaction me choque. Il n'a pas besoin de s'adresser à moi de cette manière. Ça façon de me tutoyer me déplaît. C'est un peu comme si cet homme cassait subitement un jouet. J'ai envie de m'enfuir.

    Il agite son sexe dans ma direction. À l'extérieur nous entendons les voix des ouvriers. Sans doute une perceuse. Je reste debout, les bras ballants. D'être là, dans cette situation me paraît soudain surréaliste. << Suce petite salope ! >> répète t-il. Je me demande si je ne vais pas m'en aller en courant. Je fais quelques pas vers la porte. Il insiste. Je me retourne. Il pisse en rajoutant : << Tu connais ? Tu as déjà goûté ? >>. J'ai un haut le cœur, un profond sentiment de dégoût. Je dis : << Ramenez-moi s'il vous plaît ! >>. Monsieur Simon reste un gentleman. Il cesse, secoue quelques gouttes avant de remonter ses vêtements. Nous retournons à la voiture. Les ouvriers nous observent d'une curieuse manière. Cette fois, je reste bien droite sur mon siège. Prête à sauter de l'auto à chaque feu rouge, à chaque stop. Je m'inquiète pour rien. Monsieur Simon reste silencieux. Ce n'est que lorsqu'il se gare sur le parking qu'il dit : << Si je vous ai froissé, veuillez m'en excuser. Je ne recommencerai jamais ! >>. En sortant de la voiture je réponds : << Vous êtes tout excusé ! >>. J'attends sous mon parapluie qu'il soit parti. Je rejoins ma voiture en m'entourant de toutes les précautions. En roulant, sur le retour, je me touche...

    À bientôt

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    Par défaut Voyeuse autant qu'exhibitionniste

    Je me lance

    J'aime écrire. J'ai des tendances exhibitionnistes parfaitement assumées. Toutefois discrète je m'évertue à ne jamais offenser. J'invite le lecteur à découvrir ma présentation. Je propose de publier sur ce forum régulièrement mes souvenirs sous formes de petits récits concis. Je précise que ce sont toujours des histoires vécues. Dans ce premier écrit je raconte comment tout à commencé. Je vous en souhaite bonne lecture.

    De sensuelles émotions

    C'était il y a quelques années. Je suis dans le box de mon cheval. June. Je le brosse soigneusement. Je suis inscrite dans ce club d'équitation depuis quatre ans. C'est un plaisir de venir monter une à deux fois par semaine. Parfois seule. Parfois avec maman. Un des palefreniers, très mignon, exerce sur ma psyché de curieuses émotions. Il est grand, athlétique. Blond avec des yeux bleus qui me font fondre. Je suis timide. Réservée. Donc extrêmement discrète. Bastien est employé depuis quelques années. Cet après-midi il est occupé à remplir de fourrage les mangeoires. Je l'observe à la dérobée. Mon regard se pose sur cette grosse bosse qui déforme son pantalon beige.

    Je ressens comme une décharge électrique. Un courant qui monte le long de ma colonne vertébrale. Je suis secouée d'un spasme. Il y a comme un déclic dans mon esprit. J'ai soudain le désir fou de montrer à ce garçon l'effet qu'il a sur moi. Je suis grande, maigre et je me trouve moche. Je n'ai aucune confiance en moi. Je voudrais que ce palefrenier tellement séduisant me remarque. Toutes sortes d'idées plus folles les unes que les autres me traversent l'esprit. Je porte un pantalon d'écuyère. Aussi moulant qu'un legging. Me voilà envahie d'une pulsion qu'il m'est impossible de réfréner. Je m'accroupis sous le cheval. J'écarte bien les cuisses.

    Cette position m'excite terriblement. D'ailleurs ce que je suis entrain de faire m'excite terriblement. Si seulement ce garçon pouvait regarder par là. Je reste dans cette position équivoque jusqu'aux limite de l'ankylose. Le sexe du cheval balance devant mon visage. C'est la toute première fois de ma vie que j'exprime ma sexualité larvaire hors de ma chambre. Depuis le début c'est dans le secret de ma chambre. Je suis couverte de frissons. Je sens la sueur couler dans mon dos. Entre mes seins minuscules. Il revient par là. Il va passer le râteau dans le box voisin. Juste une grille qui nous sépare. Je reprends ma position. Une position que j'exagère à dessein. Avec une volonté délibérée qui me procure de folles sensations. Je n'ai jamais fait ça. Jamais ressentie ça.

    Cette fois il me voit. Je baisse immédiatement les yeux. Je fais mine d'être concentrée sur le mouvement de ma brosse. Je tremble. Je me sens honteuse quand je remarque qu'il se penche pour mieux voir. C'est certain. Bastien aussi doit être soudain perturbé. Je dois lutter contre toutes mes inhibitions pour garder ma position. Il regarde avec ostentation. Je sais aujourd'hui que ce garçon avait déjà 24 ans. Je ne peux pas écarter davantage. Et toujours le sexe impressionnant de mon cheval qui balance devant mon visage. Il me permet de loucher par de petits regards furtifs. Je ne peux pas encore comprendre ce que tout cela suscite dans la psyché de ce garçon que je crois aussi "innocent" que moi. Je viens de découvrir que ce sentiment de honte me procure les plus délicieuses sensations. J'en frissonne encore ! En fait après une première expérience, on ne fait plus que reproduire dans le but de revivre cette expérience. Encore et encore. Une quête...

    Maman vient me chercher. Pas un seul instant, en entrant dans le box, elle n'imagine ce qui se passe. Le garçon est d'une extrême discrétion. Il détourne son regard, nous tourne le dos. << Tu es toute rouge et tu transpires ! Qu'est-ce qu'il y a ? Tu es souffrante ? >> me demande maman. Je la rassure. Tout va bien. Je reste silencieuse dans la voiture. Je ne cesse de penser à ce que je viens de vivre. Seule dans ma chambre, après la douche et avant le repas du soir, couchée sur le lit devant le miroir de l'armoire, je me masturbe en me faisant le "film". Je fais défiler dans mon esprit les moments forts. Je viens de découvrir les plaisirs de l'exhibitionnisme.

    À suivre

    Bisou

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